Les suites du verdict du 9/01/06 du tribunal correctionnel Pl.Firmin
Gauthier 38000 Grenoble : Avocats déboutés en appel
A tous
ceux qui en ont marre des dérives de nos institutions - Les 3 pages (1, 15, 22) suffisent à comprendre comment les procédures sont falsifiées pour 3 jugements successifs (validés par 200 magist-rats !)
Résumé
presse du 14/01/06
Selon vous, Monsieur FORNEY, pourquoi avez-vous
écopé le 6 décembre 2005 de quatre mois de prison
avec sursis et des amendes ?
Depuis 2 ans, la vérité au grand jour sur mon site Internet
: http://www.trafic-justice.com
dérange. En me condamnant les juges et procureur : GOUY-PAILLER,
PRADIER, LE MOAN, TERNOY, ont choisi de poursuivre la protection
des policiers ripoux.
Tout est pourtant clair dans cette affaire.
La concussion (ententes illégales) entre les magistrats, les
policiers ripoux et les avocats est évidente.
Je le prouve sur mon site. Par ces publications, je cherche à
obtenir la révision des jugements viciés à l'origine
de ma spoliation, mais les magistrats se protègent entre eux.
De toute façon, ils savent que s'ils vont jusqu'à la
prison ferme avec toutes les preuves en mains,
ils se rendent coupables d'abus de pouvoir par personne dépositaire
de l'autorité. Dans ce cas, la prescription est de trente ans
et ils risquent trente ans ferme.
L'indépendance totale de la justice ne les mettra pas éternellement
à l'abri. Leur impunité conduit à trop de dérives.
L'affaire OUTREAU n'est que la partie émergée de ces dérives
que le huis clos cherche à cacher.
Les rétorsions judiciaires à mon encontre continuent,
puisque, je suis à nouveau assigné par le vice
procureur FONTAINE Luc le 20
février 2006 à 14 h à Grenoble
pour outrage. C'est ce même juge FONTAINE
qui le 20 décembre 2002 a insisté lourdement pour que
je retire mes plaintes.
(1) Pouvez-vous dire comment vous en êtes arrivé
à vos difficultés avec la justice ?
J'étais marié depuis fin 1980. J'ai obtenu un diplôme
d'ingénieur à l'INPG. Depuis 1981, j'avais mon domicile
au 40 rue R. Rolland à St Martin d'Hères (38400). C'est
une maison, au milieu d'espaces
verts, en limite de l'agglomération
grenobloise, que j'ai moi-même reconstruite.
En 1993, pendant que j'étais à VALENCE à la direction
d'une usine, un expert auprès du tribunal BUISSON Jean-Marc
(5) devient mon voisin par un faux héritage
en viager de M GORGE (pour des raisons fiscales). Il facilite la rencontre
de mon épouse avec le milieu du mess des officiers place de Verdun
à GRENOBLE.
Après la fermeture de l'usine, début 1994, je commence
à découvrir l'éloignement de mon épouse.
Malgré cela, je me lance dans des investissements immobiliers
(achat de deux appartements, début d'un projet de SCI ...). Une
reconversion professionnelle pour échapper au marasme du secteur
de l'industrie métallurgique. Je disposais de 1,3
million de francs et donc d'une capacité d'acquisition d'une
dizaine d'appartements en petite surface (En réhabilitation avec
50% d'emprunt).
En 1998, avec l'appui de BUISSON, un ex-brigadier amant de
ma femme viré de la gendarmerie et reconverti en détective,
GIRAUD Paul Maurice parvient à me couper de ma famille,
de mes biens et de mes revenus. À mon encontre, en produisant
des faux devant la justice, il me fait expulser de mon domicile.
Mon fils de 22 ans, dans les études, arrosés par mes avoirs
bancaires détenus par sa mère a coupé toutes relations
avec moi depuis 2 ans.
Les auxiliaires de justice ont bloqué mes témoignages,
mes pièces, tous les documents de ma défense. Ils ont
laissé toutes les dettes immobilières à ma charge,
alors que, plus d'un million
de francs (150.000 euros) de la communauté sont dispersés
sur des comptes entre les mains de mon épouse en Isère
(38) et dans l'Hérault (34) essentiellement.
Il y a même eu un pot-de-vin
adverse de 420.000.fr en espèces prouvé
avant l'audience en appel du
divorce par devant le juge DOUYSSET Michel le 4 juillet 2001.
En vain même avec constat
d'huissier, j'avais insisté pour que mon avoué
Jean CALAS transmette mes pièces.
A cause de cela, sans aucun revenu, j'ai rapidement été
contraint de recourir au RMI. Le comble, une pension alimentaire impayée
de 1500 francs mensuels court depuis 1998, et, est à verser à
mon épouse fonctionnaire qui a un salaire annuel de 25.000 euros.
Des policiers ripoux, toute une chaîne de corruption et un réseau
de relations sont parvenus à organiser ma spoliation avec un
divorce truqué, sans que je puisse me défendre en justice.
Le responsable de la gendarmerie d'Eybens 38, CHARLON
Pierre, associé
de CWIKOWSKI et GIRAUD condamné
à 20 jours d'arrêt, a prêté le concours de
la force publique à l'huissier ROBERT Christian, pour des constats
trafiqués à mon encontre.
Ce même huissier, construisant
sa villa, échappe à 11 ans de poursuites, avec l'aide
du juge DOUYSSET et CALLAS, malgré les énormes
dégâts causés à son voisin à Biviers
(38).
Le principal associé de GIRAUD, le commissaire
de police révoqué CWIKOWSKI (4)
a fait prélever mes courriers par un ex-responsable de la brigade
des stups MARGAILLAN
Henri.
En décembre 2003, le notaire DESCHAMPS Yves se dit chargé
par la chambre des notaires du partage de la communauté. Il tente
avec l'huissier LANGLOIS de forcer le partage en m'attribuant
des dettes et moins du quart de mes biens. J'apprends qu'il a d'autres
plaintes sur le dos, et que, pour le compte de mon épouse, sur
les conseils de BUISSON, il a fait des
transactions avec mes biens, depuis 2001, en oubliant d'exiger ma
signature.
Pour contrer les verrouillages judiciaires, pour dénoncer l'ampleur
de mes découvertes, mon dernier recours a été la
publication de mon affaire sur Internet par les sites :
http://www.trafic-justice.com
(c'est pour ce contenu que j'ai été poursuivi le 6/12/06)
http://www.victime-ripou.net
(traite surtout du commissaire CWIKOWSKI condamné pour
les 17.000 vols de fichiers personnels de la France entière
confidentiels et revendus à ATER)
J'ai appris, que l'on disait à ceux qui évoquent mon
affaire, que je suis tantôt un malade, tantôt un paranoïaque.
Ainsi, les preuves sont accessibles à tous ceux qui souhaitent
vérifier.
Pour dénigrer mon affaire, le Procureur TERNOY a dit aux
deux journalistes présents à ses côtés le
6 décembre 2005, en leur tendant mes conclusions que c'était
de la paranoïa. Il a tenu pourtant à la salle de 60 personnes
venues pour mon affaire, un discours sur l'affaire OUTREAU, en
expliquant que la justice faisait ce qu'elle pouvait... Un double langage
!
(2) Comment avez-vous découvert et prouvé
l'organisation de cette cabale ?
D'abord avec l'aide d'un détective puis par mes propres recherches
faute de moyens financiers.
Progressivement j'ai accumulé mes preuves, et depuis 2000, j'ai
mis en cause les policiers ripoux CWIKOWSKI (4)
le principal associé de GIRAUD l'amant de mon épouse
puis MARGAILLAN Henri, puis CHARLON
Pierre, la plupart déjà lourdement condamnés.
De 2000 à 2001, j'ai rapidement constaté qu'ils étaient
tous protégés jusqu'au plus haut niveau de l'institution
judiciaire grenobloise et probablement au niveau national.
M Charles CATTEAU,
le premier président du tribunal de grande Instance a lui-même
rayé les mots week-end et jours fériés, pour réduire
la portée de l'ordonnance obtenue contre GIRAUD et mon épouse
pour faire établir un constat d'adultère, alors qu'elle
ne passait que les week-end chez GIRAUD.
J'ai pu vérifier que, ce que je prenais d'abord pour des erreurs
de mes avocats BESSON-MOLLARD, BOTTA-AUBERT,
DREYFUS Denis, étaient
des entraves volontaires à la manifestation de la vérité
avec soustractions de preuves. Cela s'est confirmé à de
multiples reprises. Comme d'autres, le juge DEMARCHE rend un
jugement sans :
" ni mes pièce ni mes conclusions malgré
constitution d'avocat ", et l'écrit.
Pour la suite, les avocats de l'aide juridictionnelle, TIXIER Gérard,
COSTA Alban, NAFIR GOUILLON se sont désistés dès
que j'ai insisté par lettres recommandées pour faire appliquer
le droit.
J'ai constaté que toutes mes preuves même flagrantes étaient
ignorées et dénigrées par des juges qui n'hésitaient
plus à mentir par écrits avec les pièces entre
les mains comme les juges
BUFFIN Bernard et BUISSON Jacques. Ce dernier est
issu de la police avant d'arriver à la magistrature.
Face aux verrouillages judiciaires, pour obtenir justice, les seules
solutions s'imposaient :
- publier par tous moyens (6) (la presse s'est montrée
très frileuse et est autocensurée). J'ai compris, qu'Internet
était une solution. Le temps d'apprendre, en décembre
2003, j'ai publié l'essentiel de mon affaire en transparence
totale. La justice n'aime pas de tout, essaie de bloquer discrètement
mon premier site.
Sans résultat, sur ma réouverture immédiate,
le 6/12/05, je suis assigné pour faire fermer ce site qui publie
la concussion (entente illégale) entre des ripoux de la police
et un nombre important de personnes nommées de l'institution
judiciaire.
- rassembler des personnes (7) spoliées,
comme moi, par des délinquants en col blanc qui échappent
à la justice grâce aux relations dans les institutions.
(3) Avez-vous déposé des plaintes
?
Elles sont enterrées
ou sans réponse.
Mes demandes aux procureurs Jacques FAYEN, VUILLEMIN,
VIOUT sont restées sans réponse.
Par contre la société des ripoux Centaurées
Protections Sécurité à MEYLAN (38) a été
liquidée deux semaines après le dépôt de
ma plainte du 2 mai 2003.
Remontée au Fontanil (38), la société IMPACT
a été dissoute
le 17 mars 2005, dans l'urgence 3 jours après la présentation
de ma lettre d'un corbeau
à M DESFONDS de la police.
(4)Qu'avez-vous découvert dans
l'affaire du commissaire de police CWIKOWSKI ?
Le 30 juin 2005, le commissaire CWIKOWSKI Bruno révoqué en 1993, déjà condamné pour faux
en écriture privée, a été condamné à deux
ans ferme pour corruption active grâce à une dénonciation
à l'IGPN de Lyon (il est libre car il a fait appel). Je rappelle
que c'est le principal associé de l'amant de mon épouse.
Le Dauphiné a publié l'affaire, après France Soir,
le 17/06/05 et le 1/07/05.
C'est à cette audience du 16 juin 2005 que j'ai compris pourquoi
tous ces policiers ripoux étaient protégés par
le milieu judiciaire local et cela malgré des casiers judiciaires
chargés et parfaitement connus à Grenoble. CWIKOWSKI
était d'ailleurs présent à mes deux audiences le
6/12/05 et au verdict le 9/01/06
Grâce à ces 17
000 données personnelles volées à l'administration
en 17 mois sur 2002 et 2003, CWIKOWSKI a encaissé 600.000 euros
de la société ATER à Montbazon (37).
Cette société ATER vend ces données confidentielles
à des huissiers, notaires, avocats ... et, emploie plus de cent
personnes, et, est très prospère.
CWIKOWSKI a d'ailleurs hébergé son activité
dans les locaux de François
JACOB, président de la chambre des huissiers de Grenoble.
Combien de milliers de fourmis pillent les fichiers confidentiels de
l'administration et doublent ainsi leur salaire comme CHOUTEAU Jean
Bernard, la petite main de CWIKOWSKI qui est suspendu en
conservant sa rémunération ?
J'ai pu lire dans le dossier d'instruction, une lettre attribuée
à CWIKOWSKI où il écrit : « organiser
mon insolvabilité
voir LANGLOIS
Joëlle
VERNET
vendre SCI
MARINA même à perte
donnez procuration à
mon frère, à ma mère... » Je n'ai constaté
aucune mesure conservatoire du juge d'instruction BALANCA pour
empêcher cela, ni du procureur Jacques FAYEN.
CWIKOWSKI avait des associés complices et receleurs dont
des policiers, un ancien notaire DEGACHE Louis, une nébuleuse
de sociétés, auxquels la justice n'a pas osé toucher
!
Le plus grave, c'est qui j'ai prouvé en
2000, que CWIKOWSKI volait avec son associé MARGAILLAN
les courriers dans les boîtes aux lettres pour entraver les recours
en justice. Exit vos avis de recommandés, d'huissiers, vos relevés
bancaires... mais, les juges BUFFIN Bernard et BUISSON jacques
ont étouffé le scandale. Mme
JEAUGEY Corinne l'ex-épouse GIRAUD savait que
CWIKOWSKI travaillait avec GIRAUD au prélèvement
des courriers pour contrôler les procédures judiciaires.
J'ai publié le scandale des fichiers volés de toute la
France sur :
http://www.victime-ripou.net
Des personnes de la France entière peuvent
vérifier si leur vie privée est dans ces fichiers volés.
En 30 ans de présence à Grenoble, beaucoup de personnes
ont bénéficié des services de CWIKOWSKI
pour l'accès aux données confidentielles des administrations.
L'accès légal sécurisé nécessite
des procédures et laisse des traces. Le juge RENARD à
Nice est tombé pour cela, mais, n'a été sanctionné
que par la mise en préretraite.
A Grenoble, c'est CWIKOWSKI et ses associés qui servaient
de fusible. Le fusible a claqué, et personne ne fouillera tant
qu'il ne donnera pas les noms de tous les commanditaires.
CWIKOWSKI était présent à mes audiences du 6/12/05
et 9/01/06 pour montrer aux juges qu'ils avaient tous intérêt
à me faire taire.
(5) Que savez-vous sur le second témoin
de votre épouse qui a participé à votre spoliation
en 1998 ?
Mon épouse, dans son action en divorce, a présenté
deux témoins seulement et ce sont deux hommes divorcés
en relations d'affaires.
A l'audience du 6 décembre 2006, devant la Cour, Mme JEAUGEY
Corinne a témoigné en disant qu'elle connaissait très
bien M BUISSON. Elle répondait à la présidente
du tribunal à la question :
" s'il était exact que M BUISSON avait pris de nombreux
repas d'affaires en sa présence et celle de son ex-époux
GIRAUD Paul Maurice (divorcé depuis 2000)". Le 6/12/05,
la présidente a aussi demandé s'il s'agissait du juge
BUISSON indiqué dans la citation. La réponse a été
: "non".
A travers mes enquêtes sur le faux
témoin BUISSON Jean-Marc, auprès de ses voisins
de ses multiples propriétés sur l'agglomération
grenobloise, en 2004, j'ai commencé à savoir qu'il vit
de la revente de terrains volés dont l'origine remonte à
1950, qu'il est parvenu à ces spoliations avec la complicité
d'un notaire en trafiquant le cadastre. Dans cette affaire ce n'est
probablement qu'un homme de paille car il n'a pas le train de vie correspondant
à la fortune immobilière qu'il gère cachée
sous le nom de sa mère de 95 ans.
J'ai appris qu'il usurpe son titre d'expert depuis de nombreuses années.
Des procédures judiciaires sont engagées à son
encontre, mais, le plus souvent, elles sont enterrées par les
tribunaux.
Né le 8 octobre 1927 à St Martin d'Hères, Il est
présenté comme faisant partie de la franc-maçonnerie dite "de droite". Il est présent à toutes les
réunions municipales de St Martin d'Hères et de la Chambre
des notaires.
Il est aussi membre d'associations dans l'immobilier, dans l'association
française de gestion, dans les Chasseurs Alpins ... Régulièrement
le DAUPHINE LIBERE publie ses histoires sur la libération où
il fait l'éloge de son père.
Pour le moment, les auteurs des actions judiciaires à son encontre
ne veulent pas publier leurs déclarations, que les procédures
soient en cours ou même terminées. Les gens ont peur des
représailles en justice !
Le notaire DESCHAMPS
Yves a déclaré devant 4 témoins : "
C'est M BUISSON qui m'a mis en relation avec Mme
RAYMOND Janine, l'épouse de M FORNEY".
(6) Quels autres moyens de publication
avez-vous utilisé ?
- En novembre 2002, j'ai envoyé aux médias et à
plus de 60 juges locaux, une lettre où j'ai accusé deux
juges decorruption, d'avoir des oeillères (Les juges BUFIN Bernard
et BUISSON Jacques. Cette lettre était accompagnée des
preuves de mes accusations. Elle est aussi ressortie amputée
à l'audience pour outrage du 6/12/2005.
- En juin 2004, j'ai fabriqué un
tee-shirt portant dans le dos des inscriptions en lettres de cinq
centimètres de haut :
VEREUX
Google BOTTA-AUBERT AVOCATE
NOTAIRE DESCHAMPS YVES
Trafic d'influence
Juge DOUYSSET
Appliquez art : 434-9, 434-4, 432-15, 432-4
Procureur ?
Francs-maçons
Avec le dessin d'une tête de mort et les coordonnées
de mon site Internet
Je suis intervenu avec ce tee-shirt à 5 reprises au tribunal,
dont le 1er juillet 2004 en salle d'audience correctionnelle, ce qui
a provoqué un incident d'audience, A ma cinquième intervention,
il m'a été confisqué par M JANIN et DESFONDS de
la police, lors de ma première garde à vue de 2 heures
en 2004.
Avec un même tee-shirt, je suis aussi intervenu :
- lors d'une conférence devant plus de 400 personnes à la chambre des notaires en 2004.
- au salon de l'habitat en 2004 et 2005.
- lors d'une une conférence sur la laïcité le
12/09/05 en présence du maire Michel DESTOT et Jean-Pierre
BRARD député Maire de Montreuil (Seine St-Denis)
- lors d'une conférence avec plus de 500 personnes en présence
du Maire de Grenoble Michel DESTOT
- lors de réunions d'associations de victimes.
- J'ai aussi distribué quelques milliers de petit papier dans
les boîtes aux lettres.
(7) Connaissez-vous d'autres personnes
spoliées sur Grenoble ?
C'est surtout au niveau national, que mes relations sont importantes.
Sur Grenoble, comme ailleurs, la plupart des gens spoliés ont
renoncé à se battre, ou ont même peur de perdre
ce qui leur reste, ou, craignent des retours de bâton dans leur
procédure en cours et préfèrent rester discrets.
On en est arrivé à l'absurde, ce sont les gens honnêtes
qui ont peur de la justice.
Sur Grenoble, quelques-uns se battent publiquement comme Mme PORTEHAUT,
M DELOMPRE, M LIZERETTI
(8) De quelles personnes spoliées parlez-vous
?
A partir de 2002, j'ai commencé à découvrir l'ampleur
du désastre judiciaire et l'étouffoir appliqué
à de nombreuses affaires :
Testaments détournés, spoliation sous tutelle, spoliation
par internement abusif, spoliation par fausses factures plombant
des sociétés revendues à la barre des tribunaux
de commerce,
escroquerie aux jugements avec des faux produits en justice, jugements
rendus à l'encontre de personnes non informées, les
gardes d'enfants sources lucratives de vingt ans de procédures...
Certains administrateurs judiciaires finissent en prison mais après
des centaines de spoliés. C'est comme pour OUTREAU, il faut que
l'affaire devienne une énormité pour que les justiciables
soient enfin entendus.
Sur mon site http://www.trafic-justice.com
j'ai même ajouté une carte de FRANCE de ceux qui dérapent
dans les institutions avec la publication de scandales concernant :
Juges, notaires, huissiers, policiers... et des sanctions dérisoires
dans ce milieu qui échappe aux sanctions réservées
au peuple.
Etant en relation avec de nombreuses associations de victimes, j'ai
même rencontré les enfants ROCHE (aujourd'hui juristes)
d'un juge pervers dont les photos de nues de sa deuxième femme
ont circulé sur Internet en août 2002. Ce juge
assassiné discrètement début 2003 a participé
à l'étouffement d'une centaine de meurtres révélés
et connus par l'affaire Baudis / Allègre sur Toulouse.
Ses descendants témoignent de confidences sulfureuses que les
médias traditionnels ne veulent toujours pas entendre.
(9) Vos sites Internet vous apportent-ils des résultats
?
Oui, parfois des conseils, des informations de corbeaux anonymes écrites
ou téléphoniques. J'ai surtout des contacts avec des personnes
qui se retrouvent dans mes publications et procédures et comprennent
pourquoi elles sont encore dans des procédures qui durent parfois
depuis vingt ans sans aboutir.
(10) Quelles sont les pressions à la fermeture
de votre site ?
Pour les menaces de mort écrites, ils avaient déjà essayé à
deux reprises suite à mes plaintes.
Ils ont constaté que les menaces téléphoniques
étaient sans résultat.
Les convocations à la police et près de 20 heures de garde vue, ont montré
ma détermination. Il semblerait qu'ils aient décidé
d'aller jusqu'à la prison ferme, et, je m'y prépare.
Mon premier site est en ligne depuis décembre 2003. En novembre
2004, la lettre de dénonciation de l'avocat COSTA Alban
probablement d'origine portugaise, qui a homonyme à la cour Européenne,
a suffi pour fermer mon premier site chez FREE. Aussitôt ré
ouvert, devant mes protestations : nous ne sommes pas en Chine ... l'hébergeur
FREE n'a plus touché à mon site. Cet avocat désigné
par DREYFUS Denis, a particulièrement traîné
des pieds dans mes procédures
contre MARGAILLAN et pour mon
recours en révision. Je n'ai pourtant publié que la
stricte vérité et des lettres, sans même aucune
insulte.
Ce site est actuellement doublé d'un site à l'étranger
http://www.trafic-justice.com
référencé toujours accessible en tapant juge
DOUYSSET sur moteur de recherche.
Je demande à toute personne en possession de copie de le remettre
en ligne en cas de fermeture.
Le 6 décembre 2005, un procureur anonyme
m'a assigné pour " outrage, diffamation ..." sans fournir
la moindre pièce adverse malgré mes demandes, même
écrites.
Les 3 juges dans l'assignation pour " outrage et diffamation "
n'ont présenté aucune demande écrite. J'ai été
jugé sans aucune communication de pièce adverse.
Les multiples harcèlements judiciaires continuent.
Le 20 février à 14
h. le vice procureur de la République FONTAINE Luc
m'assigne pour outrage pour avoir dit dans un groupe expulsé
de la salle d'audience :
" moi aussi j'ai été spolié
par des délinquants en col blanc, j'ai déposé
des plaintes, on se reverra M FONTAINE "
C'est ce juge qui est intervenu dans les instructions préliminaires
en insistant pour que je retire mes plaintes contre BOTTA
et CALAS.
Le constat est simple :
ce ne sont pas les juges qui vont condamner les avocats et les avoués
qui ont dérapé, puisque ce sont eux qui ont donné
les ordres.
Est évidente dans ce dossier, la concussion (ententes illégales)
entre les policiers ripoux, les juges, les avoués, les avocats
de mon affaire et les quelques autres qui ont prêté leur
concours comme l'huissier Christian ROBERT impliqué sur
d'autres affaires dont son voisin
de BIVIERS, au 183 chemin de la Buisse, selon les même méthodes
et personnes.
Les bénéficiaires des pillages des fichiers personnels
détenus par les administrations pourront continuer allègrement
au profit des protégés de la franc-maçonnerie et
pour les besoins de ceux qui contournent les institutions pour obtenir
des renseignements confidentiels sur les personnes.
(11) Dans votre affaire, connaissez-vous d'autres personnes
impliquées ?
Il est difficile de savoir ceux qui ont agi en connaissance de l'illégalité
de leurs actes ou comme simple " pigeon " de passage.
Ceux dont je suis sûr, Alain DEPIT et aussi FERNENDEZ
de la police connaissaient la relation de mon épouse avec GIRAUD.
Un banquier, JALLIFIER Thierry de la Caisse d'épargne
des Alpes, a versé illégalement des chèques à
mon nom sur les comptes de la partie adverse (1997-1998) et a modifié
des procurations sans m'informer... mon épouse avait son bureau
à l'étage de cette banque.
Un avoué POUGNAND Hervé dit avoir transmis les
pièces de mon 1er
recours en révision après de multiples pressions,
mais a refusé tout inventaire du dossier avant l'audience.
(12) Que pensez-vous du verdict de l'attaque pour outrage
à votre encontre ?
Le 12 janvier 2006, le jugement n'est pas encore frappé au tribunal.
Les juges Mme GOUY-PAILLER, MM PRADIER, LE MOAN, TERNOY m'ont
condamné à des amendes et quatre mois de prison avec sursis
pour avoir osé publier mes preuves des dérives de l'institution
judiciaire.
Bien sûr, en faisant appel, j'oblige encore quelques juges à
se mouiller dans mon affaire.
Je pense encore qu'il reste
des juges honnêtes qui refuseront de se plier à l'omerta
comme la journaliste Claire SIRAND du DAUPHINE LIBERE.
Dans mon affaire, au début le juge DOUYSSET pouvait se
sentir à l'abri de poursuite car il avait fait couler mon premier
dossier en amont par l'avoué Jean CALAS, Dreyfus Denis et
BOTTA-AUBERT Annie. Mais, c'est aussi lui qui a laissé les
marques de son influence sur l'enterrement de mes plaintes contre BOTTA-AUBERT,
CALAS et mon recours en révision.
A ce jour, avec ce que l'on sait de la magistrature, il est devenu
peu probable qu'un magistrat osera, même avec les preuves en main,
dénoncer un confrère. De ce fait, ils se rendent, à
leur tour, complices de concussion à l'entrave de la manifestation
de la vérité. C'est ce qu'ont fait les quatre magistrats
GOUY-PAILLER, PRADIER, LE MOAN, TERNOY de l'audience du 6 décembre
2005. C'est l'engrenage d'une justice qui refuse de reconnaître
ses dérapages.
A l'extrême, on a l'affaire du juge BURGAUD Fabrice pour
OUTREAU. En plus, ils ont choisi le huis clos pour cacher la
vérité au peuple.
Vous savez, même le Canard Enchaîné a été
condamné pour avoir publié les dérives du procureur
HONTAG de Bayonne venu parler d'éthique en Allemagne. Il
est toujours présumé innocent du vol d'une carte bancaire
de son collègue pour se payer l'accès dans une maison close en Allemagne. J'ai aussi publié ces articles sur mon
site http://www.trafic-justice.com
Par ses multiples dérives l'institution judiciaire devient co-responsable
de la faillite actuelle de notre pays.
Pour l'environnement juridique des affaires, la banque mondiale classe
la France au 45e rang. Autant dire
qu'on est le paradis des escrocs. Connaissant cela, qui prend le
risque d'investir dans notre pays ? Notre système judiciaire
est ainsi le principal responsable du chômage de masse que connaît
la France.
Avant mes ennuis judiciaires, je croyais que rares étaient les
voyous dans certaines institutions comme la police et la justice. Aujourd'hui,
je me rends compte que c'est probablement ce milieu qui a une proportion
de délinquants bien supérieure au reste de la population
du fait des dizaines d'années de quasi-impunité grâce
aux relations et l'opacité.
(13) Connaissez-vous d'autres affaires à Grenoble
dans le même registre ?
Il est utile de rappeler qu'au même moment :
- Le juge CARLE
Francis a fait la une de la presse pour ses milliers de photos
de filles dénudées (même sur personnes mineures)
prises au palais de Justice de Grenoble, sans qu'on sache qui approvisionnait
cette cour très spéciale.
- De multiples meurtres suspects dont des policiers à proximité
dans le Vercors ont été attribués à la
Secte du Temple Solaire (O.T.S.)
et c'est le juge FONTAINE qui a instruit l'affaire.
(14) Que pensez-vous des associations contre les dysfonctionnements
judiciaires ?
Pour obtenir des résultats probants, il faudrait que les dizaines
d'associations s'unissent et s'entraident.
Mais, crées par des victimes où des groupes de victimes,
elles sont très souvent noyées sous les dossiers et manquent
de moyens.
Les responsables sont souvent enfermés dans des statuts déposés
et ont peur des retours de bâton personnel.
Certaines se contentent de collecter des adhésions pour faire
avancer leurs affaires personnelles et passent pour des voleurs à
cause de quelques services rémunérés sans résultat
dans des dossiers verrouillés comme c'est généralement
le cas quand des personnes assermentées sont en cause.
Les associations gardent trop souvent cachés les noms des adhérents
de peur de les voir partir vers une autre.
Beaucoup d'associations sont noyautées par la franc-maçonnerie ou un avocat qui en fait sa source de revenu.
Certaines servent uniquement à canaliser le mécontentement.
Tant que le justiciable espère, il ne cherche pas ailleurs et
son affaire reste ignorée ainsi des années.
Les associations longtemps efficaces dans ce domaine ne peuvent pas
exister sur le papier.
Il faut fonctionner en réseaux de justiciables tous autonomes
et fonctionnant gratuitement à l'entraide comme la toile Internet.
Les escrocs perpétuent leurs actions grâce aux secrets
et à l'opacité de la justice. Les tribunaux sont devenus
un théâtre pour le peuple. Toutes les décisions
importantes sont déjà prises en coulisse, dans les cercles
de relations opaques comme les loges maçonniques.
C'est au justiciable de forcer la transparence
comme dans l'affaire d'OUTREAU avec le juge BURGAUD. Internet est un
bon outil. Et ne pas oublier que la justice est rendue " au nom
du peuple " et le peuple actuellement trouve majoritairement sa
justice défaillante. Ce n'est pas pour des raisons budgétaires.
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