Me CALAS, mon avoué à la cour d'appel de Grenoble, écrit :
" ... restituer les pièces numérotées 1 à 9, 19 à 22, 58 à 61 communiquées le 1er juin 2001 ..."
La date de clôture était pourtant au 5 juin.
Constatant l'embarras de Me Jean CALAS le 1er juin lors de ma remise d'un jeu de pièces, j'avais aussi pris la précaution de faire établir un constat d'huissier (pièces 10 ou 7A et 8A) en sortant de son cabinet.
Mon avoué n'hésitera pas à mentir par un écrit (pièce 11 ou 21A) à propos de sa communication de mes pièces cinq jours après mon passage à son cabinet.
Une communication volontairement cinq jours trop tard après le délai imparti pour donner un prétexte à rejet à la partie adverse (pièce 7 ou 23R).
Ainsi la quasi totalité de mes pièces communiquées sera retirée car elles prouvaient de manière incontestable l'organisation frauduleuse de mon divorce.
Le juge DOUYSSET Michel informé de mes doutes sur l'absence de contenu de mon dossier n'a pas répondu à mon alerte (pièce 8). En fait, j'ai eu confirmation le 22 juillet 2004 (en consultant, au greffe, les pièces retournées de cassation) qu'il savait que mon dossier avait été vidé depuis le 6 juin 2001(pièce 7 ou 23R) juste avant l'audience du 4 juillet.
- Jugement du 21/03/2000 - Me BOTTA défend mes intérêts depuis un an, elle bloque toutes mes preuves et témoignages qui prouvent l'organisation frauduleuse de mon expulsion / spoliation par les policiers ripoux. Me BOTTA-AUBERT m'a informé sur mon portable que l'audience était reportée pour que je n'y assiste pas, et, elle s'est déroulée en mon absence.
On peut lire sur le jugement, concernant ma défense - (pièce 12 ou 1D6-3) :
" ... sans la moindre conclusion ni pièces de sa part que l'affaire est aujourd'hui jugée . "
Me BOTTA avait pourtant l'essentiel des pièces de son bordereau depuis un an (pièce 13 ou 22B)
En appel, à 8 jours d'un débit adverse de 420.000 FR (pièce 6 ou 60) en espèces, elle m'a" expédié " (pièces 14 et 15 ou 13B et 14B) parce que j'insistais pour qu'elle transmette mes pièces, et cela, alors qu'elle venait d'obtenir le règlement intégral de sa facture provisionnelle.
- ONC du 17/11/1998 - Me BESSON-MOLLARD défend mes intérêts depuis 4 mois, elle écrit :
" ... pièces que nous examinerons... audience... jour de la conciliation ..." (pièce 16 ou 1D5)
Ainsi, il m'a été impossible de contrer les faux que l'on m'a mis sous le nez ! A l'audience !