Comment M GRECO a pu financer pour près de 600.000 € l'activité de M CWIKOWSKI, une personne déjà lourdement sanctionnée par la justice (pièce 29 ou 72H) ?
Comment MM GIRAUD Paul, ex-brigadier, MARGAILLAN Henri (pièce 24 ou 26V4) ex-responsable de la brigade des stups, CHARLON Pierre responsable de la gendarmerie d'Eybens (lui aussi condamné - pièce 28 ou 73H), CWIKOWSKI Pierre (pièce 51) policier dans le Var, BAUD Daniel (pièce 53) informaticien, Mme Marie-Hélène CWIKOWSKI - épouse FERDIN (pièce 52) au Conseil général de l'Isère, et les autres associés pouvaient-ils ignorer que M CWIKOWSKI était déjà lourdement sanctionné par la justice ?
Comment ces personnes qui partageaient le même bureau au 1 Allée des Centaurées à Meylan pouvaient-elles ignorer que la société CPS était constituée d'au moins trois associés sur dix lourdement condamnés ?
Comment ces personnes ont pu bénéficier de telles protections ?
A 46 ans, j'ai été expulsé, écarté de ma famille, dépossédé de mes biens par l'amant de ma femme. Il a utilisé ses relations jusqu'aux plus hauts niveaux des institutions. Depuis huit ans, je dénonce les illégalités des interventions à mon encontre. J'ai été contraint de recourir au RMI.
Les blocages répétés de mes avocats et de mon avoué, m'ont forcé à déposer des plaintes.
Des juges ont dénigré mes plaintes.
En désespoir de cause pour me défendre, j'ai dénoncé, en publiant notamment sur Internet, les actions d'une chaîne de corruption, de trafic d'influence, d'abus de pouvoir dans la police et le milieu judiciaire grenoblois.
Le procureur M TERNOY René a parlé de paranoïa en se référent à mes conclusions du 6 décembre 2005.
J'ai complété ces conclusions. Si avec le contenu des pièces et des faits exposés, la justice se borne, encore une fois à faire la sourde oreille, il y aura dans les prochaines années des responsables qui auront des comptes à rendre devant le peuple.
Des faits aussi scandaleux ne peuvent rester impunis, même s'ils sont couverts par des hauts responsables.
Va t-il y avoir des juges à Grenoble qui vont rapprocher la France des premiers du classement ?
J'ai assisté à une partie des audiences concernant les 16 assassinats dans le Vercors attribués à l'OTS.
Bien que loin des proportions de mon affaire, je m'intéresse à ces meurtres car ils présentent des similitudes telles que :
- des policiers impliqués,
- l'instruction qui demande aux parties de retirer des plaintes
- une instruction menée aussi par le juge M FONTAINE, considérée très insuffisante
- des avocats des parties civiles qui disent que le juge FONTAINE refusait de faire les recherches sur les mouvements financiers concernant ces 16 personnes assassinées dans le Vercors.
XII - B - Sur la prescription
Dans un premier temps, mes accusateurs n'ont-ils pas espéré l'inefficacité de mes publications ?
N'est-il pas suspect que ce soit seulement le 6 décembre 2005 que je sois cité pour la première fois en diffamation ?
Pourtant :
- j'ai massivement publié la lettre adressée à M BUISSON Jacques et BUFFIN Bernard dès l'envoi en novembre 2002
- j'ai informé de mon site par lettre recommandée dès sa mise en ligne en décembre 2003
- je suis intervenu dans plusieurs lieux publics avec mon tee-shirt en cause dont pour la première fois le 1er juillet 2004 en salle d'audience du tribunal. Plus de mille personnes ont vu mon tee-shirt : lors de conférences à la chambre des notaire où Mme la Juge JACOB était présente, lors de plusieurs conférences en présence du maire de Grenoble Michel DESTOT.
Si les réactions ont tardé, n'est ce pas parce que je prouve que tout est exact ?