commissaire révoqué CWIKOWSKI qui n'a pas apprécié que je dévoile publiquement les 600.0000 € encaissés pour la revente des données personnelles volées destinée en partie aux loges maçonniques comme l'écrit au juge son employée (pièce 40) juste avant l'audience..
La situation a été retournée contre moi en "violences en réunion" avec la complicités des forces de l'ordre et des faux témoignages de deux avocats grenoblois :
- Les avocats JOURNAULT Anne, LEVY SOUSSAN Arnaud, MOREAU Gilles (ajouté 15 jours après) et un agent de sécurité MASCIAVE Louis qui sont tous arrivés à la fin de l'agression. Aucun n'a osé témoigner qu'ils étaient là au début parce qu'ils savaient que Mme ARNAUD avait pris des photos. Bizarrement les caméras du palais de justice n'ont rien vu.
- Des certificats médicaux de complaisance dont même le secrétariat des urgences du C.H.U. de la TRONCHE a reconnu la falsification. Les 3 certificats présentés sont tous du même auteur, mais le Dr BELLANGER Laurent ne reconnaît avoir établi qu'un, le dernier !
- Mon audition par le policier BONNEL Philippe qui triait mes réponses lors de mon audition au point que j'ai refusé de signer la deuxième déposition...
- Des photos du maquillage du ripou CWIKOWSKI (connu comme prof de Karaté) montrées à l'audience mais non produites aux pièces de l'instruction.
Et cela en ignorant mes 5 témoins qui n'ont pu se concerter avant leur déposition.
En 14 jours, ni le président de la chambre des huissiers François JACOB, ni l'huissier Di GIROLAMO Joseph Daniel, missionnés par l'avocat de la cour de cassation, n'ont pas daigné signifier au procureur de la République la requête en suspicion aux fins de dépaysement.
Le procureur René TERNOY visé dans mes conclusions de partie civile pour l'audience du 4 avril 2006, a participé à l'audience du 6/12/05 pour ma condamnation à 4 mois avec sursis pour mes publications sur Internet :
http://www.victime-ripou.net et http://www.trafic-justice.com C'est ce même procureur M TERNOY René qui :
- a requis, ce 17 mai, 3 mois ferme contre moi et la personne venue me secourir.
- a déclaré que nos 5 témoins étaient de nos amis et que leurs témoignages devaient être rejetés. (Ils ont pourtant déposé tous séparément sans possibilité de concertation préalable)
- a déclaré que les témoignages pour CWIKOWSKI (le commissaire révoqué) de "personnes en robes" (les avocats) ne pouvaient être suspectés (malgré les nombreuses contradictions et concertations possibles car ils ont tous été auditionnés en dernier).
La collégialité des trois juges présidée par Mme MOUTON s'est pliée à la volonté de me faire taire pour protéger le commissaire condamné récidiviste. Au RMI, elle nous a condamnéà 2 mois avec sursis et à verser plus de 2000 euros au truand SIKOSKI Bruno et sa compagne PANZARELLA (GANTIN Angela).
X - C - Des sanctions abusives
Pour son manque de discernement le juge BURGAUD rend compte devant le peuple de ses fautes.
Comme dans l'affaire OUTREAU, les juges vont-ils persister dans l'erreur jusqu'à me mettre en prison parce que je continuerai de dénoncer jusqu'à ce que justice me soit équitablement rendue ?
Depuis 1998, le début de mes ennuis avec la justice, les juges ont oublié les mots discernement, partialité, indépendance, abus de pouvoir :
- j'ai été dépossédé de mes biens il y a 8 ans,
- j'ai été laissé sans revenu,
- j'ai été affublé des dettes du ménage et de 20.000 € de pension alimentaire au profit de mon épouse fonctionnaire, responsable du service des eaux, et de son amant, un ripou,
- j'ai été jugé trois fois sans les pièces de ma défense,
- j'ai été contraint de recourir au RMI depuis juin 2000,
- j'ai été jugé et condamné sur des affirmations sans la moindre production de pièce le 6 décembre 2005,
- j'ai été obligé de faire le travail d'enquêtes que la police et la justice auraient dû faire et cela avec pour toute rémunération, le RMI...
Tout cela ne repose que sur une volonté de dissimuler par tous les moyens la vérité sur l'ampleur des manipulations illégales par ces policiers ripoux qui alimentent des réseaux francs-maçons.