En 1998, j'attendais de Me BESSON-MOLLARD une ordonnance pour établir un constat d'adultère contre GIRAUD Paul Maurice. Elle a confirmé lors de son audition (PV 2004/15347/006) :
" J'ai déposé la requête le 8/12/98 et obtenu une ordonnance en date du 12/12/1998 "
Elle m'a, en effet, assuré avoir fait le nécessaire. Elle m'a confirmé (pièce 17) par écrit :
" j'ai fait immédiatement le nécessaire auprès de Maître MOURRE, huissier…"
mais l'huissier destinataire Me MOURRE a confirme lui (pièce 18) n'avoir jamais reçu cette ordonnance fantôme et il écrit :
" Malgré mes recherches, je n'ai pu retrouver l'original, ni même une copie de la requête et de l'ordonnance datant de décembre 1998. "
Qui ment Me BESSON-MOLLARD Laurence ou l'huissier Me MOURRE dont la confirmation écrite est corroborée deux fois sur la réponse du palais de justice (pièce 19)
J'ai parfaitement souvenir de mes interventions orales contre Me BESSON-MOLLARD et ces pièces confirment qu'il n'y a plus de doute. Me BESSON n'a jamais envoyé cette ordonnance :
- ni à Me MOURRE comme elle l'a écrit (pièce 17)
- ni au palais de justice qui a confirmé n'avoir aucune trace (pièce 19)
Mme BESSON-MOLLARD Laurence, une avocate qui ose déposer plainte et se constituer partie civile en espérant que personne ne regardera les preuves que je produis.
Un an plus tard, sur l'ordonnance suivante, obtenue par Me BOTTA-AUBERT (pièce 20 ou 6D2), c'est M CATTEAU Charles Edmond Joseph, Premier Président du Tribunal de Grande Instance qui a rayé de sa main les mots week-end et jours fériés, pour réduire la portée de l'ordonnance obtenue contre GIRAUD, alors que mon épouse ne passait justement que les week-end chez GIRAUD.
Bizarrement cette ordonnance m'est parvenue cinq semaines après la signature, en fin de validité (2 mois).
Par ces trois fois, pourquoi m'a t-on empêché de produire les pièces de ma défense ?
Je prouvais que des policiers ripoux condamnés associés faisaient des faux pour truquer les jugements et que GIRAUD Paul, faux témoin et amant de mon épouse (pièce 21 ou 2D2) faisait partie de cette bande.
Je prouvais qu'un système de corruption (pièce 6 ou 60) probablement en place depuis 30 ans à Grenoble gravitait autour de CWIKOWSKI Bruno en relation avec des huissiers.
Je prouvais et je prouve encore que la société CPS (pièce 3 ou 25V6) était une véritable association de malfaiteurs.
Je prouvais et je prouve encore que des personnes de la société CPS volaient des courriers pour contrôler et entraver des recours en justice dont les miens (infra) .
III - B - La passivité surprenante Me DREYFUS succédant à Mme BOTTA-AUBERT
Relais de mon avocate Me BOTTA, après le premier rendez-vous, Me DREYFUS Denis était devenu étrangement indisponible. Il me répondait qu'il n'avait plus le temps de transmettre mes pièces et me demandait de les apporter moi-même directement à mon avoué Jean CALAS.
A l'audience du 4 juillet 2001, (supra) il était devenu totalement amnésique. Il a "oublié" de parler du débit en espèces adverse de 420.000 FR (juste avant l'audience) ainsi que du vol de mes courriers par les policiers ripoux étrangement passé sous silence dans l'Arrêt susvisé.
Du 19 juin 2006 , conclusions d'appel correctionnel pour le 26 juin 2006 : - 4 / 24 -