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Conclusions pour le 26 juin 2006 contre l'attaque de mes publications par le Procureur de Grenoble (Luc FONTAINE)
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emplois dans la société.
La protection de la vie privée pour certains n'a aucune importance.
Bientôt, on trouvera à la revente, l'état de santé de chaque personne.

Voilà pourquoi mes preuves incontestables contre GIRAUD, MARGAILLAN, CWIKOWSKI... sont bloquées par tout un réseau de malfrats.
Voilà pourquoi j'ai droit, depuis huit ans, à un harcèlement judiciaire sollicité par des francs-maçons.
Si un maillon venait à lâcher, tout l'édifice des trafics très lucratifs risquerait de s'écrouler

XII - DISCUSSION

XII - A - Pourquoi le procureur n'engage pas les poursuites contre les trafiquants, au lieu de s'acharner sur moi ?

De nouveau, en ce moment en poste à GRENOBLE dans ce tribunal après un bref passage à VALENCE, le Vice - Procureur M Luc FONTAINE a déclaré, à propos de la justice de notre pays, dans le DAUPHINE LIBERE du 3 mars 2006 :

" système totalement incohérent... personne n'y comprend plus rien ! Le système est tel que ceux qui s'en sorte le mieux, ce sont les délinquants très organisés "

Cette déclaration explique entre autres notre classement de la banque mondiale au 45 ème rang pour l'environnement juridique des affaires de notre pays. Le classement pour la corruption est en relation.

M FONTAINE a pourtant eu l'occasion d'entendre (pièce 42 ou 36B) mes dénonciations de la corruption (pièce 6 ou 60) en relation avec la non-transmission de mes pièces contre ces policiers ripoux, mais il n'a pas pris au sérieux mes déclarations, et, m'a plutôt fortement incité à retirer mes plaintes contre mon avocate BOTTA-AUBERT et mon avoué Jean CALAS.

Encore une fois je rappelle la dernière phrase du rapport d'enquête du commandant de police Max THIBAUDIER, il écrit :

" .... De nombreuses investigations restent à mener compte tenu de la dispersion, sur le territoire national, des lieux d'exercice de l'activité mise à jour ."

Si la justice me donnait les moyens de contacter les 16.000 personnes dont les noms sont tenus secrets, elle permettrait de confondre ce réseau de trafiquants de procédures judiciaires, d'escroquerie aux jugements ou d'autres atteintes graves aux libertés individuelles.

En tenant les noms secrets, la justice protège qui ? Les victimes ? Ou plutôt les escrocs ?

La recherche des vraies raisons des 16.000 personnes fouillées dans leurs vies privées apporterait très probablement quelques preuves sur les réseaux impliqués.

Pourquoi n'y a t-il pas eu d'enquête de la justice sur ces 16.000 personnes victimes de l'appropriation de leurs données personnelles confidentielles par des ripoux déjà condamnés ?

Il est très surprenant que les donneurs d'ordres et associés de M CWIKOWSKI ne soient pas poursuivis pour complicité de corruption et recel alors qu'il est probable que l'informaticien expérimenté (pièce 53) BAUD Daniel a scanné et numérisé les 6000 impressions papier de M CHOUTEAU avant de les transmettre par Internet à ATER.

Comment M GRECO Pascal (pièce 59), détective, président de ATER, société spécialisée dans le renseignement avec un effectif de 107 personnes, pouvait-il ignorer l'origine frauduleuse des renseignements ? La question du recel est soulevée.

Du 19 juin 2006 , conclusions d'appel correctionnel pour le 26 juin 2006 : - 18 / 24 -

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