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Il était évident qu'il savait tous pertinemment que ces pièces n'étaient plus dans mon dossier, voila la raison qui explique le silence de mon avocat lors de sa plaidoirie.
Me DREYFUS n'a d'ailleurs jamais répondu à ma lettre reçue en RA du 22/04/03 (pièce 22)

En outre, si j'avais suivi les mensonges de DREYFUS, j'étais "planté" pour mon délai de recours en cassation.

En première instance bizarrement ce maillon, avocat et bâtonnier, a été débouté de sa constitution de partie civile.

IV - MAILLONS PROTECTEURS DES RIPOUX

IV - A - Des entraves à la justice par le juge Bernard BUFFIN

Pour protéger M MARGAILLAN Henri, ex responsable de la Brigade des Stups, auteur du vol de mes courriers :

Le 1er août 2002, le juge Monsieur BUFFIN Bernard a menti délibérément sur son "ordonnance de refus " (pièce 23 ou 48V-2), il écrit :

" MARGAILLAN n'a jamais contesté qu'il avait fait connaissance avec M GIRAUD "

Malgré l'insistance de mes écrits, dans son jugement le juge BUFFIN ignore la phrase de MARGAILLAN au procès verbal :

" Je ne connais pas non plus M GIRAUD " alors qu'il déclare cinq lignes plus bas :
" je suis gérant de la Sté C.P.S . " (Avec Giraud pour associé ! )

Dans ce PV d'audition (pièce 24 ou 26V4-2) M MARGAILLAN déclare aussi travailler pour la société " GROUPE EVALUATION CONSEIL" (GCEA) la société gérée par M CWIKOWSKI Bruno.

Le Juge M BUFFIN a rejeté les demandes d'audition de témoins dont CWIKOWSKI (Parquet 01/90071 instruction 7/01/63).

Pour les attaques du procureur du 6 décembre 2005 contre mon site, ce juge n'a pas osé produire de lettre de constitution de partie civile.

IV - B - Des entraves à la justice ou négligences graves du juge BUISSON Jacques

 L'apothéose, Monsieur BUISSON en appel des décisions de l'instruction confirmera les rejets de l'instruction ainsi que le refus de l'audition de CWIKOWSKI (pièce 25 ou 50V) malgré des preuves accablantes .
Voilà pourquoi, j'ai diffusé (preuves à l'appui) la lettre du 25 novembre 2002 à tous les juges de Grenoble pour les informer afin qu'ils fassent prendre des mesures disciplinaires à son encontre.

Un an plus tard, n'obtenant aucune réponse sur ces graves manquements professionnels, j'ai diffusé sur mon site Internet le courrier qui a été accusé de diffamatoire le 6/12/05. Cela pour que l'opinion publique soit informée de ces dérives préjudiciables au fonctionnement de la justice qui peuvent concerner tout justiciable un jour.

Je ne peux m'empêcher de faire le rapprochement avec l'ancienne fonction de policier du juge BUISSON Jacques (pièce 26).

Une requête pour faute lourde est en attente de décision devant le Conseil d'Etat.

L'arrestation de CWIKOWSKI un an plus tard (pièce 2) ne fait que confirmer les carences incontestables de ces deux magistrats précédemment indiqués ! Le comble, j'ai été condamné à 4 mois de prison avec sursis pour avoir dénoncé ces malversations flagrantes !

Pour les attaques du Procureur du 6 décembre 2005 contre mon site, ce juge n'a pas, lui aussi, osé produire de lettre de constitution de partie civile.

Du 19 juin 2006 , conclusions d'appel correctionnel pour le 26 juin 2006 : - 5 / 24 -

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