Accueil Résumé des magouilles des notaires Communauté détournée : conclusions précédantes |
L'expert Jean René AMOUROUX tente par tous les moyens de forcer ma spoliation telle que prévue par le notaire escroc DESCHAMPS Yves Pages : 1 2 3 4 , 5 6 7 8 , 9 10 11 12 , 13 14 15 16 , 17 18 19 20 (impression WORD ou RTF) |
Pour Contre Liquidation de communauté - Juge commissaire M LEGER Jean-Claude par ordonnance de Mme BONIN Sylvie du 28 mai 2005. CONCLUSIONS par devant la 3 ième Chambre Civile du Tribunal de Grande Instance de Grenoble – RG : 07/03814- ME : 02.07.08 En préliminaire, je précise que l'attribution des biens de la communauté est dépendante : A – D'une plainte (pièces 125) du 18 janvier 2006, enregistrée (parquet 06/90035-Inst 5/06/54) en cours d'instruction par Mme le juge BOURILLE-NOEL Coralie. Elle concerne une fausse reconnaissance de dette produite pour tenter de contourner une preuve (pièce 15) de mon achat avec mes comptes personnels de la maison et terrain (photo pièce 109) de St Martin d'Hères village au moment du mariage. Mon reçu de ce paiement (pièce 15) est détenu par le notaire ESCALLIER à Domène (Isère). Le faux en cause, présenté sans aucun témoin, est daté huit jours avant ce reçu par devant notaire, et, n'est accompagné d'aucun document bancaire. B – D'une inscription (pièces 126) de FAUX PRINCIPAL (RG 08/3) enregistrée le 5 juin 2008 au TGI de Grenoble, à l'encontre de deux actes de l'huissier ROBERT Christian. Ces deux PV de l'huissier sont en contradiction avec deux procès verbaux de police. Ces PV d'huissier surchargés sont irrégulièrement utilisés depuis 1998 par Mme RAYMOND dans son action en divorce et pour la liquidation des biens de la communauté. De plus, ils sont établis avec le concours de policiers condamnés pour faux en écriture privée et corruption active. C – D'une plainte (pièces 127) en cours d'instruction pour recel du 6 mai 2008, présentée au Doyen des juges d'instruction et au Procureur de la république parce que le rapport de M AMOUROUX fait apparaître six comptes bancaires au nom de Julien FORNEY (mineur en 98). Or étrangement, ce dernier est présenté comme étant étudiant dans le besoin par sa mère. Du plus, Mme RAYMOND ne peut justifier dans ses conclusions d'une dépense de 740.000 fr (112 000 euros) sur une période de 6 mois de 2001 ( pièces 5, 20 et 22 ). Cette dépense représente trois fois le montant qu'elle a déclarée détenir des avoirs de la communauté, or, ces débours n'ont pu être faits que par prélèvements sur ces avoirs. En effet, en mars 1998, avant la résiliation des procurations, Mme RAYMOND a isolé des avoirs sur ses comptes personnels. La communauté détenait 1,3 millions de Francs destinés à des achats immobiliers qui devaient être utilisés pour poursuivre ma reconversion professionnelle entamée dans l'immobilier. D – De la créance PICON. Dans ces dernières conclusions, Mme RAYMOND indique ne pas avoir maintenue l'hypothèque sur les biens PICON concernant la créance de 400.000 francs. Elle était pourtant seule à disposer de revenus pour maintenir cette sûreté. Elle fait donc courir le risque à la communauté de perdre une possibilité du recouvrement de cette créance. Mon RMI ne me permet pas d'engager cette action pour le compte de la communauté. E – De la Partie inchangée de I à IIIc ci-après, qui a été communiquée : le 8 août 2007 à : M LEGER (TGI), Mme RAYMOND, M AMOUROUX, Me PERONNARD-PERROT, Me ESCALLIER (Déposées au TGI, 3 ième Ch., RA 51 223 794 9 FR, 1A 007 975 9420 1, 1A 003 929 1380 3, 1A 003 929 1381 0) LA NULLITÉ du rapport de l'expert AMOUROUX Jean-René I - RAPPEL DES FAITS CONCERNANT CERTAINS INTERVENANTS SUR LES BIENS DE LA COMMUNAUTÉ Depuis 1981, l'étude de Me ESCALLIER est seule à l'origine des actes notariés des trois biens immobiliers de la famille FORNEY / RAYMOND. - 1 / 20 - Conclusions du mercredi 25 juin 2008 complétant celles du 8 août 2007 de M FORNEY précisant la nullité du rapport de M AMOUROUX En décembre 2003, le notaire Yves DESCHAMPS se dit désigné pour le partage de la communauté FORNEY / RAYMOND.En mars 2004, je découvre des transactions illégales sur les biens communs effectuées à mon insu :
Malgré mes dénonciations, le notaire DESCHAMPS a préparé un projet de partage, et l'huissier LANGLOIS m'a assigné à parapher son projet en son étude. Non signés, les effets du projet DESCHAMPS ont tout de même été enregistrés par les services fiscaux de Grenoble et M ROSALIA, M PEZZALI, Mme VALLIER, M MOURARET René en sont témoins. Suite à mes contestations du 18 mars 2005, ils ont rétabli l'affectation fiscale des biens immobiliers conformément à la réalité. J'ai d'ailleurs obtenu une lettre de madame RAYMOND Janine où elle écrit le 25 mai 2004 au syndic (pièce 8) :
Alors que je suis propriétaire à 75% de la maison de St Martin d'Hères, celle-ci était enregistrée au nom de mon ex-épouse en 2005 ! Il y a là de graves malversations du notaire DESCHAMPS Yves de St Egrève et de Mme RAYMOND qui ont fait enregistrer un partage selon leurs désirs, mais, tout à fait illégalement ! Par assignation du 7 mars 2005, Madame RAYMOND m'a assigné en justice au partage pour voir homologuer le projet d'état liquidatif dressé par Me DESCHAMPS le 25 mai 2004. Une nouvelle fois, j'ai contesté les aberrations du projet DESCHAMPS en m'appuyant de la lettre de Me ESCALLIER (pièce 2 ou 63N) et sur les autres pièces de mes conclusions du 11 mai 2005 - 2 / 20 - Conclusions du mercredi 25 juin 2008 complétant celles du 8 août 2007 de M FORNEY précisant la nullité du rapport de M AMOUROUX communiquées par Me MARTIN Patrick au juge BONNIN Sylvie et aux parties (rôle 05/01097) C'est dans ce contexte mafieux que le juge commissaire M LEGER a d'abord accepté la désignation du co-notaire Me ESCALLIER, puis, après une absence totale de communication du notaire DESCHAMPS avec Me ESCALLIER, par ordonnance RG 05/01097 du 25 mai 2007, Mme BONNIN a missionné Me AMOUROUX Jean-René, le Président de la chambre des experts de l'Isère, pour l'évaluation des biens communs. II - NULLITÉ DU RAPPORT DE L'EXPERT Jean René AMOUROUX II a - Par l'absence du respect du contradictoire et du respect de la procédure
Par référé en audience du 11 octobre 2006 (pièce 101) appuyé de conclusions et pièces, j'ai demandé la récusation de cet expert. Ni Madame RAYMOND, ni l'expert AMOUROUX ne se sont présentés ou fait représenter pour s'expliquer. Ayant apporté les preuves que cet expert agissait uniquement pour appuyer les " escrocs " qui ont organisé ma spoliation puis mon divorce, j'ai considéré qu'il appartenait au juge de remplacer cet expert qui a failli à sa mission. - 3 / 20 - Conclusions du mercredi 25 juin 2008 complétant celles du 8 août 2007 de M FORNEY précisant la nullité du rapport de M AMOUROUX La collusion de l'expert AMOUROUX avec des notaires " escrocs " a déjà été observée par d'autres justiciables dont Sylvette GARCIN au sujet du détournement d'un héritage. Elle joint son témoignage (pièce 103) où elle écrit :
Hélas, je déplore les mêmes méthodes pour forcer ma spoliation par ce même expert, et, je continue de collecter d'autres affaires similaires. Cet expert a la réputation de faciliter des spoliations en complicité avec des notaires au comportement mafieux. Dans mon cas, c'est avec le notaire DESCHANPS Yves. II b - Nullité à cause des dates auxquelles doivent être examinés les comptes bancaires des trois personnes de la famille
Madame RAYMOND a préparé son divorce avec son amant M GIRAUD Paul Maurice en collaboration avec M CWIKOWSKI. Ce dernier, commissaire révoqué (pièce 102) logeait son activité dans des locaux du président de la chambre des huissiers François JACOB. Sans relation avec cette proximité, mais étrangement, le rapport de GIRAUD a été complété par un faux de l'huissier (infra III a) Christian ROBERT produit contre moi et déterminant pour forcer une procédure en divorce pour fautes pour éviter les recherches bancaires en amont de la date d'assignation en divorce. Le rapport de M GOYON et sa lettre du 24/11/2000 (pièce 24 ou 2D2) prouvent les liens étroits, autres que simplement professionnels, entre Mme RAYMOND et M GIRAUD. Madame RAYMOND précise les conditions de la préparation de son divorce à mon insu (son époux) lors de son audition par M FERNANDEZ Jean-Pierre, sur un procès verbal du 30 octobre 1998 (pièce 104 ou 10T) où elle a fait noter :
Une déclaration, seulement sept jours avant mon information de l'audience du 10/11/98 devant le juge aux affaires familiales, pour laquelle, je n'ai pas été informé (sans aucun doute à cause du vol de mes courriers - pièce 105 ou 26V4) que seulement trois jours auparavant par mon avocate BESSON-MOLLARD Laurence. Celle-ci devra rendre des comptes devant la justice pour sa connivence avec la partie adverse dont le réseau affairiste CWIKOWSKI. En fait, en 1998, Madame et son amant préparaient ce divorce depuis plusieurs années. Le " 0 " franc, sur le compte de mon fils Julien n° 04051831759 mineur au 27/11/1998 (Page du 08/02/2006 de la Caisse d'Épargne annexée p.38 du rapport de l'expert) permet à - 4 / 20 - Conclusions du mercredi 25 juin 2008 complétant celles du 8 août 2007 de M FORNEY précisant la nullité du rapport de M AMOUROUX |