Accueil   Le sentiment de la quasi impunité des Bruno CWIKOWSKI en 2003 / 2007 a des conséquences sur la multiplication des dérapages. M. FORNEY a aussi subit un tabassage couvert par des juges. M. FORNEY a même subi 250 heures de garde à vue et 14 mois en prison pour avoir signalé l'affairisme mafieux de certains policiers truands au service d'élus et le pot de vin de 80.000 euros au notaire Yves Nicolas DESCHAMPS

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Violences policières, et pour d'autres viol au 36 quai des Orphèvre ?
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http://www.dailymotion.com/video/xba5w4_agression-policiere-contre-2-femmes_news

Elle est obligée de se cacher par crainte de représailles

http://www.dailymotion.com/video/xbalfr_agression-policiere-contre-2-femmes_news

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Observez que Paris-Match publie les noms des policiers truands alors que FR3 et la revue ELLE (pourtant journal féminin) protègent les policiers en les anonymisant !

https://www.parismatch.com/Actu/Faits-divers/Deux-policiers-condamnes-a-sept-ans-de-prison-ferme-pour-viol-sur-une-touriste-1602590

Procès pour viol au "36" : les deux policiers condamnés à sept ans de prison ferme

Paris Match | Publié le 31/01/2019 à 18h16 | Mis à jour le 31/01/2019 à 19h12 La Rédaction - AFP

Image d'illustration. STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

Les deux policiers ont été condamnés à sept ans de prison ferme jeudi pour viol sur une touriste canadienne. 

Deux ex-policiers du 36 Quai des orfèvres, Antoine Quirin et Nicolas Redouane, ont été condamnés jeudi à sept années d'emprisonnement par la cour d'assises de Paris pour le viol d'une touriste canadienne dans les locaux de la police judiciaire parisienne en avril 2014. « Ils ont été reconnus coupables du viol en réunion d'Emily Spanton », a déclaré le président de la cour d'assises, Stéphane Duchemin. Un verdict conforme aux réquisitions de l'avocat général.

La cour a été «convaincue » par «les déclarations constantes de la victime » et par « les éléments scientifiques et techniques », dont les expertises ADN et les analyses de la téléphonie, a ajouté le président. La cour a également pris en compte « la particulière gravité des faits » à l'encontre d'une jeune femme sous l'influence de l'alcool et le « lieu de commission des faits », le siège de la police judiciaire. La cour a ordonné l'inscription des deux ex-policiers de la prestigieuse BRI, (brigade de recherche et d'intervention), au fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles ou violentes (FIJAIS).

J'ai peut-être été infidèle mais je n'ai jamais violé une femme

Les deux hommes, qui ont été menottés, devront en outre verser 20.000 euros à la victime. Antoine Quirin a éclaté en larmes à l'énoncé du verdict. Avant que la cour ne délibère au terme de deux semaines et demie d'audience, les accusés avaient dit leurs derniers mots : « Je reconnais en tant que policier que je n'aurais jamais dû amener Emily Spanton dans les locaux de la BRI », avait dit Nicolas Redouane. « Je n'ai jamais, jamais, jamais agressé, violenté, violé Emily Spanton ».

« Ca fait 5 ans que c'est un cauchemar pour moi, ma famille, mon fils qui m'a dit ce matin: "Rentre pas tard ce soir" », avait enchaîné Antoine Quirin. « J'ai peut-être été infidèle mais je n'ai jamais violé une femme. Je n'ai jamais violé cette femme ». Plusieurs dizaines de policiers étaient venus soutenir leurs collègues.

La veille, l'avocat général Philippe Courroye avait requis sept années d'emprisonnement. « Mon intime conviction, c'est qu'au cours de cette nuit du 22 au 23 avril, dans les locaux de la BRI, Emily Spanton a bien été une victime non consentante d'actes sexuels », avait-t-il expliqué. Ces policiers ont, selon lui, abusé d'« une proie vulnérable », une étrangère, très fortement alcoolisée. L'avocate d'Antoine Quirin, Anne-Laure Compoint, avait-elle, estimé que « des certitudes dans ce dossier, il n'y en a pas ». « S'il n'y a pas de certitudes, ça s'appelle le doute, et le doute profite à l'accusé ».

Elle aurait changé d'attitude après le départ de Nicolas Redouane

L'issue du procès était incertaine tant les témoignages ont été divergents et la parole de l'accusatrice mise en doute. Les ratés de l'enquête dans les premières heures ont également pesé sur le procès: la scène de crime présumée n'avait pas été sanctuarisée, les policiers avaient pu repartir chez eux, sans même faire de test d'alcoolémie. Et le temps a passé: près de cinq ans après les faits, souvent, la difficulté de se souvenir a été exprimée à la barre.

Une chose a été établie : quand Emily Spanton était arrivée à 00H40 au « 36 », qui était alors le siège de la police judiciaire, elle marchait en titubant et était joyeuse. A 2 heures du matin, elle était en revanche « en état de choc », sans collant, et affirmait avoir été violée. Mais sur ce qu'il s'est passé dans les bureaux, au cinquième étage du « 36 », les versions étaient « totalement opposées », avait rappelé l'avocat général.

Emily Spanton, aujourd'hui âgée de 39 ans, disait avoir subi plusieurs fellations et pénétrations vaginales forcées. Il y aurait eu trois hommes, mais le troisième n'a jamais été identifié. Selon la version des policiers, Emily Spanton aurait fait une fellation consentie à Nicolas Redouane, mais celui-ci aurait eu « une panne ». Puis l'accusatrice, déçue, serait allée dans le bureau d'en face, en short, seins nus, où se trouvaient Antoine Quirin et un autre collègue.

Elle aurait dansé, demandé à être prise en photo sous le ventilateur auquel était suspendu un string noir. Selon Antoine Quirin, elle aurait changé d'attitude après le départ de Nicolas Redouane et parce qu'elle croyait que celui-ci était parti avec sa veste.

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France 3 France Télévisions https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/justice-proces/viol-7-ans-ferme-pour-les-policiers-de-la-pj_3170749.html

Viol : 7 ans ferme pour les policiers de la PJ

Les deux policiers de la prestigieuse PJ, le 36 quai des Orfèvres à Paris, dorment en prison jeudi 31 janvier. Ils ont été condamnés à 7 ans de prison pour avoir violé une touriste canadienne. Ils n'ont eu de cesse de clamer leur innocence, sans convaincre les jurés.

Mis à jour le 01/02/2019 | 10:25 publié le 01/02/2019 | 10:22

Les deux policiers accusés de viol étaient encore libres quand ils sont arrivés jeudi 31 janvier au matin à la cour d'assises de Paris . Antoine Q., lunettes et écharpe bleue, donne l'accolade à ses collègues venus en nombre pour le soutenir. Bonnet sur la tête, Nicolas R. le deuxième policier arrive accompagné de son avocat, pas très optimiste. Leur victime, la Canadienne Emily S. a, quant à elle, fait une entrée discrète dans la salle d'audience . L'attente va durer huit heures pour aboutir à une condamnation à 7 ans de réclusion pour les deux policiers reconnus coupables de viol en réunion.

La défense fait appel

À l'énoncé du verdict, les deux accusés se sont effondrés leurs avocats dénoncent une erreur judiciaire. " Je ne suis pas fière de la justice qui a été menée pendant ces débats, je ne suis pas fière de ce qu'a fait l'instruction judiciaire ", réagit l'avocate de la défense, Anne-Laure Compoint qui annonce faire appel dès le lendemain. La partie civile se félicite en revanche que la victime ait été entendue.

Le JT

 

www.elle.fr/Societe/News/Viol-au-36-quai-des-Orfevres-les-policiers-condamnes-a-7-ans-de-prison-ferme-3753061

Viol au 36 quai des Orfèvres : les policiers condamnés à 7 ans de prison ferme

Publié le 31 janvier 2019 à 19h03 Emily S. à son arrivée au tribunal, le 14 janvier 2019 © Sipa


Après un procès éprouvant, le verdict est tombé. Emily S., qui accusait les deux policiers de la BRI de l'avoir violée la nuit du 22 avril 2014, a été entendue. Les deux hommes ont été condamnés à sept ans de prison ferme.

« Vous êtes déclarés coupables, messieurs, de viol en réunion ». Il a fallu huit heures de délibéré avant que le verdict ne tombe. Les deux policiers d'élite de la brigade de recherche et d'intervention (BRI) ont été condamnés à sept ans de prison ferme devant la cour d'assises de Paris, ce jeudi vers 18h. Cette peine est conforme à celle qu'avait demandée dans ses réquisitions l'avocat général, Philippe Courroye. « Mon intime conviction, c'est qu'au cours de cette nuit du 22 au 23 avril, dans les locaux de la BRI, Emily S. a bien été une victime non consentante d'actes sexuels », avait-t-il expliqué mercredi, comme le rapporte « Le Parisien » . « Ils ont été reconnus coupables du viol en réunion d'Emily S. », a déclaré ce jeudi le président de la cour, Stéphane Duchemin. Selon « L'Obs » , la cour a été « convaincue » par « les déclarations constantes de la victime » et par « les éléments scientifiques et techniques », ajoute-t-il. En cause notamment, l'ADN d'Antoine Q. retrouvé au fond du vagin de la jeune femme. Son ADN à elle se trouvait également sur les caleçons des policiers, mélangé à du sperme. Eux niaient tout viol.

« J'ai laissé partir ma colère. »

Le procès a été particulièrement éprouvant pour Emily S. Cette touriste canadienne était en vacances en France quand sa vie a basculé . Après une soirée dans un bar le 22 avril 2014, elle rencontre ces deux policiers qui lui proposent de visiter les locaux du fameux 36, quai des Orfèvres . « L'un d'entre eux m'a proposé à boire. Je me rappelle que je n'avais pas vraiment envie de boire, j'avais déjà assez bu. J'ai pris une gorgée mais le verre a été poussé pour que je boive plus. Je me rappelle que mes genoux étaient écartés. Quelqu'un a forcé son pénis dans ma bouche. Je me souviens m'être relevée. Puis quelqu'un a tiré mon pantalon et mes sous-vêtements et quelqu'un était à l'intérieur de moi », se remémorait-elle avec douleur lors du procès. Tout au long de la procédure, la jeune femme a vu son mode de vie questionné. Son mini short. Ses talons. Sa consommation d'alcool. Avait-elle flirté et embrassé les policiers dans le pub ? A tel point que son avocate dénonçait « le procès de la victime ». « On a essayé de la faire passer pour une partouzeuse » , s'insurgeait Me Obadia. « J'ai laissé partir ma colère, je veux affronter publiquement ces hommes, qu'ils sachent l'impact que ça a eu dans ma vie. Je veux pouvoir fermer ce chapitre  et aller de l'avant », déclarait Emily S. avant le procès. Ce soir, elle a été entendue.

Plus de deux cents magistrats ont protégé les trafics mafieux de policiers truands à Grenoble (René FORNEY 0763156646)