| Accueil | Tabassage rné FORNEY comme Michel Zecler – (Loi « Sécurité globale » ! ) |
| Ils savaient tous jusqu'en haut. Sur le parvis du palais de justice, alors que M. FORNEY venais d'être partie civile contre lui, il a subis le même tabassage par l'ex commissaire révoqué Bruno CWIKOWSKI et mis en garde à vue et condamné malgré ses cinq témoins à cause des faux des flics intervenus Fréderic DESFONDS, Chantal DECOU, Louis MACIAVE, (Mensonges sous serment ! Vidéos effacées !) J'aurais pu mourir sous la violence des coups, si je suis encore en vie c'est par l'intervention de M. DESCOURS qui l'a agrippé pour qu'il cesse mon tabassage alors que j'étais évanoui au sol. La suite n'est que des multiples représailles parce que j'ai publié. Avant cela, je n'avais comme vous pouvez le constater un casier vierge en 2004. Lien ici : http://www.trafic-justice.net/victime-ripou/appelcwik/plaintecoups/instructioncoup/pv6598204.htm |
Dérapent dans le département 75 : j-u-g-e-s-s-s--s- s huissiers man-da-taires no-tai-res a-v-o-c- a - t - s - s- s - s - s - s co-mmis-sai-re p - o - l - i - c - i - e - r- s - s - S directeur de prison et sur le reste de la France
| Vous pouvez vérifier les mensonges des policiers ici :
https://storage.googleapis.com/facebook-attachments-production/Loopsider-424922021243063/392449035439016/video_inline.mp4 contact : contact@loopsider.com
Le parquet requiert la détention provisoire pour trois policiers. © AFP Dans le cadre de l'enquête autour du passage à tabac du producteur Michel Zecler, le parquet de Paris requiert la mise en examen pour trois policiers et leur placement en détention provisoire, a indiqué dimanche le procureur de la République de Paris Rémy Heitz lors d'une conférence de presse. Le quatrième policier a lui déjà été mis en examen. Le parquet de Paris a requis dimanche la mise en examen des quatre policiers mis en cause dans le passage à tabac d'un producteur de musique noir et le placement en détention provisoire de trois d'entre eux, en confiant la suite des investigations à un juge d'instruction. Le quatrième policier, soupçonné d'avoir jeté une grenade lacrymogène dans le studio, a finalement été mis en examen notamment pour "violences volontaires" par personne dépositaire de l'autorité publique (PDAP) et placé sous contrôle judiciaire, a-t-on appris de source judiciaire vers 21h30. Le magistrat instructeur doit décider s'il suit les réquisitions du parquet Le parquet réclame leur mise en examen pour "violences volontaires" Révélées jeudi par le site Loopsider, les images, qui nous "font honte" selon Emmanuel Macron, ont provoqué un scandale dans le pays. La présidence de la République a appelé Michel Zecler, a indiqué l'Elysée dimanche sans autre précision, un appel qu'a confirmé à l'AFP l'avocate du producteur. Les policiers contestent "avoir tenu des propos racistes" Accusés par le producteur de l'avoir qualifié de "sale nègre" à plusieurs reprises, ils contestent "avoir tenu les propos racistes" pourtant "corroborés par l'un des jeunes derrière la porte du sas" et réfutent "le caractère mensonger du procès-verbal". Selon le procureur de Paris, les trois policiers ont toutefois fini "par admettre que les coups portés n'étaient pas justifiés et qu'ils avaient agi principalement sous l'effet de la peur". Darmanin a annoncé "la révocation" des policiers mis en cause Des manifestations contre les violences policières samedi L'opposition à la loi "sécurité globale" grandit Les quatre policiers, un brigadier et trois gardiens de la paix, "présentent de bons voire très bons états de service, aucun incident particulier n'a émaillé à ce jour leurs carrières respectives", selon le procureur. Pour la troisième fois cette année, le chef de l'Etat a demandé au gouvernement de lui faire rapidement des propositions "pour lutter plus efficacement contre toutes les discriminations". Par Europe 1 avec AFP © 2020 Europe 1 Digital |
Plus de deux cents magistrats ont protégé les trafics mafieux de policiers truands à Grenoble (René FORNEY 0763156646)