Accueil                  Contre mes sites : citations 6/12/05 1 , 2 , 3  en appel 26/6/06  1 , 2 , 3, 4   

Le juge Mme BALANCA a joint à la côte D42 une lettre dans laquelle CWIKOWSKI écrit à son associé Dominique GOUZY :

" ... Dominique ... voir Joëlle VERNET... organise mon insolvabilité ... voir LANGLOIS ... SCI MARINA vendre même à perte... ne pas utiliser le compte MP de Cagnes... vire 40.000 € sur le compte de Cagnes... donne pouvoir pour Dominique... Pierre ouvre un compte rapidement à son nom à l'adresse 9 avenue du Clos à Villeneuve-Loubet... avec procuration à mère et toi... "

Dans une pièce au dossier d'instruction (pièce 40) une ex-employée juriste de CWIKOWSKI écrit :

" ...travailler au noir par l'intermédiaire des sociétés Impact et SGI... FAYOLLE... Pierre CHARLON, ancien adjudant de gendarmerie d'Eybens, Paul GIRAUD, ancien officier de gendarmerie, gérant de la société SGI, Alain DEPI, ancien gendarme à la PJ de Grenoble, Jacques PREVOST, ancien officier des RG, Gérant de la Société IMPACT, Yves CAMPANA, ancien policier... Pierre CHARLON ami des contrôleurs de L'URSSAF qui le couvrent... JACQUEMIER...couverts par Louis DEGACHE (franc-maçon)... Sylvie de NEGRI a travaillé au noir... DEGACHE ...elle travaillait chez un avocat.
...l'enquête a été bâclée pour protéger CHARLON, DEGACHE, DEPI et les autres...
donneur d'ordres Pascal GRECO, son patron était parfaitement au courant des méthodes interdites utilisées). ATER continue... à l'abri dans leurs loges et derrière leurs protecteurs ! Ce n'est pas l'idée que j'avais de la justice... J'ai honte "

Etrangement, , malgré les évidences, aucuns des complices, ni des receleurs n'a été entendu, seul CWIKOWSKI a pris deux ans ferme le 30 juin 2005, mais a interjeté appel de sa condamnation.
Il est libre actuellement et poursuit son activité dans le VAR et à Grenoble.
Il aurait effectué 4 mois en maison d'arrêt et aurait été libéré par le juge M PELTIER Robert Marie.

Bizarrement, avec des faits incontestables, le code pénal prévoie 10 ans, mais M CHOUTEAU a été libéré après 4 mois, et, aurait toujours sa rémunération de policier.

III - LES LIENS AVEC LES AUTRES AFFAIRES ET LA MIENNE

M CWIKOWSKI est parmi les policiers ripoux qui m'ont dépossédé de mes biens en 1998. Pas en imprimant uniquement les fichiers de la police, mais en utilisant aussi des faux en écriture et tout un réseau de protections. La concussion entre policiers, avocats, juges, huissiers, avoués, notaires, politiques ne laisse aucun doute.

Des méthodes illégales employées contre moi et des milliers d'autres personnes dont les noms sont effacés dans le dossier d'instruction de Mme BALANCA Annyvonne. Aucun juge n'a vérifié si les personnes sont victimes seulement d'atteintes à la vie privée.

III - A - Les conséquences du découpage des affaires en justice

La justice " découpe " les affaires en fonction des textes du Droit dont chaque personne et fait dépendent. Prises ainsi isolément les motivations de chaque fait illégal ne sont plus visibles.
Pour que tout le monde puisse comprendre, j'ai relié ces faits dans ces conclusions et sur mes sites Internet :
www.trafic-justice.net/victime-ripou et www.trafic-justice.net/trafic-justice

Pour le contenu de ces sites qui ne publient pourtant que des faits parfaitement vérifiables, j'ai été jugé à l'audience du 6/12/05 et condamné à 4 mois de prison (pièce 1) par les juges GOUY-PAILLER, PRADIER, LE MOAN. (en appel l'avocate général a demandé le doublement des sanctions !)
Le peuple peut apprécier si, avant de se prononcer, les juges :
        - Prennent le temps d'examiner et de comprendre les documents en leur possession,
        - Sont soumis à des pressions,
        - Ont cherché à protéger des intérêts occultes tels que des policiers ripoux impliqués

Lors de sa plaidoirie le 6/12/05, en tendant mes conclusions et mes pièces aux deux journalistes présents à ses côtés, le procureur M TERNOY René a dit :

" C'est de la paranoïa "

Lors de son réquisitoire ce même représentant du parquet a, pourtant, tenu à la salle de 60 personnes venues pour mes publications, un discours sur l'affaire OUTREAU, en expliquant que la justice faisait ce qu'elle pouvait ...

Du 11 septembre 2006, conclusions d'appel partie civile pour le 19 septembre 2006 : - 2 / 30 -