M Christian ROBERT a reconnu avoir utilisé CHARLON Pierre (un autre associé de GIRAUD Paul) pour son intervention pour les procès verbaux du 14 octobre 1998 contre moi.
En effet, dans le dossier qui m'accuse d'outrage, que j'ai reçu le 9 juin 2006, sur le PV 2004/15347/2002 du 22 octobre 2004 de l'audition de Me ROBERT Christian (pièce 73), il est écrit :
" CHARLON Pierre... m'assistait pour l'exécution de l'Ordonnance. "
Mais, sur les procès verbaux de constat dressés par Me ROBERT (pièce 57 ou 5D3) le 14/10/1998, le nom de CHARLON Pierre est totalement omis. En effet on peut y lire uniquement les noms :
" Assisté du Chef BRUDIEUX, Officier de police Judiciaire et du Chef BEAUSOSEIL, tous deux de la brigade de gendarmerie d'EYBENS "
Cette omission est volontaire, car il savait qu'en indiquant CHARLON, je pouvais rapidement remonter à sa condamnation et à ses liens d'associés avec GIRAUD, CWIKOWSKI, MARGAILLAN... dans la société CPS (pièce 3 ou 25V6), S.G.I. , et j'aurais pu démontrer rapidement leurs connivences.
Il faut rappeler que, sur l'arrêt de cassation (pièce 28 ou 73H) condamnant CHARLON à 20 jours d'arrêt le 3 avril 1998, il est écrit :
" ... de nombreuses et importantes négligences... omissions constatées, qui étaient relatives à l'enregistrement des activités horaires des personnels placés sous son autorité..."
Malgré la fonction assermentée de M ROBERT, ces faits démontrent :
- que ses constats sont établis avec un manque évident d'indépendance !
- que mes accusations de fausses déclarations concernant M ROBERT sont fondées.
- que l'huissier ROBERT Christian a été influencé par ses relations d'affaires avec CWIKOWSKI et GIRAUD.
Il faut rappeler, aussi, que CWIKOWSKI, l'associé de CHARLON a été condamné le même mois, le 6 avril 1998. Sur cet arrêt de cassation concernant sa révocation, il est écrit au sujet de CWIKOWSKI :
" dans l'étude d'huissier qu'il envisageait d'occuper " (pièce 29 ou 72).
Après sa révocation, CWIKOWSKI a même logé son activité d'enquêtes dans des locaux à Crolles appartenant au Président de la chambre des huissiers de Grenoble (Me François JACOB).
Le 16 juin 2005, Me JACOB a confirmé à Me MARTIN mes constatations en ajoutant que CWIKOWSKI avait quitté ses locaux quand il a appris que CWIKOWSKI utilisait des gros bras comme CAMPANA pour le compte de casino.
Dans une lettre à la côte D42 au dossier d'instruction de Mme LE DAIN Annyvonne (épouse BALANCA), M CWIKOWSKI demande à son associé Dominique GOUZY de voir LANGLOIS (homonyme de l'huissier grenoblois ?) pour organiser son insolvabilité. Ce qui suppose, là aussi, des relations étroites avec certains huissiers grenoblois.
Il est utile de rappeler que le Dauphiné Libéré a écrit les 6 et 8 avril 2003 :
" ... Le placement sous contrôle judiciaire, assorti du versement d'une caution de 450 000 euros (3MF) de René Espenon, un huissier de justice grenoblois soupçonné d'importants détournements... "
Que l'on ne me dise donc pas que ces personnes sont au-dessus de tout soupçon ! Comme le Procureur René TERNOY l'a affirmé, le 17 mai 2006, à propos des avocats, faux témoins pour CWIKOWSKI lorsqu'il m'a roué de coup le 4 avril 2006.
M Christian ROBERT a fait passer son voisin (attestations pièces 71), ingénieur en retraite de BIVIERS (38330) pour un affabulateur devant les tribunaux alors qu'il suffit de visiter la maison de son voisin pour constater l'ampleur des dégâts.
Du 11 septembre 2006, conclusions d'appel partie civile pour le 19 septembre 2006 : - 8 / 30 -