Accueil                  Contre mes sites : citations 6/12/05 1 , 2 , 3  en appel 26/6/06  1 , 2 , 3, 4    

Contre un des ripoux d'un réseau du grand banditisme dans la police et la justice (oui, le monde à l'envers) avec les preuves      Impression Word      Pièces jointes aux conclusions       Impression RTF    VERDICT des FRERES maçons ?    Cassation
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Le procureur TERNOY René, déjà présent (contre moi pour mes publications) le 6 décembre, a requis 3 mois de prison ferme (contre moi !) Il a déclaré que mes 5 témoins n'étaient pas crédibles (Et cela, bien qu'ils aient déposé sans possibilité de concertation) et, que les "personnes en robes" témoins pour CWIKOWSKI ne pouvaient mentir. Les exemples de ceux qui dérapent dans cette profession font pourtant la une des journaux dans l'Isère sur mon site Internet.

Depuis 1998, le début de mes ennuis avec la justice, les juges ont oublié les mots discernement, partialité, indépendance, abus de pouvoir, et, j'ai été :

- Dépossédé de mes biens il y a 8 ans,
- Laissé sans revenu,
- Affublé des dettes du ménage et de 20.000 € de pension alimentaire au profit de mon épouse fonctionnaire, responsable du service des eaux, et de son amant, un ripou,
- Jugé trois fois sans les pièces de ma défense, pour un divorce que tous savaient truqué,
- Contraint de recourir au RMI depuis juin 2000,
- Jugé et condamné sur des affirmations sans la moindre production de pièce le 6 décembre 2005,
- Obligé de faire le travail d'enquêtes que la police et la justice auraient dû faire et cela avec pour toute rémunération, le RMI...

- CWIKOWSKI a effectué 4 mois en maison d'arrêt et a été libéré par le juge M PELTIER Robert Marie.
Curieusement, le 9 mai 2006, ce même juge, passé aux affaires familiales, ajoute au salaire net mensuel de 1800 euros de mon ex-épouse Mme RAYMOND Janine (par jugement 05/05016) la moitié des revenus (pourtant communs) locatifs me revenant après le partage de la communauté. Pour M PELTIER, je dois rester au RMI. Un hasard, l'amant (pièce 21 ou 2D2) de mon ex-épouse est GIRAUD, un associé de CWIKOWSKI. Une fois de plus, j'avais demandé la suspension des 1500 francs de pension alimentaire (que je n'ai jamais pu payer depuis 1998) obtenue avec les faux de CWIKOWSKI et GIRAUD.
Malgré mes protestations, le juge PELTIER a répondu en finalisant ma spoliation sans demander aucun relevé bancaire de mon fils âgé de 23 ans travaillant dans un laboratoire de recherche.

Tout cela ne repose que sur une volonté de pressions pour dissimuler par tous les moyens la vérité sur l'ampleur des manipulations illégales par ces policiers ripoux qui alimentent des réseaux francs-maçons.

XIII - MAILLONS ETENDUS SUR TOUT LE TERRITOIRE

Etrangement le procureur de Grenoble FAYEN Jacques et le juge d'instruction Mme BALANCA ignore la phrase du commandant de police Max THIBAUDIER (côte D1) qui a écrit :

" ...De nombreuses investigations restent à mener compte tenu de la dispersion, sur le territoire national, des lieux d'exercice de l'activité mise à jour."

Bizarrement, tout est focalisé uniquement sur CWIKOWSKI alors que les complices et receleurs sont connus et parfaitement identifiés.

XIII - A - Des sociétés et actionnaires impliqués ou en relations étroites avec les Sociétés de M CWIKOWSKI Bruno.

 Une page du site Internet de mon site publiée depuis décembre 2003 (extrait pièce 45) présente l'imbrication de quelques sociétés croisées par des actionnaires communs à CWIKOWSKI, mais il y en a d'autres.

Les pages du site www.concilium-recouvrement.com (pièces 47, 48) présentent les sociétés installées à Villeneuve-Loubet dans les Alpes-Maritimes.

La lettre anonyme (pièce 36) d'un " CORBEAU " du 7 mars 2005 (que j'ai reçue 4 jours après que j'ai interpellé M CWIKOWSKI en salle d'audience au tribunal le 3 mars 2005) m'a permis de retrouver l'essentiel des actionnaires de la Sté (pièce 3) CPS (Centaurées Protection Sécurité) regroupés dans la Sté IMPACT après la dissolution de CPS.

Du 11 septembre 2006, conclusions d'appel partie civile pour le 19 septembre 2006 : - 18 / 30 -

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