XII - A - Au lieu de m'aider et d'utiliser mes pièces fournies contre ces ripoux, la justice me harcèle
- Interrogé dans son bureau, le 20 décembre 2002, (pièce 42) lors de l'instruction préliminaire, M FONTAINE n'appréciait pas mon insistance à maintenir mes plaintes contre BOTTA et CALAS .
Pourtant, les Trésors Publics de VINAY (38470) et VALENCE (26000) connaissent parfaitement la malhonnêteté de BOTTA-AUBERT, elle leur est redevable d'une dette astronomique depuis des années.
C'est seulement pour faire face à l'ampleur de ces blocages, qu'en décembre 2003, j'ai publié sur Internet, les liens (extraits pièces 45, 46) entre M CWIKOWSKI Bruno et M GIRAUD Paul, l'amant (Pièces 39 ou 1D2, 21 ou 2D2, 20 ou 6D2) de mon épouse.
- Le 6 décembre 2005, prenant pour prétexte le contenu de mes sites Internet :
http://www.trafic-justice.com et http://www.victime-ripou.com, j'ai été attaqué pour diffamation et condamné à 4 mois de prison avec sursis pour des publications pourtant exactes. (La décision en appel sera rendue le 18 septembre prochain et ne changera en rien mes démarches pour la manifestation de la vérité)
Le 16 juin 2005, le juge LE MOAN siégeait aussi à l'audience contre CWIKOWSKI (pièce 2) où j'étais partie civile.
Tout cela contre moi, pour tenter de cacher des vérités et entraver ma liberté d'expression sur des faits que je prouve depuis des années de manière incontestable.
Le 5 janvier 2006 (pièce 43), avec M DELOMPRE, en présence de 2 autres témoins, j'ai demandé directement à M FONTAINE le nom du procureur à l'origine de la citation du 6 décembre 2005. Celui-ci nous a " baladés " d'un bureau à l'autre pour finalement téléphoner où nous étions et nous faire dire :
- Nous n'avions pas à le savoir !
- Mes plaintes contre les policiers ripoux sont enterrées volontairement depuis 2000.
Le 30 juin 2005, c'est seulement grâce à l'IGPN de Lyon que CWIKOWSKI (que je dénonce depuis 2000) a été sanctionné à deux ans de prison ferme pour le vol et la revente de dizaines de milliers de données confidentielles personnelles détenues par les administrations.
- Les juges de Grenoble refusent encore de faire le lien avec mon affaire. J'ai pourtant cité ce nom des dizaines de fois dans mes procédures depuis 2000.
GIRAUD, l'associé de CWIKOWSKI a pourtant bien identifié plusieurs véhicules et il l'écrit sur ses attestations (pièce 70 page 2) et (pièce 72 ou 1F page 2) :
" identifié en préfecture " Bien évidement identifié par CHOUTEAU (supra p1)
" ...Peugeot... Il s'agit de Mme M... qui exerce en qualité de profession... qui habite... Mme est née le ... à ... "
- Au tribunal de Grenoble, le 25 octobre 2005 à 14h, j'accompagnais un groupe de personnes spoliées comme moi par des délinquants en cols blancs proches des institutions qui bénéficient de protections de par leurs fonctions assermentées et les contacts habituels avec la magistrature.
A cette audience, Mme PICHENOT mettait en cause Me BERMON. En procédure depuis 1998, M FONTAINE, représentant le parquet, a répondu à sa demande :
" il n'y a pas lieu de mener une enquête, ce ne sont que des propos dilatoires à
l'encontre de personnes de l'institution, vous racontez des bêtises... "
et il a refusé d'entendre davantage Mme PICHENOT et de la laisser s'exprimer dans sa plaidoirie. Le juge BUISSON est aussi intervenu dans ses procédures (pièce 71P page 2)
Dans le public, un groupe de personnes a protesté à voix haute en parlant de l'étouffement de leur propre affaire contre un notaire et des administrateurs judiciaires.
Au même moment, des policiers sont intervenus pour faire évacuer la salle d'audience. J'ai dit en sortant à mon tour dans le brouhaha général :
" Moi aussi, j'ai été dépouillé par des délinquants en cols blancs, j'ai déposé des
plaintes, on se reverra M FONTAINE "
Du 11 septembre 2006, conclusions d'appel partie civile pour le 19 septembre 2006 : - 15 / 30 -