Transformer un innocent en coupable pour un meurtre aurait été tout aussi efficace pour ces ripoux et leur réseau.
Doit-on considérer cela comme de la paranoïa ou des évènements particulièrement graves?
Par ces trois fois, pourquoi m'a t-on empêché de produire les pièces de ma défense ?
Je prouvais que des policiers ripoux condamnés associés faisaient des faux pour truquer les jugements et que GIRAUD Paul, faux témoin et amant de mon épouse (pièce 21 ou 2D2) faisait partie de cette bande.
Je prouvais qu'un système de corruption (pièce 6 ou 60) probablement en place depuis 30 ans à Grenoble gravitait autour de CWIKOWSKI Bruno en relation avec des huissiers.
Je prouvais et je prouve encore que la société CPS (pièce 3 ou 25V6) était une véritable association de malfaiteurs.
Je prouvais et je prouve encore que des personnes de la société CPS volaient des courriers pour contrôler et entraver des recours en justice dont les miens (infra) .
V - B - La passivité surprenante Me DREYFUS succédant à Mme BOTTA-AUBERT
Relais de mon avocate Me BOTTA, après le premier rendez-vous en mai 2001, Me DREYFUS Denis était devenu étrangement indisponible. Il me répondait qu'il n'avait plus le temps de transmettre mes pièces et me demandait de les apporter moi-même directement à mon avoué Jean CALAS.
A l'audience du 4 juillet 2001, (supra p4) il était devenu totalement amnésique. Il a "oublié" de parler du débit en espèces adverse de 420.000 FR (juste avant l'audience) ainsi que du vol de mes courriers par les policiers ripoux, étrangement passé sous silence dans l'Arrêt susvisé.
Il était évident qu'il savait tous pertinemment que ces pièces n'étaient plus dans mon dossier, voilà la raison qui explique le silence de mon avocat lors de sa plaidoirie.
Me DREYFUS n'a d'ailleurs jamais répondu à ma lettre reçue en RA du 22/04/03 (pièce 22)
En outre, si j'avais suivi les mensonges de DREYFUS, j'étais "planté" pour mon délai de recours en cassation.
Pour finaliser ma spoliation, un avocat du cabinet DREYFUS ! Me Jean-Luc MEDINA propose ses services à la partie adverse et tente (pièce 56 ou 40N)de m'imposer le partage de la communauté sur les bases d'un projet honteux du notaire DESCHAMPS Yves (infra p13)
Un projet curieusement déjà enregistré aux impôts !
Bien sûr, il s'agit là encore d'un hasard, et, Me MEDINA ignorait que son confrère Me DREYFUS était mon avocat qui avait saboté mon dossier. Me MEDINA président du conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) et secrétairet du conseil national des Barreaux, aurait-il une revanche à prendre pour les spoliations organisées par certains français durant la dernière guerre ?
Bizarrement le maillon DREYFUS, avocat et bâtonnier, a été débouté de sa constitution de partie civile lors des accusations d'outrages contre mes sites Internet en première instance.
VI - MAILLONS PROTECTEURS DES RIPOUX
VI - A - Des entraves à la justice par le juge Bernard BUFFIN
Pour protéger M MARGAILLAN Henri, ex responsable de la Brigade des Stups (un autre associé de CWIKOWSKI) auteur du vol de mes courriers :
Le 1er août 2002, le juge Monsieur BUFFIN Bernard a menti délibérément sur son "ordonnance de refus " (pièce 23 ou 48V-2), il écrit :
" MARGAILLAN n'a jamais contesté qu'il avait fait connaissance avec M GIRAUD "
Malgré l'insistance de mes écrits, dans son jugement le juge BUFFIN ignore la phrase de MARGAILLAN au procès verbal :
" Je ne connais pas non plus M GIRAUD " alors qu'il déclare cinq lignes plus bas :
" je suis gérant de la Sté C.P.S . " (Avec Giraud pour associé ! )
Du 11 septembre 2006, conclusions d'appel partie civile pour le 19 septembre 2006 : - 6 /30 -