- Jugement du 21/03/2000 - Me BOTTA-AUBERT Annie défend mes intérêts depuis un an, elle bloque toutes mes preuves et témoignages qui prouvent l'organisation frauduleuse de mon expulsion / spoliation par les policiers ripoux. Me BOTTA-AUBERT m'a informé sur mon portable que l'audience était reportée pour que je n'y assiste pas, et, elle s'est déroulée en mon absence.
On peut lire sur le jugement, concernant ma défense - (pièce 12 ou 1D6-3) :
" ... sans la moindre conclusion ni pièces de sa part que l'affaire est aujourd'hui jugée. "
Me BOTTA avait pourtant l'essentiel des pièces de son bordereau depuis un an (pièce 13 ou 22B)
En appel, à 8 jours d'un débit adverse de 420.000 FR (pièce 6 ou 60) en espèces, elle m'a" expédié " (pièces 14 et 15 ou 13B et 14B) parce que j'insistais pour qu'elle transmette mes pièces, et cela, alors qu'elle venait d'obtenir le règlement intégral de sa facture provisionnelle.
- ONC du 17/11/1998 - Me BESSON-MOLLARD Laurence défend mes intérêts depuis 4 mois, elle écrit :
" ... pièces que nous examinerons... audience... jour de la conciliation ..." (pièce 16 ou 1D5)
Ainsi, il m'a été impossible de contrer les faux que l'on m'a mis sous le nez ! A l'audience !
En 1998, j'attendais de Me BESSON-MOLLARD une ordonnance pour établir un constat d'adultère contre GIRAUD Paul Maurice (l'associé de CWIKOWSKI dans CPS qui exerçait dans le même bureau au 1 allée des Centaurées à Meylan)..
Elle a confirmé lors de son audition (PV 2004/15347/006) :
" J'ai déposé la requête le 8/12/98 et obtenu une ordonnance en date du 12/12/1998 "
Elle m'a, en effet, assuré avoir fait le nécessaire. Elle m'a confirmé (pièce 17) par écrit :
" j'ai fait immédiatement le nécessaire auprès de Maître MOURRE, huissier…"
mais l'huissier destinataire Me MOURRE a confirme lui (pièce 18) n'avoir jamais reçu cette ordonnance fantôme et il écrit :
" Malgré mes recherches, je n'ai pu retrouver l'original, ni même une copie de la requête et de l'ordonnance datant de décembre 1998. "
Qui ment Me BESSON-MOLLARD Laurence ou l'huissier Me MOURRE dont la confirmation écrite est corroborée deux fois sur la réponse du palais de justice (pièce 19)
J'ai parfaitement souvenir de mes interventions orales contre Me BESSON-MOLLARD et ces pièces confirment qu'il n'y a plus de doute. Me BESSON n'a jamais envoyé cette ordonnance :
- ni à Me MOURRE comme elle l'a écrit (pièce 17)
- ni au palais de justice qui a confirmé n'avoir aucune trace (pièce 19)
Mme BESSON-MOLLARD Laurence, une avocate qui ose déposer plainte et se constituer partie civile en espérant que personne ne regardera les preuves que je produis.
Je détiens les coupures de presse de 1989 d'un avocat BESSON Jean-Pierre qui aurait exercé au cabinet CROIZE-SOUMAGNE, et, qui avait détourné du compte d'un client 55.000 franc... Le conseil de l'ordre de Grenoble l'avait suspendu en 1985, de Paris en 1988. Il a été condamné à un an de prison… Aujourd'hui que fait le conseil de l'ordre ? Il protège !
Un an plus tard, sur l'ordonnance suivante, obtenue par Me BOTTA-AUBERT (pièce 20 ou 6D2), c'est M CATTEAU Charles Edmond Joseph, Premier Président du Tribunal de Grande Instance qui a rayé de sa main les mots week-end et jours fériés, pour réduire la portée de l'ordonnance obtenue contre GIRAUD Paul, alors que mon épouse ne passait justement que les week-end chez GIRAUD.
Bizarrement cette ordonnance m'est parvenue cinq semaines après la signature, en fin de validité (2 mois).