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COMMENT ILS ORGANISENT LES SPOLIATIONS AVEC LE SOUTIEN OU LE SILENCE DE TOUS LES JUGES. De véritables truands qui protègent la délinquance financière installée dans nos institutions. |
2019 ? René FORNEY confirme et prouve ce que dit le juge Laurent Lèguevaque |
MÉMOIRE DEVANT LA CHAMBRE DE L'INSTRUCTION A l'appui de l'appel pour l'audience du mercredi 17 décembre 2008 à 9h devant la chambre de l'instruction au Palais de justice de la Cour d'Appel de Grenoble POUR : Monsieur René FORNEY, né le 05 Novembre 1954 à NIMES - 30-(Gard) de nationalité Française, demeurant au 4, Chemin Montrigaud, 38000 Grenoble. Ingénieur en métallurgie sans emploi. CONTRE : Madame RAYMOND Janine Fernande divorcée Forney - Domiciliée au 40 avenue Romain Rolland-38400 St Martin d'Hères Village. Attachée au service environnement, Mairie d'Echirolles (38130) I M. FORNEY EXPOSE DES EXTRAITS DU CONTEXTE DES FAITS : 1) Le 30 oct. 98, noté sur PV de police n°, Mme RAYMOND déclare (pièce 1 ou 10T) :
Une déclaration, seulement 10 jours avant l'audience du 10 nov. 98 devant le JAF. 2) Le 7 oct. 1998 , 3 jours avant l'audience devant le JAF du 10 oct. 98, mon avocate depuis juillet 98 (Me BESSON MOLLARD Laurence) m'informe de la date de l'audience et confirme par écrit ((pièce 2 ou 1D5) :
A u lieu de demander un report comme cela se pratique toujours en pareilles circonstances, je remarque avec mes connaissances actuelles que c'était une bien curieuse façon d'entraver ma défense et de valider les 7 mois du verrouillage effectif de mes accès aux avoirs bancaires. 3) Le 21 mars 2000 , page 3 de mon jugement suivant (pièce 3 ou 1D6-3) le juge écrit :
Encore une méthode pour refuser mes pièces communiquées depuis 1an à mon avocate BOTTA-AUBERT Annie où étaient mis en cause des anciens de la police (pièce 4 ou25V6) ! 4) Pour l'arrêt suivant du 16 oct. 2001 , par une lettre (pièce 5 ou 24R) mon avoué Me CALAS Jean vide mon dossier de 23 pièces à mon insu avant l'audience en écrivant :
La date de clôture était pourtant au 5 juin 2001 ! Encore une curieuse façon d'entraver ma défense . Mon avocat était Me DREYFUS Denis candidat bâtonnier. 5) Le 20 mars 2001 , Mme RAYMOND débite en espèces 422.607,00 francs (pièce 6 ou 60) 6) Le 9 fév. 2001 , suite à ma vue de sa main dans ma boîte aux lettres M. MARGAILLAN Henri répond sur PV de police (pièce 7 ou 26V4) page 2 :
Alors que GIRAUD est parmi ses 9 associés dans C.P.S. (pièce 4 ou25V6). J'apprenais entres autres par Mme JAUGEY Corinne (ex-épouse GIRAUD) qu'ils contrôlaient ainsi les procédures judiciaires, qu'ils travaillaient avec des huissiers et avec BUISSON Jean-Marc. 7) En utilisant ses papiers de la police, le retraité M. Alain DEPIT se fait imprimer aux services fiscaux (bd Joseph Vallier à Grenoble) tout le listing de la famille FORNEY. M. MOURARET René (services fiscaux), … connaissent ces faits. 8) Demeurant à Eybens, en 2001 les époux SAVARY Éric / LEPORT Agnès sont acquéreur du bâtiment de 3 niveaux d'habitation (voisin de ma maison et dont je possède un droit de préemption). Ils sont menacés par BUISSON Jean-Marc, puis, 7 jours après le compromis il est totalement réduit en cendre - Ce « détail » est écrit par le notaire (pièce 8 p 2 ou 19N) 9) Le 2 mai 2003 , je porte à nouveau plainte pour escroquerie contre des associés de Centaurées Protection Sécurité. La société est dissoute 2 semaines après (pièce 9). J'apporte à Me Patrick MARTIN et à M DESFONDS de la police la lettre d'un dénonciateur (pièce 10) concernant la société exerçant à nouveau avec le nom « IMPACT ». La société est dissoute 3 jours plus tard ! (pièces 11) 10) Le 25 mai 2004 mon ex-épouse écrit au syndic :
11) En mars 2005 , est enregistré aux services fiscaux de Grenoble le partage ci-dessus. M ROSALIA, M PEZZALI, Mme VALLIER, M MOURARET René en sont témoins et, suite à mes contestations du 18 mars 2005 , ils ont rétabli l'affectation fiscale des 3 biens immobiliers toujours en communauté en 2008. Je suis propriétaire à 75% de la maison de St Martin d'Hères et celle-ci était déjà enregistrée au nom de mon ex-épouse en 2005 ! 12) Le 4 avril 2006 , sur le parvis du palais de justice, je suis roué de coups par M. CWIKOWSKI (ex professeur de karaté dans la police) alors que je venais d'être partie civile à une audience où il était poursuivi pour le vol de 20.000 fichiers de la police revendus 600.000 euros. Il a été le seul inculpé parmi les associés de la société Centaurées Protection Sécurité (pièce 4 ou 25V6) 13) Etc. Qui peut encore croire que cet extrait résumé de faits cumulés peut résulter de coïncidences ? II DES TÉMOIGNAGES PRÉCISENT LA RELATION PARTICULIÈRE ENTRE GIRAUD PAUL ET MADAME RAYMOND JANINE : Le rapport de M GOYON et sa lettre du 24/11/2000 (pièces 12 ou 2D2) prouvent des liens autres que simplement professionnels, entre Mme RAYMOND et M GIRAUD, il est écrit :
M. GIRAUD Paul Maurice et BUISSON Jean-Marc Robert sont en « relation d'affaires » mais sont aussi tous deux uniques témoins adverses dans la procédure de divorce exposée précédemment en 2), 3), 4) Compte tenu de la relation particulière de GIRAUD avec Mme RAYMOND, il parait difficile d'imaginer que M GIRAUD n'est pas eu recours à ses associés et relations pour entraver la manifestation de la vérité aux vues des coïncidences exposées au chap. I III LES FAITS EN CAUSE DEVANT LA CHAMBRE DE L'INSTRUCTION Le 11 mai 2005 , devant Mme le juge BONIN Sylvie (3 eme Chambre TGI) prononçant les modalités du partage de la communauté, M FORNEY a produit un extrait des archives notariales attestant de l'acquisition du bien de Saint Martin d'Hères sur ses fonds propres. Le détail du reçu (daté du 21 juillet 1981) en l'étude du notaire ESCALLIER est ainsi détaillé ( pièce n°15 ou 48F) :
En cas de contestation du titulaire des comptes le FICOBA peut confirmer. En effet, Mme RAYMOND comme ses parents agriculteurs avaient des comptes au Crédit Agricole de Lansargues (Hérault). A l'appui de ce reçu M FORNEY :
En novembre 2005 , 7 mois plus tard, en réaction aux documents produits par M FORNEY, Mme RAYMOND présente le document contesté intitulé « reconnaissance de dette » Monsieur FORNEY n'a reçu aucune aide la famille de son ex-épouse, et, ce document n'a qu'un but : détourner la preuve extraite des archives notariale (pièce 15 ou 48F). Le 18 janvier 2006 , M FORNEY a porté plainte pour faux usage de faux. Le 19 avril 2006, les preuves de l'usage du faux était communiqué à Mme MAS Marie-Laure. La partie adverse a fait fabriquer ce document à partir de mes 45 ans d'archives personnelles que ma brusque expulsion du 6 décembre 1998 ne m'a pas permis de récupérer. Cela pour minorer ma part de la communauté de plus de 100.000 euros (compte tenu de l'actualisation du faux sur 27 ans) et pour se faire attribuer ce bien acquis avec mes fonds propres. Il suffit simplement de vérifier le contenu, les incohérences et l'inexistence des versements pour démontrer que c'est un faux qui ne peut exister d'autant que Mme RAYMOND a une maîtrise de droit obtenue à Montpellier. IV LES ACTIONS DU JUGE D'INSTRUCTION POUR RECHERCHER LA VÉRITÉ M.FORNEY n'a pas eu communication des pièces de l'instruction malgré les demandes à son avocat, ni davantage la communication du rapport d'expertise du faux, mais seulement la conclusion de l'expert M CERTOUX Jean-François qui se résume ainsi : Le document est écrit au stylo à bille et est de l'écriture de M. FORNEY. C'est probablement la seule démarche de Mme la juge d'instruction Comment est-t-il possible que ce soit un policier en activité à Grenoble, encore promu au journal officiel par arrêté du 19 mai 2008 ( NOR: IOCC0811169A ) qui réalise cette expertise en écriture ? En plus, dans le contexte de cette affaire où je dénonce depuis des années le réseau d'ex-policiers truands dont la plupart sont déjà condamnés et associés de GIRAUD, l'amant de mon ex-épouse qui est lui-même ex-policier associé dans CPS (pièce 4 ou 25V6). L'expert policier M CERTOUX connaissait mes dénonciations de ses confrères locaux. D'autres experts en écriture existent et sont en général issus d'autres disciplines. Mme la juge d'instruction écrit sur son ordonnance :
Cela est totalement faux puisque j'ai fourni le reçu du cabinet ESCALLIER ( pièce n°15 ou 48F) notaire à Domène extrait de ses archives notariales. Ce document ne peut constituer meilleure preuve de mes paiements effectifs du bien de St Martin d'Hères sur mes comptes personnels. Ma demande du 2 novembre 2008 pour examiner l'original en présence d'un expert auprès des tribunaux de mon choix n'a reçu aucune réponse. V LES ANOMALIES DU FAUX CONTESTÉ ET RELEVÉES PAR M. FORNEY La copie du faux est tamponnée : copie conforme par le notaire DESCHAMPS Yves alors que le paiement du bien pour lequel il serait produit a eu lieu 8 jours plus tard en l'étude du notaire ESCALLIER à Domène (38). Le reçu du 21 juillet 1981 extrait des archives notariale (pièce 15 ou 48F) prouve la transaction. Alors que Mme RAYMOND a une maîtrise de droit , elle aurait accepté un document à forte valeur juridique et financière dépourvu des précisions concernant l'affectation, le motif, les témoins de ce document présenté comme une reconnaissance de dettes qui auraient servir à l'achat du bien de saint Martin d'Hères. Si cette reconnaissance avait un fondement réel, Mme RAYMOND avec une formation en droit aurait déposée ce document chez le notaire qui a encaissé les fonds Me ESCALLIER. Surtout lorsque ce document contesté présente seulement huit jours d'écart avec le paiement du bien ! Sur le faux, i l est écrit :
Là encore ce contenu n'a pas de sens logique dans le contexte où il est utilisé ! Il est parfaitement connu que des faux, que ce soient des tableaux ou des objets d'antiquités, ont « berné » beaucoup d'experts par le passé. VI PAR CES MOTIFS CONSTATER que les droits de la partie civile n'ont pas été respecté puisqu'il n'y a pas eu communication des pièces de l'instruction, ni davantage du rapport d'expertise, ni aucun rendez-vous pour l'examen de l'original alors que le juge l'avait accordé. DIRE ET JUGER que dans la mesure où l'instruction doit pouvoir se prononcer :
L'instruction doit obtenir les éléments indispensables à la manifestation de la vérité :
ORDONNER en conséquence le supplément d'information demandé au juge d'instruction par Monsieur FORNEY SOUS TOUTES RESERVES N° pièces jointes : 1 30/10/98, PV de police, Audition de Mme RAYMOND Janine (2 pages) 2 (ou 1D5) 3/11/98 - Lettre de Me BESSON-MOLLARD Laurence précédant l'ONC 3 (ou 1D6-3) 21/03/2000, Extrait page 3 annotée par M FORNEY du jugement de divorce. 4 (ou 25V6) - Extraits pages 1 et 10 des statuts de la Sté Centaurées Protection Sécurité (C.P.S.) (2 pages) 5 (ou 24R) 22/06/01 - Sommation de Me CALAS à restituer les pièces 1 à 9, 19 à 22, 58 à 61 6 (ou 60) 21/03/2001 - Relevé bancaire. Débit en espèces 422 607,00 FR par Mme RAYMOND 7 (ou 26V4) - PV d'audition 2000/006 de M MARGAILLAN Henri - Vol de courriers en mai 2000 (2 pages) 8 (ou 19N) Courrier de Maître Bruno ESCALLIER à Me CLEMENT-CUZIN en date du 9 juin 2002 (2 pages) 9 (ou 50) - Jugement de la liquidation déclarée le 23 mai 2003 de la société CPS (2 pages) 10 (ou ex13) - Lettre d'un « corbeau » avec l'enveloppe de Nice datée au 7/03/05 11 (ou49-1, 49-2, 49-6) - Sté IMPACT Statuts CWIKOWSKI / DEPIT- PV dissolution anticipée 3 pages 12 (ou 2D2) : Lettre et C. id.de M GOYON du 24/11/2000 attestant de la relation GIRAUD / RAYMOND 15 (ou 48F) : Reçu de mes paiements en l'étude de Me ESCALIER en date du 21 juillet 1981 16 ( ou 63N) Lettre de Me ESCALLIER Bruno en date du 4 mai 2005 accompagné de la page 666 n°13-14 1avril 2005 de la semaine juridique notariale (3 pages) |