Comme pour les milliers de tutelles, depuis 14 ans, je suis TOTALEMENT dépossédé de l'essentiel de mes biens. En rendant le jugement ci-dessous, le magistrat truand Jean-Claude LEGER confirme ainsi sa complicité avec les ripoux !

Comment le juge LEGER peut-il se sentir si puissant pour pouvoir considérer que le reçu du notaire ESCALLIER justifiant du paiement sur mes deniers personnels de ma maison, et, extrait des archives notariales, ne puisse constituer une preuve de mon paiement sur fonds propres et me déposséder de mon bien ? La lettre du notaire de la famille depuis 1980, accompagnée de la jurisprudence de cassation, dénonçant le scandale est pourtant entre ses mains !
Comment le juge LEGER peut-il me soustraire une deuxième fois les revenus locatifs de l'appartement rue MOISSAN alors qu'il sait que c'est mon ex-épouse qui les a encaissés sur décision des juges aux affaires familiales successifs en me laissant seulement le RMI ?

Comment le juge LEGER peut-il valider des avoirs bancaires de 50.000 € présentés par mon ex épouse, à une date unique fixée par elle, alors qu'il a en main les preuves qu'elle a dépensé 112.000 € en 6 mois suivant ses déclarations ? J'ai pourtant demandé à plusieurs reprises à l'expert et aux juges que les comptes soient examinés avant et après la date de la présentation par mon ex épouse pour prouver la mystification et sa préparation de relevés factices juste pour la date du divorce.
Les deux ans du refus total de l'expert de contacter mon notaire prouve sa volonté d'entraver la vérité sur le détournement des fonds de la communauté, et, que mon insolvabilité présentées comme organisés a été du fait des actions de mon ex épouse et son amant.

Il faut rappeler le début des trafics : Au lieu de demander un report comme cela se pratique en pareille circonstance,  on peut lire dans la lettre de mon avocate au début de cette affaire devant le JAF :

« …compte tenu de la proximité de l'audience nous examinerons les pièces le jour de l'audience »

Il s'agit là d'une action volontaire pour mon ex avocate BESSON-MOLLARD Laurence de m'empêcher de d'organiser ma défense ! ! Et, les autres ont emboîté la même méthode.
Quand va t-on mettre un terme aux actions de ces juges affairistes mafieux installés dans nos institutions sur toute la France ?
Le juge Jean-Claude LEGER fait parti de ceux-là. C'est prouvé par sa curieuse manière de valider ma spoliation en ayant pourtant en main les preuves que l'amant de mon ex épouse GIRAUD Paul ex policier était revendeur pour 600.000 euros de 20.000 fichiers de la police, dans une association de malfaiteurs protégés, avec son complice CWIKOWSKI Bruno commissaire révoqué, condamné à nouveau pour corruption active en 2003.

En l'absence de prestation compensatoire, j'entends aussi faire valoir l'enrichissement sans cause et les salaires différés que la communauté me doit pour mes années de travail sur les trois biens immobiliers financés avec mes indemnités de licenciement économique de 1989 et de 1993 prouvés par les attestations de mes témoins. Mes travaux de réhabilitation de la ruine achetée sur mes fonds propres et des logements vétustes, parfois en double activité avec mon travail en usine, doivent m'être rémunérés pour ma retraite et régularisés pour mes années d'activité non déclarées. Des activités professionnelles qui dépassent largement la contribution normale aux charges du ménage …

L'expert AMOUROUX Jean René totalement aux ordres a fourni tous les moyens de forcer ma spoliation telle que prévue par le notaire escroc DESCHAMPS Yves. Il pourra déclarer qu'il a été payé 4500 € (comme une femme de ménage) pour un travail baclé.

La partie adverse a financé pour 420.000 francs en espèce les faux (Voir mes conclusions) avec ses complicités