René FORNEY, 4
chemin Montrigaud, 38 000 Grenoble, Tel : 06 13 84 59 96
Grenoble le vendredi 9 juillet 2004
Lettre RA 4307 5942 2FR
Objet : Réponse à votre
lettre datée du 28 juin 2004.
A l'attention de Monsieur MEDINA Jean-Luc
7, Place Firmin Gautier, BP 476, 38 000 Grenoble
Monsieur,
Spoliés depuis 1998, je n'exige que mes droits
et la part de mes biens.
Je m'étonne de vos écrits " réponse sous huit
jours ", " procès verbal de difficultés "
... que vous savez ne reposer sur aucune base légale.
Y aurait-il soudainement urgence, alors que Mme RAYMOND Janine, votre
cliente, a pris 6 mois pour finalement refuser de répondre aux
conclusions de mon recours en révision contre les faux et mes preuves
de sa manipulation des tribunaux (procédure toujours en cours).
Depuis 6 mois, je poursuis mes démarches pour récuser
le notaire véreux DESCHAMPS Yves qui a prétendu être
nommé au hasard, parmi la centaine de
notaires locaux, en décembre 2003, pour le partage des biens de
la communauté.
Ce notaire a exercé, totalement à mon insu, depuis trois
ans, pendant l'instance de divorce, des transactions
avec mes biens immobiliers communs. Je ne signerai aucun acte par
devant lui.
Vous prenez un gros risque en intervenant sur cette affaire
de corruption et trafics
d'influence qui touche les plus hauts niveaux du milieu judiciaire
grenoblois.
La qualité de votre discours comme Président du CRIF (sur
la communauté juive en France et en Israël) aux dîners
annuels en présence de M Jean-Michel COUTIN (Président du
Tribunal de Grande Instance) sera peut être insuffisants pour votre
cliente dans ce contexte.
Vous êtes l'associé de Me DREYFUS
Denis (bâtonnier comme vous) mon ex-avocat acheté par
la partie adverse qui a poursuivi les blocages de mes preuves comme son
prédécesseur Me
BOTTA AUBERT Annie. Des blocages alors que mon épouse a effectué
un débit en espèces de 422
607,00 fr. juste avant l'audience d'appel par devant Monsieur le juge
DOUYSSET. Or cet appel faisait déjà suite à un
jugement vicié
sans pièce ni conclusions de ma défense.
Vous savez sans doute pourquoi après cette escroquerie aux jugements
votre cliente indique qu'elle serait prête à régler
à ma place la part contributive. Il appartiendra aux futurs procureurs
de sanctionner ces dérives le moment venu.
Vous trouverez davantage de détails sur Internet en tapant sous
GOOGLE : botta aubert avocate
Pour ce qui est de l'essentiel du partage :
La maison occupée
par mon ex-épouse a été acquise à 6 mois
du mariage :
- avec 50 % sur mes deniers personnels,
- avec 50 % sur un emprunt de la communauté pour la restauration,
elle m'appartient donc de ce fait déjà
à 75 %.
Ajoutez à cela que, depuis 6 ans, mon épouse me doit un
loyer de cette maison de 130 m2 habitables meublée avec des annexes
et garage deux véhicules sur un terrain de 1800 m2.
Ajoutez à cela que ce sont mes périodes de chômage
et primes de licenciement qui m'ont permis de travailler sur cette propriété
en l'augmentant à sa valeur actuelle à plus de 400 000
euros.
Cette maison m'appartient donc en totalité. Le
temps ne fera que confirmer cette évidence.
Concernant les deux appartements de 50 m2 de construction
1958 acquis avec les biens de la communauté et mes primes de
licenciement. J'accepte le partage en deux.
Pour la cagnotte
d'un million de francs (150 000 euros), accumulée et isolée
sur les comptes de mon épouse avant sa demande en divorce, j'ai
produit sur mon site les preuves de débits de plus de 720
000,00 fr. sur un seul semestre 2001. Je demande (60 000 euros)
pour épurer mes dettes
actuelles dont elle est la cause et m'organiser pour ne plus dépendre
du RMI.
Tous tribunal et notaire impartial ne pourra que contribuer à apporter
d'autres preuves bancaires de la cagnotte illégale de l'épouse
à Grenoble et sur les autres lieux et
personnes.
De plus, il faudra bien que le notaire DESCHAMPS rende des comptes sur
ses manipulations en sachant parfaitement
que l'épouse agissait illégalement en étant encore
mariée.
Mes adversaires vous ont choisi parce que vous êtes
Président de la FNUJA. Vos clients comptent ainsi sur vous pour
contrôler tout jeune avocat de l'aide juridique qui pourrait
être désigné pour m'assister.
Etant le descendant d'un peuple spolié dans un passé récent,
vous êtes bien placé pour comprendre ma situation.
Si Madame RAYMOND J. (ex - FORNEY) espère encore
quelques véreux pour entériner la proposition
malhonnête de Me DESCHAMPS, qu'elle sache que tout jugement
et acte viciés peut être révisé tôt ou
tard. Les dérives mafieuses de certains francs-maçons finiront
par être sanctionnées.
Veuillez agréer, mon Très Cher Maître,
mes salutations.
En copie prochainement sur le site Internet.
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