Accueil    Suite de la procédure LES MAFIEUX ONT CONTINUÉ JUSQU'A MA DÉPOSSESSION SANS COMPENSATION avec les détournements des courriers ordonné à la poste pour bloquer la cassation


2020 ?

      Réponse au nouvel avocat adverse Jean-Luc MEDINA qui lui s'occupait de ma dépossession de mes biens (découverte en 2010) associé à Denis DREYFUS mon avocat qui me plante donc volontairement ! En violant son code de déontologie concernant son associé du même cabinet.
(Le 2 décembre 2004, je constate que la nouvelle avocate adverse est Me POIROT Martine)  2016 ? Appel à témoins 0763156646

René FORNEY, 4 chemin Montrigaud, 38 000 Grenoble, Tel : 06 13 84 59 96

Grenoble le vendredi 9 juillet 2004
Lettre RA 4307 5942 2FR

Objet : Réponse à votre lettre datée du 28 juin 2004.

A l'attention de Monsieur MEDINA Jean-Luc
7, Place Firmin Gautier, BP 476, 38 000 Grenoble

Monsieur,

Spoliés depuis 1998, je n'exige que mes droits et la part de mes biens.
Je m'étonne de vos écrits " réponse sous huit jours ", " procès verbal de difficultés " ... que vous savez ne reposer sur aucune base légale.
Y aurait-il soudainement urgence, alors que Mme RAYMOND Janine, votre cliente, a pris 6 mois pour finalement refuser de répondre aux conclusions de mon recours en révision contre les faux et mes preuves de sa manipulation des tribunaux (procédure toujours en cours).

Depuis 6 mois, je poursuis mes démarches pour récuser le notaire véreux DESCHAMPS Yves qui a prétendu être nommé au hasard, parmi la centaine de notaires locaux, en décembre 2003, pour le partage des biens de la communauté.
Ce notaire a exercé, totalement à mon insu, depuis trois ans, pendant l'instance de divorce, des transactions avec mes biens immobiliers communs. Je ne signerai aucun acte par devant lui.

Vous prenez un gros risque en intervenant sur cette affaire de corruption et trafics d'influence qui touche les plus hauts niveaux du milieu judiciaire grenoblois.
La qualité de votre discours comme Président du CRIF (sur la communauté juive en France et en Israël) aux dîners annuels en présence de M Jean-Michel COUTIN (Président du Tribunal de Grande Instance) sera peut être insuffisants pour votre cliente dans ce contexte.
Vous êtes l'associé de Me DREYFUS Denis (bâtonnier comme vous) mon ex-avocat acheté par la partie adverse qui a poursuivi les blocages de mes preuves comme son prédécesseur Me BOTTA AUBERT Annie. Des blocages alors que mon épouse a effectué un débit en espèces de 422 607,00 fr. juste avant l'audience d'appel par devant Monsieur le juge DOUYSSET. Or cet appel faisait déjà suite à un jugement vicié sans pièce ni conclusions de ma défense.
Vous savez sans doute pourquoi après cette escroquerie aux jugements votre cliente indique qu'elle serait prête à régler à ma place la part contributive. Il appartiendra aux futurs procureurs de sanctionner ces dérives le moment venu.
Vous trouverez davantage de détails sur Internet en tapant sous GOOGLE : botta aubert avocate

Pour ce qui est de l'essentiel du partage :

La maison occupée par mon ex-épouse a été acquise à 6 mois du mariage :
- avec 50 % sur mes deniers personnels,
- avec 50 % sur un emprunt de la communauté pour la restauration,

elle m'appartient donc de ce fait déjà à 75 %.
Ajoutez à cela que, depuis 6 ans, mon épouse me doit un loyer de cette maison de 130 m2 habitables meublée avec des annexes et garage deux véhicules sur un terrain de 1800 m2.
Ajoutez à cela que ce sont mes périodes de chômage et primes de licenciement qui m'ont permis de travailler sur cette propriété en l'augmentant à sa valeur actuelle à plus de 400 000 euros.

Cette maison m'appartient donc en totalité. Le temps ne fera que confirmer cette évidence.

Concernant les deux appartements de 50 m2 de construction 1958 acquis avec les biens de la communauté et mes primes de licenciement. J'accepte le partage en deux.

Pour la cagnotte d'un million de francs (150 000 euros), accumulée et isolée sur les comptes de mon épouse avant sa demande en divorce, j'ai produit sur mon site les preuves de débits de plus de 720 000,00 fr. sur un seul semestre 2001. Je demande (60 000 euros) pour épurer mes dettes
actuelles dont elle est la cause et m'organiser pour ne plus dépendre du RMI.


Tous tribunal et notaire impartial ne pourra que contribuer à apporter d'autres preuves bancaires de la cagnotte illégale de l'épouse à Grenoble et sur les autres lieux et personnes.

De plus, il faudra bien que le notaire DESCHAMPS rende des comptes sur ses manipulations en sachant parfaitement que l'épouse agissait illégalement en étant encore mariée.

Mes adversaires vous ont choisi parce que vous êtes Président de la FNUJA. Vos clients comptent ainsi sur vous pour contrôler tout jeune avocat de l'aide juridique qui pourrait être désigné pour m'assister.
Etant le descendant d'un peuple spolié dans un passé récent, vous êtes bien placé pour comprendre ma situation.

Si Madame RAYMOND J. (ex - FORNEY) espère encore quelques véreux pour entériner la proposition malhonnête de Me DESCHAMPS, qu'elle sache que tout jugement et acte viciés peut être révisé tôt ou tard. Les dérives mafieuses de certains francs-maçons finiront par être sanctionnées.

Veuillez agréer, mon Très Cher Maître, mes salutations.

En copie prochainement sur le site Internet.

CRIF : Conseil Représentatif des Institutions juives de France
FNUJA : Fédération Nationale de l'Union des Jeunes Avocats