Nathalie MALARDEL est une juge mafieuse qui vient s'ajouter à la
liste des magistrats corrompus. Elle poursuit l'action de 4
juges corrompus qui m'ont dépouillé de mes biens pour favoriser mon
ex épouse, RAYMOND (ex Mme FORNEY) par un divorce imposé.
Non satisfaite que ma propre villa achetée de mes fonds propres (voir justificatif du
bien propre) ait été octroyée illicitement à mon ex épouse
sans compensation (c'est à dire donnée. Sur sa valeur
actuelle de plus de 1 million d'euros, des crapules de la justice ont décidé que je n'ai droit à rien et font filtrer par
la poste mon recours en cassation.
Vu le dossier pénal qu'elle a en main, au lieu de surseoir à statuer, cette juge poursuit le pillage de mes biens par complicité à une bande de truands issus des rangs de la Franc-maçonnerie Grenobloise qui soutiennent Jeanine Fernande RAYMOND responsable de service des permis de construire pendant 15 ans au service d'élus locaux en mairie.
2013, par un jugement rendu en plein congé d'été au 3 août pour entraver le recours en appel, Mme MALARDEL fait vendre le 2ème bien afin d'enrichir un peu plus Mme RAYMOND (Famille ROUSSET de Lansargues 34130) pour compléter l'attribution de ma villa sur 1800 m² décidée par les juges truands : Jean-Claude
LEGER, Mme Françoise
LANDOZ, Mme Claude-Françoise KUENY, Mme Véronique KLAJNBERG). Ainsi mon ex épouse a volé deux propriétaires (moi et
celui de l'autre partie où j'avais un droit d'acquisition prioritaire). Cette propriété volée en étrillant toutes les règles de droit est devenue constructible pour
4.000 m2 habitables
Le but de la mafieuse MALARDEL est de me dépouiller totalement sachant qu'elle ne pouvait pas ignorer que Mme RAYMOND recèle 200.000 euros de
fonds de la communauté sans que cela ne soit tenu compte dans le calcul fait par la justice pour le partage. A ce jour, 200.000 euros + une propriété sur 1800 m² de terrain + un appartement ont déjà été octroyé par la justice à mon ex épouse comme si je n'existais pas, puisque de cela je n'ai rien eu.
En 2015, la dépossession du dernier
bien que j'occupe est en
cours. Pendant ce temps, je dois vivre du RSA !
Affaire à suivre avec la publication prochaine d'une vidéo explosive puisque récapitulative de toute cette dérive judiciaire. Signé : René FORNEY