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« La Crise » : La gigantesque partie de Monopoly touche à sa fin. Les financiers filous sont parvenus au contrôle quasi total des pays développés. L'entente entre toutes les banques se constate dans le message subliminal identique contenu (depuis plusieurs années) dans tous les chèques (Dissimulé dans les traits support d'écriture)
C'est la réduction forcée des peuples en esclavage par le crédit et la délinquance
financière. sont des escrocs grassement payés par les banques pour dépouiller les investisseurs crédules.
Les Jérômes KERVIEL
 
 
Vous ne pouvez plus vous loger avec votre revenu, mais travaillez plus ! ! ! Vous ne trouvez pas de boulot, vous ne pouvez-pas augmenter vos revenus, mais faites donc un crédit ! ! !
Avec un crédit sur 5 ans, le prêt est trop faible, mais empruntez donc, beaucoup plus, sur 30 ANS !
Vous n'aimez pas vivre à crédit, vos élus se chargeront de vous créer une dette énorme, y compris sur le dos de vos enfants ! Vous ne pouvez pas payez vos impôts, ils prendront les biens qui vous restent.
 
Pourquoi cette marche forcée ? Le profit maximum pour les banques, assurances et surtout pour les financiers qui les contrôlent. Une population en baisse : moins de consommation excessive, moins de croissance forte, moins de crédit, donc des marges moindres sur les taux pour les financiers, donc ils forcent la reproduction et l'imigration.
Depuis 60 ans, les familles et les emplois sont de moins en moins stables.
La conséquence principale est l'impossibilité de payer un crédit sur des longues périodes. Au final, des années de paiement pour des biens qui seront saisis par les banques et les financiers de l'immobilier. Les hommes politiques de nos États (soumis aux dictats de la finance internationale pour financer leur élection) sont des complices forcés de ces escroqueries organisées. En effet, seul eux ont le pouvoir de délivrer les autorisations qui limitent les risques financiers pour les individus.

Les banques utilisent la cupidité de nos politiques pour les conduire eux-mêmes à recourir à des crédits différés qui permettent de prélever les impôts après les élections voire par l'élu suivant 5 ans plus tard. Cette délinquance financière trouve souvent son origine dans le passé des élus. Grenoble en Isère est l'exemple flagrant des dérives étendues aux pays développés. Des élus comme CARIGNON avait déjà un passé de délinquant financier protégé par la justice locale avant sa mise en place à la mairie de Grenoble. Les abus de son gang étaient devenus tellement étendus que les tribunaux ont été obligés d'y mettre un terme. Sa condamnation dérisoire ne l'empêche pas de continuer à vivre confortablement au Maroc avec l'argent volé aux grenoblois.
Le maire suivant, Michel DESTOT, aussi, semble étrangement soumis à des juges aveugles. Ceux-ci avaient pourtant commandé à deux experts comptables un rapport

d'expertise accablant pour M DESTOT Michel dans sa gestion, sur trois ans de la société CORYS, présentée comme frauduleuse. Ce rapport que je l'ai moi-même mis sous les yeux de Michel
DESTOT au 2 ème tour des législatives de juin 2007 dans les salons de la préfecture, sous les caméras de plusieurs journalistes, en demandant au maire s'il pouvait en fournir quelques explications. Sa seule réponse en me lâchant ma poignée de main dérangeante : « Qui vous êtes, qui vous êtes » écarlate avant de tourner les talons en s'enfuyant. Malgré de nombreux témoins de la scène, le lendemain pas un seul mot dans les médias de mon interview au moment il devait commenter les résultats de sa réélections ! ! ! La aussi, une presse très bien muselée. Le peuple ne saura rien de cette information que l'homme politique a su cacher pendant 15 ans.
Comme d'autres qui nous gouvernent, après ses entraves à la manifestation de la vérité dans des procédures judiciaires, l'avoué POUGNAND Hervé Jean Bertrand est devenu maire de La Tronche ! ! !
Les financiers des banques internationales gèrent l'argent de la drogue, des trafics d'armes, de la corruption, des guerres… et le recycle dans nos économies en achetant tout : l'immobilier, les usines, les médias, les politiques, les juges… (La propriété privée : OUI, mais avec des limites)
Ce qu'il reste de vos salaires déjà fortement amputé (par des impôts détournés sur des emplois fictifs, des commissions occultes, des associations de complaisances…) se retrouve en concurrence avec le pouvoir d'achat de ces financiers aux fortunes mafieuses.
Combien de temps les peuples devenus esclaves en payant à chaque tournant, vont-ils accepter cela ?

Quelle solution ? Remettre la partie de Monopoly au départ ! ! !

Certains vous orientent vers une guerre illusoire contre les paradis fiscaux alors que nous avons tout pour la gagner dans nos frontières.
La seule porte de sortie pour le peuple est d'exiger le retour dans les caisses de l'État des fonds et biens volées depuis 60 ans par ces notables ou hauts fonctionnaires corrompus.
Un retour sans se limiter à la personne uniquement, mais aussi à tous les bénéficières et complicités.
Un retour en limitant fortement les capitaux étrangers.
Un retour en récupérant les biens immobiliers des non résidents ...
Les partis politiques qui préconisent des « reformettes » n'ont qu'un souci : préserver ce qu'ils ont eux même volé au peuple. En coulisse, beaucoup de notables ont utilisé leurs pouvoirs pour reprendre au peuple ce qu'il avait conquis.
Il faut refaire 1789
. Le comportement de nos députés est honteux.
Je doute que les voleurs d'argent comme des libertés restituent sans de très fortes contraintes.

Avec quelques mesures de récupération, vous serez surpris de retrouver un État français sans dette !

TOUT est verrouillé. Les élus des États ont mis en place des systèmes électoraux basés sur la nécessité d'importants capitaux. De ce fait, le combat politique est inaccessible aux gens du peuple qui se retrouvent contraints de choisir parmi des candidats présentés avec le soutien des financiers et des médias qu'ils possèdent !
Une réponse très pertinente de Maurice SARAZIN (février 2009)


La faillite bancaire avec des
milliards d'euros encaissés (!) :
Ici l'exemple de l'Espagne

Subprimes aux US = APPOLONIA en France ou l'ADIM ou ...
C'est l'arnaque autorisée des banques :
Elles peuvent placer douze fois ce qu'elles ont en dépôt, donc elles gonflent le dépôt avec du papier.

Le papier est (par exemple) la garantie que vous allez payer votre maison. Même si vous ne pouvez pas payer, aucune importance puisqu'elles auront récupéré votre garantie en plaçant 12 fois le montant à un taux d'intérêt au rapport de 11 à 15 % en INDE ou en CHINE.

Un prêt de 100.000 € en garantie, leur rapporte 130.000 € d'intérêts en 1 an !

QUI a autorisé cette dérive pour le profit de quelques personnes ?!

Valeur travail = négligeable

  Médias = Manipulations à la télé ?    Censure
Alors que j'ai deux emails : refaire1789 sur yahoo et gmail depuis 5 ans, Marianne parle (la semaine dernière ci-dessous) de refaire 1789, j'avais un peu d'avance sur le constat des évènements politique de notre pays ?

COMME EN 1789

Les Français ont voté pour le changement, et écopent d'un exécutif sans projet ni objectif. Pour que le pays rebondisse, une crise de régime est salutaire.
Quand Louis XVI se résolut à convoquer les états généraux, le scrutin fut, selon la tradition, précédé de la rédaction dans tous les bailliages de France de cahiers de doléances, chaque ordre, clergé, noblesse et tiers état, rédigeant son propre cahier. On en a conservé la synthèse. Qu'en découle-t-il ? Que les Français, dans leur immense majorité, aspiraient à des réformes qui se fussent traduites par plus d'égalité, moins d'injustice, moins d'abus, moins d'arbitraire, et moins d'impôts reposant sur les plus fragiles. Pour le reste, le système monarchique, institutionnel, social, n'était pas remis en cause (peut-être d'ailleurs avait-on édulcoré le message porté par les cahiers avant d'en remettre la synthèse au roi).
Or, pourquoi le cours des événements prit-il rapidement un tour que l'on qualifiera plus tard de révolutionnaire ? Parce que les délégués aux états généraux s'avisèrent presque immédiatement qu'il était impossible de satisfaire aux aspirations réformistes de la population si on maintenait les institutions et le système en l'état.
D'ailleurs, toutes les tentatives précédentes avaient échoué, toutes les résolutions des états généraux précédents avaient été enterrées, précisément parce qu'on n'avait pas osé remettre en cause le système

PAR

LE SERMENT OU JEU DE PAUME"
(Jacques-Louis David, 1790). Promesse faite par les députés du tiers état de ne pas se séparer avant que la France ne soit dotée d'une constitution, c'est l'acte fondateur qui amènera au renversement de l'Ancien Régime.

 

institutionnel lui-même. Louis XVI avait été d'ailleurs très clair : on ne changera rien, sur le fond, à l'ordre traditionnel existant.
Donc les nouveaux élus décidèrent de changer le système et ils prirent, pour ce faire, quatre décisions historiques : ils retirèrent à la puissance monarchique des pouvoirs qu'ils confièrent au Parlement, c'est-à-dire à eux-mêmes ; ils abolirent les privilèges de tous ordres ; ils proclamèrent les droits du citoyen ; et ils redistribuèrent la propriété foncière, aristocratique et très concentrée, au profit de plusieurs millions de bourgeois et de paysans libres.
LE PUTSCH À FROID
La révolution de 1789, en résumé, c'est cela.
Qui ne perçoit à quel point cette interrogation - peut-on réaliser les changements nécessaires dans le cadre du système en place ? - est redevenue d'actualité ?
La gauche est arrivée au pouvoir, d'extrême justesse, sans projet global, sans objectif défini, mais en

JEAN-FRANÇOIS KAHN

mettant en avant toute une série de promesses. Etaient-elles appropriées ou inappropriées ? Dans tous les cas, dans le cadre du système existant, elles étaient inapplicables.
On assista donc à une manière de putsch à froid. L'homme qui avait rassemblé sur ses idées 5 % seulement des sympathisants de gauche lors de la primaire socialiste fut appelé à former le gouvernement pour appliquer une politique, la sienne, radicalement inverse de celle que la gauche avait préconisée pour gagner les élections. Et ce sont des représentants de toutes les autres sensibilités qui ont été écartés ou marginalisés.
Or, comment peut-on imposer des décisions difficiles, mobiliser un pays en état de sécession quand on est lâché par la majorité du peuple de gauche, qu'on a contre soi toute la droite, d'autant plus vindicative qu'on lui a piqué son programme, et qu'on a perdu le peu d'indulgence dont on bénéficiait au centre ?
La logique du nouveau cours eût voulu qu'on constituât une nouvelle majorité, c'est-à-dire une coalition

20 / Marianne / 29 août au 4 septembre 2014

susceptible de se mettre au service de la nouvelle orientation, regroupant donc l'aile droite de la social-démocratie, le centre et la fraction raisonnable de la droite. Or, dans le cadre de notre système institutionnel, c'est impossible. D'où le putsch cool.
Notre logique institutionnelle condamne donc a priori la tentative Valls, comme elle condamnerait une alternative de gauche, comme elle condamnera une alternative de droite différente de toutes celles qui ont contribué à placer le pays dans l'état où il est.

CARICATURE DE DÉMOCRATIE
Comme en 1789, c'est donc le système institutionnel lui-même qui est en cause, c'est lui d'abord qu'il faut changer : pour parvenir, comme en 1789 également, à abolir les privilèges, à casser les situations de monopole qui étouffent la croissance, à libérer les énergies et à favoriser l'esprit d'entreprise, à mieux répartir la richesse (alors que le pouvoir d'achat des salariés stagne, les dividendes des grandes entreprises ont bondi de 30 %, représentant sur un trimestre ce que le gouvernement a l'intention de faire économiser à ces mêmes entreprises), à faire revivre enfin une démocratie qui est en train de s'abîmer dans sa pire caricature.

Tout le reste est littérature.
Nous ne sommes pas encore, comme en 1789, dans une crise de régime. Mais une crise de régime est nécessaire.
Un président calamiteux, une Assemblée nationale de mannequins, des institutions devenues ubuesques, un système électoral poutinesque, ne permettront pas que notre pays rebondisse.
Comme en 1789, on ne redressera pas la France sans sortir du système qui l'a abaissée.

¦ 29 août au 4 septembre 2014 / Marianne / 21