René FORNEY, 4 chemin Montrigaud, 38000 Grenoble, Tel.0763 15 66 46
RECOURS AU PENAL CONTRE François LAMBERT pour escroquerie aux jugements en bande organisée
- En 1994 relancé par des promoteurs, M. CLET refusait de vendre. Mr François LAMBERT s'impose locataire en prétendant un besoin d'un logement alors qu'il a toujours eu celui du 4 avenue du Vercors à la Tronche.
Il a harcelé cette personne très âgée M. CLET au 8 rue Elie Vernet à Grenoble pour faire "dégager" ses locataires et le forcer à abandonner son bien à vil prix. M. CLET a déposé plainte donc le PV de police du 22/08/94 (pièce 43) :
« Cette personne s'est présentée devant mon entrée d'appartement et m'a porté des gifles au visage… j'ai appris que LAMBERT François avait déféqué à plusieurs reprises sur le pourtour de la lunette des WC… »
Ces harcèlements ont précipité le décès de Mr CLET. Les héritiers ont du, eux aussi, se défendre des années en justice pour ne pas se faire spolier par cet opportuniste LAMBERT .
- En 1995, c'est à mon tour (René FORNEY) de recevoir François LAMBERT dont, j'ignorais (à ce moment là) ses activités "de gros bras" aux expulsions locatives illégales. Envoyé par mon ex épouse parmi mes locataires avec le soutien de son amant Paul Maurice GIRAUD associé à d'autres policiers dont Bruno CWIKOWSKI (pièce 11), alors qu'elle m'avait écrit le 24 juillet 94 en s'engageant à respecter mes demandes de vie en famille ( pièce 42 ) :
« Ne souhaitant pas que mon mari adopte la même attitude du chacun pour soi, je regrette d'avoir agi ainsi et je promets que je partagerai mes loisirs avec ma famille… »
Mon épouse voulait que je renonce à ma reconversion dans l'activité immobilière, pour reprendre mon activité salariée d'ingénieur dans la métallurgie sinistrée pour m'éloigner de mon domicile en courant après les délocalisations d'usines. Ainsi, le même LAMBERT intervient de la même façon que pour Mr CLET contre mes locataires étudiants. Un des étudiant allemand, une fois en sécurité dans son pays, a témoigné depuis l'Allemagne ( pièce 41 ) :
« Le dimanche 10 sept 95, …J'ai constaté que la porte avait été forcée…, J'ai appris par M. Lambert qu'un serrurier lui avait ouvert la porte avec la permission de la police ! … Avant de partir, M. LAMBERT m'a dit : " j'aurais pu rester encore quelques jours de plus pour embêter M. FORNEY ?, mais que cette chambre ne l'intéressait pas et qu'il avait un appartement plus indépendant… »
Bien sûr, cette permission de la police était en fait de barbouse de la République bien identifiés par la suite (pièce 11). Une effraction dans l'illégalité totale pour effrayer mes locataires étudiants puisque LAMBERT n'avait plus de contrat de location. LAMBERT habitait simultanément au 4 av. du Vercors à La Tronche (38700) ! Un lieu où il habite toujours.
- En 98, au moment ou mon ex épouse Mme Janine Fernande RAYMOND organise son divorce après son siphonage de 200.000 € des comptes de la communauté encore recelés à ce jour (Simple coïncidences, bien sûr !). Ces agressions sur les étudiants en 95, par des procédures falsifiées ont prospérées jusqu'à me rendre coupable sans pouvoir déclarer appel toujours par la même méthode de détournement des correspondances. Découvert des années plus tard, sur un PV de police ( pièce 7 ) seulement 10 jours avant une audience de conciliation du 10 novembre 98, mon ex-épouse déclare qu'elle savait que son époux n'était pas informé de l'audience :
« … Depuis fin août je suis en instance de divorce avec mon mari Forney René mais cette situation était restée secrète en attendant la suite des événements …»
En 2010, j'ai lu dans les conclusions en réponses de mon ex avocate BESSON-MOLLARD suite à sa mise en cause (Jugement annoncé le 2 février 2016) que l'information de l'audience de l'ONC reposait sur un recommandé de juillet 98 que je n'avais jamais eu ni par la poste ni par mon avocate comme sa lettre le confirme !
LAMBERT intervenait illégalement sous couvert de policiers pour le compte de l'amant de mon épouse (bien identifié par mon détective). Paul Maurice GIRAUD en activités avec des ex policiers en société (pièce 11) a participé directement à mon divorce comme faux témoin pour mon ex épouse puis à mon expulsion le 6 décembre 98 dans l'illégalité totale, un mois plus tard LAMBERT obtiendra le jugement du 4 janvier 99 à mon insu !
- a – Sur l'attestation de M. GOYON (pièce 12 publiée sur le net), le juge peut lire :
« … il est précisé que Mr GIRAUD et Mme RAYMOND se voyaient journellement, soit au domicile de Mme RAYMOND, soit chez Me GIRAUD, soit à la maison de campagne de ce dernier, et également la nuit . Il est curieux de remarquer qu'un détective… »
- b – Sur le rapport de surveillance (pièce 13 publiée sur le net ) du cabinet Lallement avec les photos, le juge peut lire, en page 1 :
« Madame Janine RAYMOND a une relation suivie, quasi journalière avec Monsieur Paul GIRAUD »
« Nous remarquons M. GIRAUD et Mme RAYMOND en moto »
en page 4 :
« 8h37 Départ de Mr GIRAUD. Il a passé la nuit sur place »
Tout cela dans un contexte de relations par des trafics d'influence exposés rendus publics ici :
www.trafic-justice.com/SITENE18/NOTAIRES/lescomplots241115.htm qui permettent de comprendre pourquoi François LAMBERT se permet le culot de faire condamner ses victimes et tente la validation de son escroquerie au jugement en 2017 par sa citation.
Le juge correctionnel remarquera la facilité pour François LAMBERT à obtenir des jugements à son avantage grâce aux détournements de correspondance pour des supposées violences malgré sa très forte corpulence.
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