Accueil Nombre des francs-maçons en France 25.000 frères à Grenoble ! Mafia des élus ! |
La franc-maçonnerie a transformé l'Etat français en République bananière. Leurs méthodes : la persuasion, la corruption, la captation des emplois et des fonds publics, l'utilisation de truands, l'affairisme, les mafias, les spoliations immobilières, le racket sur les travaux publics, le contrôle des institutions comme la justice, la police, les mairies... |
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2011 - Source : http://blogs.lexpress.fr/lumiere-franc-macon/ Suite révélation 2012 ici aussi
Arcizet : « Je demande la démission des frères du GODF impliqués dans l'affaire du Carlton. » LE 24 OCTOBRE 2011 18H53 | PAR FRANÇOIS KOCH Une chambre du Carlton de Lille Selon L'Express , René Kojfe r, chargé des relations publiques au Carlton, aurait fourni aux clients de l'hôtel des filles du réseau de Dodo la Saumure. Or Kojfer est un frère du Grand Orient de France (GODF) à Lille. Le Point affirme que d'autres protagonistes sont membres du GODF. Trois ou quatre policiers GODF impliqués Contacté, Guy Arcizet , Grand Maître du GODF, répond clairement : « Il y a parmi nos frères trois ou quatre fonctionnaires de police impliqués dans l'affaire du Carlton, et je vais leur demander de démissionner. Il faut éviter que des membres du GODF soient compromis dans une affaire où la morale est en jeu. C'est mauvais pour l'image de l'institution. S'il s'avère qu'ils sont innocents, leur réintégration sera facile . » Donc, quelques frères du GODF impliqués sans doute. Même si seul le nom de Kojfer est cité (l'appartenance au GODF de ce dernier est confirmée). Mais même si d'autres membres du GODF sont mis en cause dans cette affaire, cela ne prouve pas, pour l'instant, que l'on a affaire à un réseau maçonnique . Quoi qu'il en soit, dans les « salles humides » [là où se déroulent les agapes], les frères du GODF lillois parlent de l'affaire. Mais, disent-ils, pas plus que dans les salons de coiffure ou les taxis. et sans inquiétude. ___________________________________________________________________________________ ___________________________________________________________________________________ Procès. Christian Blanc accuse Guillaume Jublot d'avoir livré des cigares au siège de la GLNF LE 24 OCTOBRE 2011 13H53 | PAR FRANÇOIS KOCH Vendredi 21 octobre, le procès en diffamation de Guillaume Jublot contre Christian Blanc s'est tenu à la 17ème Chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Paris. Christian Blanc était secrétaire d'Etat au développement de la Région capitale, et Guillaume Jublot était son chef de cabinet. et ce dernier était aussi directeur de cabinet de François Stifani, Grand Maître de la Grande Loge Nationale Française (GLNF). L'audience a été d'une durée exceptionnellement longue, de 17 h 55 à 23 h 45 ! Un confrère m'a raconté les débats animés. Le Monde était présent ( article d'Ariane Chemin ). Guillaume Jublot a cité Christian Blanc en correctionnelle, car il lui reproche de l'avoir accusé publiquement de s'octroyer la plus grosse part des indemnités de cabinet , d'avoir transmis au Canard Enchaîné une note reçue de Bercy juste après avoir été exclu du cabinet et d'avoir abrité dans son bureau une belle cave à cigares. Une affaire dont Lexpress.fr a déjà parlée en mars 2011 , en juillet 2010 , et en juin 2010 . Guillaume Jublot Au cours de l'audience, Christian Blanc a fait témoigner Emmanuel Martin , un capitaine de police du Service de protection des hautes personnalités, qui était son officier de sécurité. Il affirme avoir accompagné Guillaume Jublot dans la voiture du ministre, conduite par le chauffeur de ce dernier, jusqu'à la rue Christine de Pisan, siège national de la GLNF . Emmanuel Martin précise que Guillaume Jublot transportait une « poche » où il dissimulait quatre boites à cigares . Interrogé sur ce témoignage, Guillaume Jublot a affirmé : « Je nie en bloc, c'est faux, je n'ai jamais transporté de cigares à la GLNF . » Guillaume Jublot a, lui, accusé Christian Blanc de lui avoir demandé d' intervenir auprès de François Stifani pour le convaincre de se retirer d'une affaire où il était l'avocat du frère de la femme du secrétaire d'Etat . Et de préciser qu'il a obtenu gain de cause auprès du Grand Maître. A son tour, Christian Blanc a répliqué : « C'est faux, Jublot dit n'importe quoi. « La décision a été mise en délibéré au 2 décembre 2011. _______________________________________________________________________________ _______________________________________________________________________________ François Stifani tente de reprendre la main sur la GLNF LE 21 OCTOBRE 2011 19H07 | PAR FRANÇOIS KOCH Le Grand Maître de la Grande Loge Nationale Française (GLNF), François Stifani, a décidément beaucoup de chance et une sacrée détermination à se maintenir à la tête de son obédience. Contre vents et marées . Il apparaît insubmersible alors que le vaisseau tangue de plus en plus. La contestation interne se radicalise ? Des Grandes Loges étrangères ne le reconnaissent plus ? Il n'en a cure. Il continue d'écrire aux frères de la GLNF avec la même motivation. Il semble (c'est l'impression de bien des frères) et c'est le plus surprenant avoir un « don » pour paralyser la justice profane dès qu'elle devient un tantinet menaçante. Une justice paralysée Un jour peut-être ? J'attends avec intérêt celui qui pourra expliquer le fonctionnement de la Justice de la République. 1. Une décision est rendue le 7 décembre 2010 par le TGI de Paris (demandant la convocation d'une nouvelle AG de la GLNF) avec exécution provisoire _donc d'effet immédiat même s'il y a appel_ et.. rien ne se passe ! 2. La GLNF fait appel, l'audience a lieu le 5 avril 2011, la Cour d'appel promet une décision fin juin. et finalement la reporte au 13 janvier 2012, sans explication ! Je reçois souvent des courriers de Français maçonnophobes qui suspectent la justice d'être infiltrée par des frangins. et maintenant, ce sont des maçons eux-mêmes qui commencent à avoir des doutes ! C'est dire si le manque d'explication sur ce blocage judiciaire fait gamberger. Un Grand Maître hyperactif Du coup, François Stifani en profite pour s'activer. Il a écrit le 20 octobre une longue lettre de 5 pages afin de remobiliser ses troupes ( FS aux FF 20.10.201 1 ). Le Grand Maître est plus regonflé et offensif que jamais. Parallèlement, s'organise pour le 3 décembre 2011 une Tenue de Grande Loge à Levallois-Perret (92), où il tentera sans doute d'interdire l'accès aux opposants, avec des listes-noires et la détection de ceux qui n'auraient pas payé leur cotisation 2010-2011 (puisque son montant n'a pas été approuvé par une AG régulière en 2010 ou en 2011). Un rapport moral doit être soumis au vote. Un rapport maçonnique, on le suppose. puisque la gouvernance maçonnique de la GLNF n'a pas le droit de gérer (en théorie) l'Association GLNF, sous la responsabilité de l'administratrice judiciaire Monique Legrand. L'administratrice judiciaire, Grande Absente ? Depuis le 24 janvier que l'Association GLNF est sous administration judiciaire, et les cohortes de frères rebelles ne comprennent pas ce que fait le mandataire ad hoc Monique Legrand. Faute d'avoir eu une réponse compréhensible de la part de l'intéressée, César du bar de la Marine (alias l'animateur du Blog Myosotis PACA ) a lancé l'idée d'adresser un courrier au Président du Conseil national des administrateurs judiciaires. Idée originale. Pleine de bon sens ? _______________________________________________________________ _______________________________________________________________ GLNF. Décision de la Cour d'appel de Paris reportée au 13 janvier 2012 LE 18 OCTOBRE 2011 16H57 | PAR FRANÇOIS KOCH Rappelons qu'il s'agit d'un appel sur une décision du 7 décembre 2010 , jugeant illégale l'AG de la GLNF du 16 octobre 2010. décision assortie de l'Exécution provisoire notamment pour la convocation d'une nouvelle AG. exécution provisoire jamais mise en ouvre, sans raison compréhensible. Rappelons aussi que la Cour d'appel avait promis en avril 2011 de rendre son arrêt en juin 2011 . et que c'est à la suite d'une sombre histoire .... .................................................................................................................................. |