Extraits du texte ci-dessous
...Alain Carignon (RPR) avait, en son temps, noué des liens étroits avec la Grande Loge nationale française (GLNF) pour étendre son influence sur la ville. .... Michel Destot .... un milieu maçonnique qui reste numériquement influent : au total, un millier de personnes dans la région grenobloise, réparties en 33 loges appartenant à huit obédiences, dont les deux plus importantes, le Grand Orient de France (GODF) et la GLNF, comptent respectivement environ 400 et 300 membres. |
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....côté affairiste de certains, confie Serge Nocodie, conseiller municipal (PRG) et président de la Compagnie de chauffage de l'agglomération grenobloise, au Grand Orient depuis bientôt trente ans.
... Jean-Louis Jannez, l'ancien directeur général du centre commercial de Grand'Place.
.... Michel Destot a pris soin, toutefois, de bien s'entourer, avec Jean-Luc Ducrocq, longtemps directeur général adjoint aux finances, et surtout Jean-Michel Rougemont. Délégué à la sécurité
… le Grand Orient et la Grande Loge de France, sont aujourd'hui représentées au conseil municipal....le maire dément tout calcul. ... a bénéficié, à l'occasion de la candidature aux JO d'hiver, du soutien du très influent sénateur UMP de l'Isère Bernard Saugey, qui a le plus haut grade dans sa loge à la GLNF et préside à Paris la Fraternelle parlementaire (rassemblement de maçons de l'Assemblée, du Sénat et du Conseil économique et social). .... Ces derniers restent toutefois nombreux dans des entreprises du BTP et de l'énergie, comme EDF ou Dalkia, respectivement actionnaires de Gaz Electricité de Grenoble (GEG) et de la Compagnie de chauffage. Un hasard ? M. B. |
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Extraits de http://www.ump38.fr Affaires FIORASO / DESTOT
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Marc BAÏETTO ( PS) CONFIRME : L'ex commandant de la PJ à Grenoble a bien été recruté
1 juil 2012 20:07 Commentaires fermés admin
L'information publiée par atlantico.fr était exacte |
http://www.atlantico.fr/decryptage/ministre-enseignement-superieur-genevieve-fioraso-corys-subventions-grandes-ecoles-polytechnique-370306.html ): les deux Commandants de la Police Judiciaire de Grenoble qui ont eu à instruire le dossier de Corys à Grenoble et notamment assuré le suivi de l'expertise judiciaire ont bien été recrutés par les deux collectivités PS , la ville et la Métro. Le lendemain de son départ à la ...
DESTOT PROPRIÉTAIRE AU CENTRE VILLE …
24 juin 2012 12:06 Commentaires fermés admin
… avenue Alsace Lorraine . Le Député Maire PS de Grenoble est devenu propriétaire à titre personnel de sa permanence de Député mais reste locataire à Malherbe dans un logement social aidé ce qui avait été critiqué à Paris pour Delphine Batho devenue Ministre laquelle s'est engagée à déménager. Il est en effet étonnant ...
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Selon » le Nouvel Obs' » : AUTOUR DE M.DESTOT « JALOUSIES , GUERRES DE SUCCESSION «
24 juin 2012 00:06 Commentaires fermés admin |
Le supplément Grenoblois du « Nouvel Observateur « de ce week end – et c'est bien naturel d'un journal de gauche – se présente comme un publi- reportage s'agissant de l'économie dans l'agglomération Grenobloise : situation économique quasi idyllique , pas d'ombres au tableau de la gestion locale . Par contre il apporte un éclairage cru – ...
DSK, Destot, PS..
8 juin 2012 21:06 Commentaires fermés admin
La révélation des journalistes du "Monde " selon laquelle il y aurait eu une "affaire " DSK à Grenoble donnant lieu à une intervention des politiques Grenoblois auprès des amis de DSK à Paris pour trouver un "arrangement" avec la potentielle victime prend un intérêt particulier dans le climat d'omerta local . Les affaires Vallini ...
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Geoffroy DIDIER (UMP) estime que « Madame FIORASO devrait quitter le gouvernement »
5 juin 2012 13:06 Commentaires fermés admin |
Par un communiqué rendu public ...
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Camille BEDIN (UMP) : « Que Madame FIORASO tire les conséquences de ses actes »
1 juin 2012 20:06 Commentaires fermés admin |
Le Journaliste Geoffroy BONNEFOY (Europe 1) semble s'être contenté de l'opinion de Madame FIORASO quand elle a qualifié de « minable les informations relayées par Atlantico.fr et pointé du doigt ses opposants locaux : "Ces informations sont initiées par l'UMP Isère" a t il reproduit simplement. Il aurait pu jeter un coup d'œil sur un rapport ...
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DESTOT / FIORASO : Pourquoi le rapport publié par Atlantico est une bombe
30 mai 2012 22:05 Commentaires fermés admin
Depuis des années il est question à Grenoble de la société fondée par Michel DESTOT et Geneviève FIORASO dans |
les conversations sans que des éléments concrets et vérifiables soient posés sur la table. Il est vrai qu'il s ‘agissait là de rumeurs. Mais avec l'article ( http://www.atlantico.fr/decryptage/ministre-enseignement-superieur-genevieve-fioraso-corys-subventions-grandes-ecoles-polytechnique-370306.html ) et la publication du rapport officiel complet d'expertise judiciaire par ...
LeFigaro.fr
G. Fioraso épinglée par Atlantico
lefigaro.fr Mis à jour le 28/05/2012 à 11:48 | publié le 28/05/2012 à 11:26
L'entreprise iséroise Corys dans laquelle la nouvelle ministre de l'Enseignement supérieur , Geneviève Fioraso, a été directrice commerciale et membre du conseil d'administration de 1989 à 1995 «a privé certaines universités de fonds qui leur étaient destinés», révèle aujourd'hui le site internet Atlantico .
Dans le cadre d'une enquête préliminaire, un rapport d'expertise judiciaire portant cette société, spécialisée dans la recherche et le développement de solutions pour la sûreté des centrales nucléaires et thermiques, a révélé en 1999 «que l'entreprise gonflait ses comptes et avait empoché de larges subventions destinées à des centres de recherche sans les reverser en totalité», écrit le site d'information.
La société aurait ainsi perçu 381.000 euros de la communauté européenne mais l'argent n'aurait jamais été reversé aux universités concernées par le programme. L'enquête révèle également des comptes opaques de la société. L'entreprise a été créée par l'actuel député-maire PS de Grenoble Michel Destot. Geneviève Fioraso était également une élue de la ville.
Mais ni l'un, ni l'autre n'ont été mis en cause dans cette affaire. C'est le successeur de Michel Destot à la tête de la société qui a été poursuivi pénalement et reconnu coupable pour «présentation de faux bilan» et condamné à une amende et à de la prison avec sursis.
En 1997, la société Corys a été cédée après une décision du tribunal de commerce. C'est une société belge, Tractebel, qui a repris Corys.
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Dans le FIGARO sur le commentaire du site j'ai écris :
Concernant CORYS, en 2005, j'ai publié sur mon site Internet l'expertise commandée par le tribunal.
Je l'ai dénoncée devant l'association ANTiCORP venue à Grenoble à ce moment là, était présent M. Gérôme SAFARD, et M. NOBLECOURT, mais aussi M. AVRILLIER. A la sortie j'ai eu des menaces de M. NOBLECOURT. Cela s'est soldé par la coupure de mon alimentation électrique car la GEG est une régie de la ville de Grenoble. Depuis 2006, je m'éclaire avec des LED alimentées par des panneaux solaires prêtés par des collègues écolos.
J'ai aussi remis ce rapport entre les mains de Michel DESTOT dans les salons de la préfecture à 23h. au second tour en 2007 car j'étais candidat aux législatives invité. Cela au moment où les journalistes l'encerclaient car il énonçait sa réélection. Mais l'omerta des médias sur l'incident a bien fonctionné, rien n'a été diffusé !
René FORNEY |
ATLANTICO
République irréprochable... Publié le 28 mai 2012
Exclu Atlantico
Gestion hasardeuse ? Quand le passé entrepreneurial de Geneviève Fioraso, nouveau ministre de l'Enseignement supérieur, ressurgit
Un rapport d'expertise judiciaire de la société Corys dont Geneviève Fioraso était directrice commerciale, démontre que l'entreprise gonflait ses comptes et avait empoché de larges subventions destinées à des centres de recherche et à certaines universités sans les reverser en totalité…
La ministre de l'Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, a été directrice commerciale de l'entreprise iséroise Corys S.A et membre du conseil d'administration de Corys Groupe de 1989 à 1995. Crédit Capture d'écran
On n'est plus dans une affaire à 1 euro pour reprendre l'appréciation portée par Jean-Marc Ayrault sur la condamnation pour injure de son ministre du redressement productif Arnaud Montebourg mais plutôt dans des enjeux portant sur des centaines de milliers d'euros ! Alors que le président Hollande s'était engagé à une République et à un gouvernement exemplaire, le passé entrepreneurial de l'une de ses ministres resurgit.
Avant d'être nommée ministre de l'Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso a été directrice commerciale de l'entreprise iséroise Corys S.A et membre du conseil d'administration de Corys Groupe de 1989 à 1995. Dans cette start-up créée par Michel Destot, l'actuel député-maire (PS) de Grenoble, elle était en charge des projets européens de recherche et développement, pour améliorer la sûreté des centrales nucléaires et thermiques.
Présentée sur son site comme « un des acteurs mondiaux de référence dans le domaine des simulateurs », tant dans le domaine du nucléaire que des transports, la start-up n'a pas fait preuve d'une gestion très orthodoxe si l'on en croit le rapport d'expertise judiciaire datant du 25 mars 1999 que nous nous sommes procuré (voir doc ). En 1997, 2 ans après le départ de Michel Destot, son PDG fondateur devenu maire de Grenoble, la société (dont il était resté actionnaire) déposait le bilan avec un passif estimé à 120 millions d'euros, plus que le chiffre d'affaires de ses meilleures exercices. CORYS 1_Rapport d'Expertise
"Il ne s'agissait pas d'erreur de comptabilité mais de millions de francs complètement inventés"
Mandatés en 1998, les experts judiciaires MM Martin et Zimero, du SRPJ de Lyon, ont mené une enquête préliminaire sur la comptabilité de l'entreprise du fait de présomptions de « présentation de comptes annuels non fidèles et escroquerie » . Un rapport accablant. Il démontre que les comptes de la start-up ont commencé à être dans le rouge quand Michel Destot et Geneviève Fioraso étaient encore aux manettes : " on constate , explique-t-il, que la société se trouve dans une impasse financière dans le courant de l'exercice 1995. On peut de ce fait penser que la société Corys SA se serait trouvée en cessation de paiement courant 1995, si elle avait respecté les règles régissant le financement des entreprises. »
Le rapport épingle de graves fautes de gestion et la « surestimation des résultats comptables des exercices 1994 et 1995 » (doc p13) ; La « balance générale établie (…) au 30 septembre 1996 faisait apparaître « une perte pour la période de 1 er janvier au 30 septembre 1996 de 28 millions de francs (soit environ 4,3 millions d'euros)». De plus, (p19) on lit que les « dirigeants de la SA Corys ont « transgressé (…) les règles (…) qui ne correspondaient pas aux conditions prévues par le Code du Commerce car aucun projet ne pouvait démontrer de sérieuses chances de rentabilité commerciale » et ont épinglé les pratiques de la société qui amortissait des « Actifs fictifs » ! (Page 20).
Qu'une start-up ne rencontre pas le succès peut naturellement arriver. Mais des dissimulations de l'entreprise sont évoquées par l'expertise. Le rapport explique ainsi que la société dont Madame Fioraso était l'une des administratrices a notamment perçu des fonds Européens dans le cadre d'un contrat signé avec l'École Polytechnique de Lausanne et trois instituts et universités. Il était prévu que Corys perçoive les fonds et les répartisse entre les partenaires. Hélas, en raison du redressement de la start-up, un versement de 395.362 Écus (soit 381 000 euros) de la communauté Européenne a été perçu par Corys et jamais reversé aux universités et instituts...
En outre, ce rapport indique également que l'entreprise avait reçu de l'argent public de la recherche (l'ANVAR) pour un montant de 3 000 000 de Francs (457 000 euros) sur un faux bilan (voir ci-dessous). Une somme jamais remboursée puisque la société a déposé son bilan en 1997 alors qu'elle devait commencer à rembourser en 1999.
Les chiffres de ce rapport montrent enfin que, dès 1994, la situation comptable de la société se dégradait fortement puisque les capitaux propres et le fonds de roulement (FRNG) devenaient négatifs et que si, à la clôture des comptes de l'exercice 1994, l'actif circulant de la société était encore en mesure d'assurer le paiement des dettes à court terme, ce n'était plus le cas dans le courant de l'exercice 1995…
Elus à la mairie de Grenoble en juin 1995, Michel Destot et Geneviève Fioraso n'ont jamais été mis en cause dans cette affaire. C'est le successeur de Michel Destot qui sera poursuivi pénalement et reconnu coupable pour « présentation de faux bilan » et condamné à une amende et à de la prison avec sursis.
En 1997, la société Corys a, elle, été cédée par décision du Tribunal de commerce à la société belge Tractebel, filiale du groupe Suez-Lyonnaise. Un nom connu à Grenoble depuis les déboires ayant conduit le prédécesseur de Michel Destot à la mairie en prison.
A noter, que pour leur part, les deux inspecteurs du SRPJ de Lyon chargés de travailler sur le rapport d'expertise judiciaire de 1999 sont devenus pour l'un ( M. Ziméro) membre du cabinet du Maire et pour l'autre (M. Martin) membre du cabinet du Président PS de l'agglomération où il est encore. |
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