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Ci-dessous, le détournement de patrimoine, un sport de beaucoup d'affairistes crapuleux très nombreux dans le milieu du droit. Une affaire similaire à Pau
La dérive de l'ancienne directrice - d'une maison de retraite
Les époux Jouffreau, Marie-Françoise, 58 ans, et Gérard, 61 ans, ont rendez-vous cet après-midi au tribunal correctionnel où ils sont poursuivis pour un des plus important détournements d'argent de ces dernières années à Toulouse. Une affaire à classer à côté de celle du Secours populaire de la Haute Garonne dans laquelle ta directrice financière, lourdement condamnée depuis, avait mis la nain, en bernant tout le monde, sur plus d'1 Md '€. Marie Françoise Jouffreau était directrice de la maison de retraite Sainte-Monique, dans le quartier Saint-Cyprien, un des nombreux établissements gérés par l'AGOP (Animation et gestion d'organismes privés), une puissante association à la tête, en Midi-Pyrénées, de foyers socio-éducatifs, de centre d'aide par le travail.. - En septembre 2004 éclate l'affaire qui prend vite l'ampleur d'un scandale. La directrice est mise en examen pour avoir confondu son carnet de chèques personnel et celui de la maison de retraite. En clair, 1'argent qui devait servir aux personnes âgées a été détourné à son profit dans des proportions qui laissent songeur: plus de 600.000 € selon les premières estimations de l'enquête. Avec le précieux chéquier, Marie-Françoise Jouffreau a écumé les boutiques de luxe toulousaines, la commerçant qui ont d'ailleurs accepté sans tiquer les chèques libelles au nom de la maison de retraite. Chez elle, dans une maison du Cap d'Agde, les policiers ont saisi des dizaines de chaussures, de sacs à main, des toilettes griffées, de montres, de stylos, de parfums mais aussi des voitures... Une anecdote en dit long sur l'état d'esprit qui mimait la directrice : pendant la canicule de 2003, alors qu'elle est en croisière au frais de la maison de retraite, un employé l'appelle pour suggérer l'achat de deux ventilateurs : refusé ! Cette affaire a été l'origine d'un séisme à l'AGOP où personne n'a su détecter les détournements. L'association a été placée, dans la foulée, sous tutelle administrative par le préfet. Aujourd'hui, elle repart d'un autre pied sous un nouveau nom (ANRAS) et avec une autre équipe. J.N.G.
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