Accueil Juges exemplaires ? 1 , 2 , 3 , 4 , 5 , 6 , 7 , Avocats contre la soumission 1 , 2 , 3 , 4 , 5 , 6 , 7 , |
||
Retour à la carte de France de ceux qui dérapent Compétent éliminé Association muselée Résistants aux pressions |
||
2016 - Le milieu judiciaire un véritable repère de truands affairistes crapuleux élimine les avocats qui refusent d'être des carpettes ! Le ministre de la justice complice ! L'acharnement persiste depuis des années
|
||
Les trafics de Jean-Jacques URVOAS mis en lumière fin 2017 L'avocat, écarté du barreau de Seine-Saint-Denis, a tenu des propos diffamatoires à l'encontre de magistrats. Il est connu pour avoir défendu Dieudonné. Source AFP Modifié le 25/04/2016 à 07:36 - Publié le 24/04/2016 à 21:21 | Le Point.fr
Le garde des Sceaux Jean-Jacques Urvoas a déposé une plainte vendredi pour diffamation contre un avocat de Seine-Saint-Denis pour ses propos envers des magistrats dans des vidéos diffusées sur Internet, a annoncé ce dimanche le ministère de la Justice . Cet avocat, non cité dans le communiqué, est François Danglehant, connu pour avoir défendu le polémiste controversé Dieudonné et sous le coup d'une interdiction d'exercer la profession pendant cinq ans, a précisé une source proche du dossier. Le ministre lui reproche d'avoir « tenu publiquement des propos diffamatoires à l'encontre de plusieurs magistrats de l'ordre judiciaire », a indiqué le ministère de la Justice. Des comparaisons avec le régime de Vichy « Jean-Jacques Urvoas tient à défendre les magistrats et l'ensemble de l'institution judiciaire mise en cause par ces propos diffamatoires, les assure de son entière confiance et du respect de leur statut et de leur indépendance », a-t-il ajouté. Inscrit au barreau de Seine-Saint-Denis, François Danglehant a été suspendu « pour son comportement envers le bâtonnier et ses confrères lors d'une instance disciplinaire », a-t-il précisé. Parmi les propos incriminés, selon la source proche du dossier, ceux qu'il a tenus devant la cour d'appel de Paris dans une vidéo datée du 3 mars 2016, où il évoque à propos de cette affaire « une justice de type sections spéciales comme sous le régime de Vichy », avant de citer les noms de plusieurs magistrats. « Nous sommes ici dans une justice de type sections spéciales », affirme-t-il également devant le Conseil supérieur de la magistrature dans une autre vidéo, datée du 25 janvier 2016. Les sections spéciales étaient des tribunaux d'exception créés par le régime de Vichy pour juger les résistants. François Danglehant n'avait pu être joint par l'Agence France-Presse dimanche soir. « Dans le cas où il n'y a pas eu de plainte des magistrats intéressés, le parquet de Paris ne peut pas être à l'origine d'une procédure, qui ne peut alors être engagée que par le garde des Sceaux », a précisé la source proche du dossier. La diffamation contre un dépositaire de l'autorité publique est punie de 45 000 euros d'amende. Suite sur Le Point |