User-agent: Mediapartners-Google* Disallow: EXTORSION de FONDS - Avocat impliqué dans une association de malfaiteurs - Grenoble

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Dérapages dans le département 38 juges régisseur huissiers  no-tai-re - s     a-vo-c-a-t-s  gendarmes  po- li- ci- er- s  assermentés  Maires     Préfet    et sur le reste de la France Page censurée par Google

Le même jour des magistrats étouffent mes dénonciations de flics et avocats corrompus ! Sur mes sites www.victime-ripou.net et www.trafic-justice.com , certains y voient les méthodes de la Ndrangheta et s'interrogent sur la présence de cinq noms GIRAUD.
Ci-dessous l'article du Dauphiné Libéré du 7 février 2008, montre un réseau qui utilise des méthodes de racket identiques à Grenoble (Beaucoup de noms sauf l'avocate complice !)
Le jugement en 2012: Prison ferme mais pas de mandat de dépôt à la barre ! Auront-ils l'impunité en appel ?

Extorsion de fonds... une avocate au barreau de GRENOBLE mise en examen... (Recopie ci-dessous)
Texte recopié
MILIEU GRENOBLOIS Placement sous mandat de dépôt de sept suspects
Genèse dune enquête

GRENOBLE

Sept personnes auront finalement été placées sous mandat de dépôt dans l'affaire d'extorsion de fonds présumée qui vient de secouer le milieu grenoblois (voir nos éditions précédentes).

Quatre autres, au nombre desquelles une avocate au barreau de Grenoble, ont été mises en examen et laissées libres sous contrôle judiciaire.

La seconde vague des défèrements au parquet et des présentations au magistrat instructeur ainsi qu'au juge des libertés et de la détention (JLD) s'est achevée tard dans la nuit de mardi à mercredi.

Un "banal"
vol avec violence
pour débuter

Les suspects placés sous mandat de dépôt Mustapha Boukherrouba, Djamel Benameur, Paul Amico, François Mendez, Louis Amico, Ghali Hadjar et Stéphanie Bagio (dans l'ordre d'importance au sein des

organisations présumée) ont été écroués dans différentes maison d'arrêt de la région.

L'enquête des gendarmes de la section de recherches (SR) de Grenoble, enquête dont les éléments essentiels ont été dévoilés par le Dau­phiné Libéré ces derniers jours, a débuté au printemps 2006 par un banal vol avec violence commis chez un particulier dans la région. En travaillant sur cette affaire, les gendarmes ont rapidement établi une connexion avec une tentative de racket commise sur une autre personne : une information a alors été ouverte par le parquet de Grenoble en juillet 2006.

"EXTOR 38"
passe à l'action

En poursuivant leurs investigations sur commission rogatoire, les gendarmes de la SR ont recensé plusieurs victimes.

En janvier 2007, le dossier a été confié à la Juridiction interrégionale spécialisée de Lyon (JIRS), la justice travaillant sur des faits présumés d'extorsions de fonds en bande organisée. Dès lors, une cellule spéciale intitulée "EXTOR 38" a été

créée, réunissant 18 militaires travaillant à temps plein sur cette enquête, ouverte également pour "association de malfaiteurs en vue du crime d'extorsion" et non justification de ressources par personne en relation habituelle avec une ou plusieurs personnes se livrant à la commission d'extorsion de fonds".

160 000 euros
en espèces

Pendant un an, les gendarmes de la SR, épaulés par leurs collègues de Chambéry, vont multiplier les filatures et les planques. Le vendredi 1er février à l'aube, "EXTOR 38" met en oeuvre de gros moyens SR de Grenoble et de Chambéry, groupements de l'Isère et de la Savoie, GIGN, escadron de gendarmerie mobile de Bron, équipes cynophiles... 180 personnes cernent une quinzaine d'objectifs et in­ terpellent 24 suspects. Onze seront déférés et mis en examen, une dizaine d'autres laissés libres dans l'attente de poursuites, les derniers innocentés.

Au cours des perquisitions, 160 000 euros en espèces

vont être découverts ainsi que des armes de poing. Selon le lieutenant-colonel Ragot, qui dirige la section de recherches de Grenoble, les deux équipes présumées oeuvraient de façon différente.

De subtiles pressions
psycholo-giques

La première travaillait "à l'ancienne" et n'hésitait pas à menacer et à agresser physiquement ses victimes. La seconde, constituée par ceux que les enquêteurs soupçonnent d'être les plus influents et les plus puis­sants membres du réseau, faisait appel à de véritables trésors d'imagination pour exercer des pressions psychologiques sur les commerçants et les entrepre­neurs rackettés,

Comme nous le relations hier, la majorité des extor­ sions s'effectuait sur la base initiale de 100 000 euros, une tentative avortée ayant même atteint les 500 000 euros.

Schématiquement, les au­teurs présumés parve­ naient, de gré ou de force, à faire souscrire aux victimes une "assurance" contre des agresseurs potentiels, pré

sentés par exemple comme des truands.

Un grand nombre de vic­times étaient des entrepreneurs ayant pignon sur me, parfois abordés par des femmes en compagnie desquelles ils étaient ensuite photographiés. "Tout un arsenal de pressions était utilisé, suivant un cheminement psychologique parfois très subtil ", explique encore Dominique Ragot.

« Une activité
commerciale
gangrenée »

Par ailleurs, un système complexe de blanchiment était mis en oeuvre. « Nous pouvons affirmer qu'une partie de l'activité commerciale de cette ville était gangrenée par ce système. Le nombre de victimes identifiées est de plus d'une vingtaine. Nous estimons cependant que l'ensemble des bénéfices dégagés par l'organisation sont de plusieurs millions d'euros. Nous pensons que de nombreuses victimes ne se sont pas fait connaître. Elles doivent savoir que notre enquête se poursuit ».

Denis MASUAH
L'avocate a disparu de l'article ci-dessous du DL !!!!

Le Dauphiné LibéréGrenoble ISERE / JUSTICE /
L'AFFAIRE D'EXTORSION AVAIT FAIT GRAND BRUIT EN 2008
Prison ferme et lourdes amendes pour les principaux protagonistes

L'affaire avait été jugée pendant dix jours par le tribunal correctionnel de Lyon, quatre ans après le coup de filet mené par les gendarmes dans l'agglomération grenobloise.
Le DL/Christophe AGOSTINIS

En février 2008, les gendarmes de la section de recherches de Grenoble, agissant sur commission rogatoire d'un juge d'instruction de la juridiction interrégionale spécialisée de Lyon avaient interpellé une douzaine de personnes dans le cadre d'une affaire d'extorsion de fonds en bande organisée.

Selon les enquêteurs et la justice, il était reproché à ces personnes d'avoir soutiré de l'argent à des commerçants, ou des chefs d'entreprises de la région de diverses manières, notamment en faisant croire à l'un d'entre eux qu'il avait flirté avec la compagne d'un truand lyonnais dont il pouvait le protéger moyennant espèces sonnantes et trébuchantes. Sauf que la fille en question faisait partie du "réseau" et que le truand lyonnais n'existait pas.

De nombreux faits requalifiés en escroquerie

C'est en partie ce qu'ont plaidé en avril dernier, quatre ans après les faits, les avocats des différents prévenus, mais aussi les prévenus eux-mêmes en expliquant qu'il s'agissait d'escroqueries, d'arnaques, mais pas d'extorsions de fonds.

Les avocats avaient d'ailleurs souligné que ce dossier, qui aurait dû être jugé par une cour d'assises si les faits d'extorsions de fonds en bande organisée étaient avérés, n'avait atterri que devant le tribunal correctionnel de Lyon devant lequel les prévenus étaient poursuivis d'extorsions de fonds.

Le représentant du ministère public avait requis du tribunal qu'il requalifie certains faits en escroqueries en bande organisée et demandé des peines assez lourdes, allant jusqu'à six ans de prison ferme, à l'encontre des différents protagonistes.

Les avocats avaient dénoncé des réquisitions trop sévères pour « la montagne qui accouche d'une souris » et un dossier « construit par les gendarmes sur des fantasmes. » Les conseils des prévenus avaient aussi défendu la thèse que les faits reprochés à leurs différents clients n'étaient tout simplement pas constitutifs de l'extorsion de fonds, mais relevaient de la manouvre, de l'arnaque, en bref de l'escroquerie.

Hier, le tribunal correctionnel de Lyon a rendu son jugement dans cette affaire. Le rendu du délibéré de ce jugement de 285 pages a duré près de 45 minutes. Le tribunal a repris, pour chaque prévenu, son implication dans chaque affaire. Ainsi des relaxes ont été prononcées, des délits ont été requalifiés et seules deux faits d'extorsions ont été retenus par la juridiction. Les autres faits ont été requalifiés d'escroquerie en bande organisée.

Moustapha Boukherouba a écopé de quatre années de prison ferme et 50 000 euros d'amende au lieu des six années requises par le procureur de la République. Belkacem Hadjar a été condamné à trois ans de prison ferme. François Mendez et Djamel Benameur ont été condamnés à trente mois de prison ferme, et le dernier a en plus écopé d'une peine d'amende de 50 000 euros. Louis et Paul Amico, ont été condamnés à deux ans de prison ferme et respectivement à 5 000 et 20 000 euros. Quant aux trois femmes du dossier, elles ont écopé de peines de prison allant de 10 à 18 mois avec sursis. Enfin, le dernier prévenu a écopé de 6 mois avec sursis.

Aucun mandat de dépôt n'a été prononcé à la barre.

par F.M. le 26/05/2012 à 12:01 Vu 2539 fois