Un règlement de compte par le juge FONTAINE Luc qui n'a pas apprécié que je dénonce une affaire de corruption et de trafic d'influence dans la police et le milieu judiciaire à l'origine de ma spoliation. A t-il étouffé le scandale par corporastisme ou parce que des francs-maçons sont en cause ?
Chronologie des évènements :
Décembre 2003 publication sur le Net du réseau organisateur de ma spoliation depuis 98.
Février 2004, premières pages de mon site collectées par Luc FONTAINE.
Octobre 2004, la police me convoque au sujet du contenu de mon site trafic-justice.
30 juin 2005, mon site prouve en audience son efficacité contre CWIKOWSKI (2 ans ferme)
6 décembre 2005, le juge FONTAINE provoque ma citation en correctionnelle en présence de TERNOY René, PRADIER Jean-Pierre, LE MOAN, GOUY PAILLER
20 février 2006 le vice procureur FONTAINE Luc me fait citer pour outrage à magistrat. Mes sept témoins de dérives judiciaires sont présents dont le fils du juge ROCHE. L'audience est réportée à une date indéterminée au motif de partialité. M PRADIER présidait.
Le 4 avril 2006, (sortant de l'audience reportée où j'étais partie civile) je suis tabassé par CWIKOWSKI sur le parvis du Palais de Justice. De peur, deux de mes cinq témoins iront témoigner à Montélimar et non à Grenoble. Ce qui n'empêchera les juges de mystifier les faits rapportés afin de me condamner et me sanctionner d'avoir publié l'affaire des 20.000 fichiers volés et revendus 600.000 € en dénonçant les complices. Et comme je ne pouvais faire face au prof de karaté (CWIKOWSKI) le Saint Bernard venu à son secours a eu droit lui aussi à sa volée de coups et au même traitement policier.
Les juges en appel ont eu l'audace d'entériner de telles magouilles !
Une association de malfaiteurs composée de magistrats et de policiers a instrumentalisé les institutions de la police et de la justice pour étouffer un scandale de fichiers volés alimentant la justice et la franc-maçonnerie.
Les dérives arrivent à son paroxisme.
Ils ont fait rouer de coups la partie civile le 4 avril 2006 à la sortie de l'audience.
Ils ont a tenté de dissimuler les agressions du ripou avec 3 faux certificats médicaux commandés au docteur BELLANGER Laurent.
Puis tout ce monde m'a placé 48 heures en garde à vue pour me faire condamner en comparution immédiate sans que je ne puisse présenter mes témoins.
Y ont participé aussi les magistrats TERNOY René, MOUTON-MICHAL Christine, DUBOIS, CRUTCHET Pascale. Des méthodes passibles des assises.
Le jugement ci-après fait suite à ces manipulations honteuses qu'aucuns des magistrats ne pouvaient ignorer vu le passé judiciaire de CWIKOWSKI condamné pour faux en écriture privée et corruption active. Pages : 1 , 2 , 3 , 4 , 5 , 6 , 7 , 8 , 9 , 10 , 11 , 12
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