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Réponse aux tentatives de censure, menaces d'Adrien VERRIER pour l'ex avocate Angélica RAMOS suite à la publication en 2018 d'une plainte après des signalements de victimes à Nice, Montpellier, Paris ... | ||||||||||||
Ma réponse aux menaces ci-dessous (Sans mandat de l'ex avocate communiqué) Monsieur Adrien VERRIER, Je comprends que mon encyclopédie des dérives et la corruption de nos institutions dérange les coupables qui ont pillés la population, dont Angélica RAMOS dans plusieurs départements avant de s'installer à Nice et enfin radiée de l'ordre des avocats. Ces gens paient rarement leurs crimes et délits. Quand c'est le cas, ils bénéficient de jugements de complaisance de la magistrature. Vous en avez un bel exemple récent avec Balkany qu,i avec deux ans fermes sort aussitôt de prison pour maladie et danse à la fête de la musique en public pour faire un pied de nez à tous ceux qui se sont battus pour que ses dérives soient stationnées. Mon encyclopédie est très utile aux victimes pour trouver les criminels récidivistes et s'en protéger. Dans ce milieu de personnes proches de gens en charge de la sécurité des biens et des personnes les récidives sont multiples car elles savent qu'elles risquent rarement d'être sanctionnées par leurs relations. Non je ne retirerais jamais aucune page. Même les 14 mois en prison au prétexte bidon d'outrage pour que je ferme mes sites ne m'ont pas fait changer d'avis. Vous êtes responsables de 12.000 morts par suicide par an en France. Un jour le peuple saura qui est les vrais responsables de ce massacre de la population. Des millions d'euros volés aux clients par des avocats pratiquement jamais remboursés malgré des années de procédures. Ces pages sont d'intérêt public. MISE EN DEMEURE SOUS HUITAINE Je prends attache avec vous en ma qualité de conseil de Madame Angelica RAMOS. Récemment, j'ai été informé que vous teniez, vous-même ainsi que diverses autres personnes, sur de très nombreux sites internet, des propos inacceptables à son endroit; notamment, et sans que cela soit exhaustif, sur les pages suivantes https://www.signal-arnaques.com/scam/view/287265 En outre, je relève que lesdites pages mentionnent nommément dans leurs intitulés Madame Angelica RAMOS, que vous associez aux termes hautement dénigrants d' «escroc», d' « arnaques » ou encore de «scandale»; termes que vous associez clairement à ses fonctions d'avocat. Sur le fond, concernant les propos tenus sur vos différents sites, je relève, pêle-mêle, que vous parlez de démarches « illégales », de clients « victimes », de fonds « soutirés », d'absence d'adresse ou de compétence de sa part, d' «arnaques aux devis gratuits », d' « escroquerie », d' « abus de confiance », de «faux et usage de faux », de « publicité mensongère », d' « harcèlement avec violences », de « menaces », de « chantages », de « dénonciations calomnieuses », de « vols et recels », de « viol du secret professionnel et escroqueries », « sur toute la France», de « personne manipulatrice »...
TEL 04 92 00 19 91 FAX 04 93 85 65 22 Pénalement, je vous rappelle que de tels propos sont susceptibles d'être analysés comme s'apparentant à de la dénonciation calomnieuse, délit réprimé par les articles 226-10 et suivants du Code pénal, et puni de cinq ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende. Par ailleurs, toujours sur le fond, je relève que vous publiez des plaintes déposées à l'encontre de ma cliente ; or la publication de tels actes porte en effet clairement atteinte à sa présomption d'innocence. En droit, je vous rappelle que la publication d'actes de procédure criminelle ou correctionnelle avant qu'ils aient été lus en audience publique est punie et réprimée par l'article 38 de la loi sur la presse, vous exposant à 3 750 euros d'amende. Sur la forme empruntée par vos sites, je relève que vous affichez non seulement le nom, mais encore la photo de ma cliente, de façon systématique, pour ne pas dire malsaine. Pénalement là-encore, je vous indique qu'un tel usage de ces photos, tout particulièrement au regard de la démarche clairement malveillante qui est la vôtre, est parfaitement susceptible de caractériser une atteinte à l'image et à la vie privée, délit réprimé par l'article 226-1 du code pénal, et puni d'un an d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende. En outre sur ce point, je vous rappelle que de tels agissements violent tout autant l'article 9 du code civil que l'article 8 de la convention européenne des droits de l'homme. Par conséquent, par la présente, je vous mets formellement en demeure
A défaut d'exécution spontanée de votre part, j'ai reçu pour instruction de saisir les juridictions compétentes afin de vous y contraindre ; et ne manquerai le cas échéant pas de réclamer des dommages et intérêts à votre encontre. J'ai également bien pris en compte le fait que vous seriez visiblement le président de l'association « Même justice pour tous » ; le cas échéant, je ne manquerai donc également pas de mener toute action utile contre cette structure dès l'instant où celle-ci aurait un quelconque lien avec les faits objet de la présente. La présente valant mise demeure, je vous rappelle que vous avez la possibilité de prendre attache avec le conseil de votre choix avec qui je pourrai me mettre en relation. Je vous prie de croire, Monsieur, en l'expression de mes sentiments les meilleurs et dévoués. Adrien VERRIER verrier@av-avocats.com |