Accueil Comme les ripoux protégés qui ont organisé la dépossession de René FORNEY, la franc-maçonneire est encore derrière une activité mafieuse comme à Grenoble, Lyon, Lilles, Nice, Perpignan, Paris, Izernore... Les conséquences de decennies d'impunité, Pour qui ? Système loge P2 du pilotage de la France ? Confiance dans sa police ? Crimes |
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Voir l'article de Marianne plus détaillé où les liens franc-maçons sont précisés (Noms des coupables ?) |
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En juillet 2020, deux miliaires rattachés au service d'espionnage français avaient été arrêtés pour avoir planifié l'assassinat d'une cheffe d'entreprise. Le commanditaire de cette opération à 50 000 € aurait été lui aussi interpellé, selon nos confrères de France Info. En juillet 2020, deux militaires de la DGSE s'apprêtaient « à mettre à exécution un projet criminel ». | AFP Qu'est-ce qui a bien pu pousser deux membres de la DGSE à planifier l'assassinat de Marie-Hélène Dini, coach en entreprise, durant l'été 2020 ? L'affaire, qui piétinait depuis quelques mois, vient de s'accélérer avec l'arrestation, vendredi 29 janvier 2021, du commanditaire présumé de cet assassinat sur commande. Selon les données recueillies par France Info , il s'agit d'un coach en entreprise, qui aurait fait appel à ces professionnels pour se débarrasser d'une concurrente encombrante. Un récit bien ficelé Retour sur les faits. Dans la nuit du 23 au 24 juillet 2020, au cours d'une banale intervention de police, deux hommes sont interpellés à bord d'un véhicule volé à Créteil (Val-de-Marne) . Âgés de 28 et 25 ans, ils sont en détention de plusieurs armes à feux. Placés en garde à vue, les deux hommes avouent rapidement leur appartenance à la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), le prestigieux service d'espionnage français . Pierre B. et Carl E. disent plus précisément être affectés au centre parachutiste d'entraînement spécialisé de Saran (Loiret). Ils répondaient aux pseudos d'Adelard et Dagomar. En août 2020, ils sont mis en examen et écroués pour « tentative d'homicide volontaire en bande organisée ». Selon leur version des faits, rapportée par France Info, Adelard et Dagomar avaient planifié l'assassinat de Marie-Hélène Dini, coach en entreprise, en raison des liens qu'entretenait cette femme avec le Mossad, les services secrets israéliens. Les deux hommes disent avoir tendu un piège à cette espionne , en agissant au service de l'État. Elle échappe de peu à la mort. Une récompense de 50 000 € Mais cette espionne n'en est pas une. L'enquête révèle aux policiers que Marie-Hélène Dini, 54 ans, mène vie classique et sans aucun lien avec les services secrets israéliens. Se pose alors la question du motif de cet assassinat commandité, avec 50 000 € de récompense à la clé. Tout aujourd'hui indique que nous sommes en présence d'une tentative crapuleuse d'éliminer une concurrente , ont expliqué Joseph Cohen-Sabban et Jean-William Vezinet, les avocats de la plaignante, à nos confrères de France Télévisions. En 2019, Marie-Hélène Dini voulait créer un syndicat professionnel du coaching, afin de mieux encadrer la pratique. Cette initiative n'avait certainement pas plu à d'autres entrepreneurs du secteur, qui auraient donc souhaité l'éliminer. Outre le coach en entreprise arrêté le 29 juillet, les policiers ont procédé à d'autres interpellations pour tirer enfin au clair cette histoire digne d'un scénario hollywoodien.
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Par Timothée Boutry, Jean-Michel Décugis et Jérémie Pham-Lê Le 3 août 2020 à 17h02, modifié le 3 août 2020 à 20h29 Deux agents de la DGSE arrêtés pour un projet de meurtre Selon nos informations, deux militaires des renseignements extérieurs ont été mis en examen à Paris pour « tentative d'homicide volontaire » après avoir été arrêtés près de la capitale en possession d'armes.
C'est une bien mystérieuse affaire sur laquelle enquêtent les policiers de la brigade criminelle de Paris. Dans la nuit du 23 au 24 juillet dernier, les enquêteurs interpellent deux hommes circulant à bord d'un véhicule volé à Créteil (Val-de-Marne). Sur eux, ils retrouvent plusieurs armes à feu. Les deux suspects de 28 et 25 ans préparaient semble-t-il un projet de meurtre. En garde à vue, Pierre et Karl livrent leur identité : ils disent être tous deux affectés au « service action » de la très confidentielle Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). Un service prestigieux rattaché au ministère des Armées, responsable notamment des opérations clandestines à l'étranger, immortalisé dans la série « Le Bureau des Légendes » . Selon nos informations, les deux hommes, militaires de statut, sont plus exactement rattachés au centre parachutiste d'entraînement spécialisé de Saran (Loiret) de la DGSE. Un troisième suspect interpellé le 26 juillet Le duo est soupçonné d'avoir voulu éliminer une cible mais pas dans le cadre de leurs fonctions. « C'est une tentative de règlement de comptes privée et ratée, sur une victime privée, par deux agents qui se sont lancés en solo », explique une source proche de l'enquête. Rien n'a filtré sur leur projet précis à ce stade. Mais les deux agents ont été mis en examen le 28 juillet pour « tentative d'homicide volontaire en bande organisée », « recel en bande organisée de vol, transport, acquisition, détention d'armes de catégorie B en réunion » et « association de malfaiteurs en vue de la commission de ces crimes et délits punis de 10 ans d'emprisonnement », ainsi que le confirme le parquet de Paris. Un troisième suspect a été interpellé le 26 juillet et a été mis en examen pour les mêmes chefs. Le trio a été placé en détention provisoire, conformément aux réquisitions du parquet. La poursuite des investigations a été confiée à la section antiterroriste (SAT) de la brigade criminelle, service pouvant enquêter sur des agents habilités secret-défense. Ce n'est pas la première fois que des espions de la DGSE se retrouvent mêlés à des affaires judiciaires. Le 10 juillet, Henri M. et Pierre-Marie H., deux retraités du service âgés de 73 et 69 ans, ont été condamnés à 8 et 12 ans de prison pour trahison au profit de la Chine. Ils auraient été retournés par les services de renseignement chinois et leur auraient livré des informations et documents classés secret-défense : l'un avait été séduit par une interprète chinoise, l'autre avait retourné sa veste en raison de difficultés financières et d'un sentiment de frustration professionnelle. En septembre 2018, deux anciens membres du service action de la DGSE avaient été mis en examen à Lyon dans une enquête sur un projet d'assassinat d'un opposant congolais , le général Ferdinand Mbaou, réfugié en France en 1997. L'un d'eux, Daniel Forestier , avait été retrouvé mort quelques mois plus tard, criblé de balles, sur un parking en Savoie. © Le Parisien | ||||
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(René FORNEY 0763156646) |