| Grenoble, Lyon, Lilles, Nice, Perpignan, abus de pouvoir, corruption... la quasi-impunité de l'affairisme mafieux de policiers comme (de 1992 à 2007) CWIKOWSKI Bruno avec son réseau mafieux de policiers et de magistrats protecteurs en retraite et en activité... entraînent d'autres dérapages! Du travail de flics à 20% pour le peuple et 80% pour les copains truands contre le peuple |
Un responsable Henri MARGAILLAN de la brigade des stups vole mon courrier, Un commissaire Bruno CWIKOWSKI révoqué me tabasse sur le parvis du palais de justice parce que j'étais partie civile contre lui (il était poursuivi pour le vol des fichiers de la police, mais ses associés sont ignorés et c'est moi qu'on condamne). Il avait son activité de recouvrement dans des locaux du président de la chanbre des huissiers ! et le suivant est chargé d'organiser son insolvabilité ! Un policier Alain Depit à la retraite utilise sa carte périmée de la brigade financière pour se faire imprimer tout mon historique fiscal, Un policier CAMPANA partage les locaux du notaire qui enregistre les actes pour ma spoliation. Un ex flic Paul Maurice GIRAUD amant de mon épouse organise mon expulsion et ma spoliation totale en 1998. (Tous associés dans les mêmes sociétés de recouvrement) ... 20 ans de galère parce que des magistrats grenoblois et lyonnais protègent ces fripouilles malgré toutes les preuves publiées depuis 2003 visibles en tapant avec BING les 5 lettres RIPOU. En fouillant bien , ils découvriront qu'ils sont dans les mêmes réseaux que ce Michel-Garnier ci-dessous en cause. |
Dérapent département 69 j - u- ges huis-siers notaires mandataires a-vo-ca-ts po -li- ciers fonctionnaire des impots Sur le reste de la France
Source : http://www.leparisien.fr/lyon-69000/un-ex-commissaire-utilisait-des-fichiers-policiers-pour-aider-sa-compagne-6-mois-avec-sursis-28-03-2012-1928080.php
Un ex-commissaire utilisait des fichiers policiers pour aider sa compagne: 6 mois avec sursis (Recopie de l'article ci-dessous)
>France > Rhône > Lyon| 28 mars 2012, 15h22 |0
Le tribunal correctionnel de Lyon a condamné mercredi un ancien commissaire divisionnaire, Michel Garnier, à six mois de prison avec sursis pour avoir puisé des informations dans des fichiers de police afin d'aider sa nouvelle compagne dans sa procédure de divorce. Cette figure de la police lyonnaise devra aussi régler une amende de 10.000 euros pour ces détournements d'informations obtenues dans un cadre professionnel. Le commissaire, désormais à la retraite et âgé de 60 ans, avait cherché, lorsqu'il était encore en fonction, dans les fichiers d'immatriculation des preuves de la propriété de véhicules que se disputait l'ancien couple formé par sa compagne et un huissier de justice. M. Garnier, ancien chef du service d'ordre public à Lyon, a en revanche été relaxé du délit d'atteinte à la vie privée pour lequel il était poursuivi. Lors de l'audience à la mi-mars, il avait reconnu et même revendiqué avoir eu recours à un fonctionnaire de police sous ses ordres pour suivre et prendre en photo le mari huissier, afin de sortir sa compagne d'une procédure de divorce qui n'en finissait pas. Sur la période étudiée, entre 2009 et 2011, 511 clichés avaient été pris. Découvrant une série de ces photos dans le dossier de divorce, l'huissier avait alerté le parquet et une enquête de l'Inspection générale de la police nationale avait été diligentée."Le tribunal a retenu que le commissaire Garnier n'avait aucunement l'intention de porter atteinte à la vie privée ou de nuire à quiconque", s'est félicité son avocat, Me Gabriel Versini. Pour la défense de l'huissier, Me Sébastien Sertelon s'est au contraire insurgé: "Il est donc possible pour un commissaire de faire suivre régulièrement quelqu'un à des fins personnelles!
"Le parquet avait requis six mois de prison avec sursis et 15.000 euros d'amende à l'encontre de M. Garnier, et deux mois avec sursis à l'encontre de sa compagne pour recel d'atteinte à la vie privée. Celle-ci a été relaxée. Son divorce n'a pas encore été prononcé.
Lyon
