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Les réseaux, les relations et les barrages illégaux en justice.
La seule solution : dénoncer, se grouper et agir ensemble. |
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Une affaire où les intérêts de l'enfant sont bafoués comme pour des millions de pères et de mères en France Source : La Marseillaise du mercredi 30 mai 2007 par AGNES MASSEZ - la suite (Voir aussi article de Var-matin, et site Internet ) |
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moins qu'elle n'a quasiment pas revu ses enfants depuis 1993, date à laquelle ils ont été emmenés par leur père. Dans la mesure où ils sont aujourd'hui tous majeurs, on peut légitimement s'interroger sur le fait que ceux-ci ne cherchent pas ou refusent de rencontrer leur mère. C'est en tentant de répondre à cette question que Maître Ravaz a découvert des a études très sérieuses » concernant un syndrome relativement méconnu : N l'aliénation parentale ». Une association - ACALPA*, dont sont adhérentes Michelle Plasse-Bauer et Christine Ravaz - s'est tout |
particulièrement penchée sur le sujet. Elle définit en ces termes l'aliénation parentale : E( Lors d'une séparation parentale conflictuelle, l'enfant est dans l'impossibilité de faire respecter ses droits. Soumis au chantage psychologique ou à la violence physique, cet enfant va se rallier corps et âme au parent manipulateur jusqu'à devenir captif de son mode de pensée, et rompre tout lien affectif avec son autre parent ainsi qu'avec toute la famille (le celui-ci. Prisonnier d'une relation d'emprise, il va tenir des propos insensés, voire même de graves accusations mensongères, en profonde discordance avec la réalité des faits, pour rejeter son autre parent (…)». |
Outre les injustices auxquelles les parents dénigrés peuvent être confrontés, l'association alerte également sur les ravages psychologiques causés à l'enfant dans ce genre de contexte : « Pour l'enfant, devenu orphelin d'un parent honorable, aimant et toujours vivant, c'est le début d'une longue destruction identitaire, marquée par l'angoisse et de terribles difficultés relationnelles ». Pour Maître Ravaz, il fait peu de doute que Michelle Plasse‑Bauer et ses enfants sont victimes de ce syndrome. « Au cours d'expertises psychologiques, il est apparu que la plus jeune fille de Mme Plasse-Bauer avait cru sa mère morte, alcoolique et appartenant 7 une secte. Elle disait également que sa mère |
voulait la tuer. Un rapport effectué alors qu'elle avait une quinzaine d'années concluait à un déséquilibre inquiétant sur le plan psychologique. Et ce n'était pas la faute de sa mère puisqu'elle ne l'avait plus revue depuis l'âge de 7 ans ». La faute, selon l'avocate, incombe en grande partie à la justice qui, « en ne pouvant ou en ne voulant pas faire respecter le droit de visite »..a contribué « à faire disparaître le lien entre Mme Plasse‑Bauer et sa fil1e. Le père a diabolisé une mère qui n'avait pas la possibilité de rétablir la vérité ». *ACALPA : association contre l'aliénation parentale.Contact tél. 06 75 79 03 14 - www.acalpa.org acalpa@wanadoo.fr |