Accueil  Victimes de ce juge : affaire Rachid MABED (www.monstrueuse-injustice.net ) ainsi que Michel BRUN déclare sur un blog : " ce juge Jean-Paul RENARD qui n'a pas hésité à l'envoyer 3 fois (2 mois) à l'asile psychiatrique".( Il n'aurait fait que lutter contre la spoliation de ses biens par un réseau mafieux protégé) Cela devrait être vérifié, et, le magistrat devrait alors être en taule au lieu de jouir tranquillement d'une confortable retraite anticipée. En 2000, son proche colaborateur Didier DURAND a fui pour poursuivre son activité crapuleuse à Genoble. Détails par Sébastien Fontenelle "un juge au-dessus des lois Une situation pire en 2014 . 2000 / 2008 - A Grenoble le juge Luc FONTAINE et ses complices utilisent les mêmes méthodes !
        25.000 frères à Grenoble ! ! Loges en France, des centaines de noms dévoilés en 2016
Source : Nouvel Observateur             Voir pages 94 extrait      94zoom    96   98   100   102
" Un procureur iconoclaste, un juge d'instruction éclaboussé, des réseaux occultes qui s'agitent, une chancellerie aux abonné absents ... Nice ... influence de la franc-maçonnerie sur le bon fonctionnement de la justice ...
... le juge Renard, lui, est KO ... le magistrat franc-maçon, jusque là intouchable, est en train de sombrer. Face à l'enquête fouillée et accablante du rapporteur Vincent lamanda... Eric de Montgolfier ... secret ... procureur de Nice ... connivences maçonniques... "

Un procureur iconoclaste, un juge d'instruction éclaboussé, des réseaux occultes qui s'agitent, une chancellerie aux abonnés absents... Depuis cinq ans, un drôle de feuilleton secoue le tribunal de Nice. Il pose, une nouvelle fois, la question de l'influence de la franc-maçonnerie sur le bon fonctionnement de la justice. Retour sur un invraisemblable bras de fer

Les magistrats n'en sont pas moins des hommes. Ils peuvent être orgueilleux, faibles, corrom­pus, fous... Ce jeudi 14 octobre, le juge Renard, lui, est KO debout. Devant ses pairs du Conseil supérieur de la Magistrature, réunis en formation disciplinaire, il craque : « j'ai perdu 11 kilos et ma capacité sexuelle. Et qu'est-ce que j'ai gagné ? Une psychothérapie, le droit de prendre du Prozac le marin et du Lexomil le soir! » Les magistrats du CSM le regardent, médusés. Où est le Renard élégant, conquérant et sûr de lui ? Le Renard qui fut pendant seize ans l'un des meilleurs ma­gistrats de la Cote d'Azur ? Le Renard puissant. Le Renard malin. Le Rusé comme on l'avait surnommé. Le magistrat franc-maçon, jusque-là intouchable, est en train de sombrer. Face à l'enquête fouillée et accablante du rapporteur Vincent Lamanda (voir encadrés), il en est réduit à faire lui-même de tristes jeux de mots : Quand on veut se débarrasser de son renard, on l'accuse d'avoir la rage...

Alors qu'à Paris Renard perd pied, son principal adversaire reste introuvable. Tous les journalistes cherchent à joindre Eric de Montgolfier. On voudrait une réaction, une de ces phrases bien senties dont il a le secret. Le procureur de Nice, qui avait le premier dénoncé l'influence des loges sur la justice locale, est en vacances à Rome. Il savoure sa victoire dans la Ville éter­nelle. Quel incroyable retournement ! Il a près

d'un an, c'était lui le vaincu. Ses ennemis et la chancellerie avaient bien failli avoir sa peau en rejetant sur lui la responsabilité des fautes qu'il dénonçait ! Illustration presque trop parfaite du vieil adage : Le premier qui dit la vérité Le procureur iconoclaste a failli tomber dans un traquenard qui aurait pu lui coûter son poste à Nice et sa réputation. L'une de ces machines infernales politico médiatiques, sur fond de connivences maçonniques, d'arrière-pensées politiques et de lâcheté institutionnelle dont il est souvent difficile de se relever.

Devant le CSM, il y a quinze jours, le représentant du ministère de la Justice a stigmatisé la perte complète des repères déontologiques ' de Jean-Paul Renard et ses manquements graves et répétés aux devoirs d'un magistrat. Il n'a pas prononcé une seule fois le mot « franc-maçon Pourtant, l'ombre des frères planait sur tous les dossiers examinés : magistrats ma­çons, élus maçons, policiers maçons, chefs d'entreprise maçons, délinquants maçons (voir encadrés)... In fine, le représentant du garde des Sceaux a demandé la sanction maxi­mum : la révocation. Il a aussi affirmé que la chancellerie avait tout fait pour diligenter l'enquête du CSM. Comme nous allons le voir, c'est en fait l'inverse qui s'est passé. Pour le comprendre, il faut revenir sur l'invraisemblable bras de fer qui oppose le procureur de Nice et Jean-Paul Renard depuis prés de cinq ans. Un duel qui illustre toute la com-

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