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Juges corrompus ou aveugles, policiers truands ? Propagande des banques pour l'Europe ?
Pour masquer des fonds occultes qui permettent à des notables de conserver le pouvoir dans les pays? Certains y voient les méthodes de la Ndrangheta , de la loge P2 , des abus bancaires
Vidéos un système bancaire en question : 1 , 2 , 3 , 4 , Guerre civile prévue !

L'argent sale qui achette tout !    LA CRISE Esclavage des peuples ?
Voyez ce que l'Europe a mis en concurrence avec votre niveau de vie !!!
Les mafias exposées MARIANNE 24/08/07 - P ..., 50, 51, 52, 53, 54, 55, 56, 57, 58, ... (Recopie ci-dessous)


casino illégal qu'ils tiendraient près de Tel-Aviv, on parie... à crédit. Et gare à celui qui n'honore pas ses dettes : une ribambelle d'hommes de main veille au grain.

Leur dernier fait d'armes présumé : avoir truffé d'explosifs l'entrée de l'immeuble où vivait l'une des figures de l'économie souterraine israélienne, en avril 2005. Des engins qui, s'ils avaient fonctionné correctement, auraient pu démolir entièrement le bâtiment.

Détail pimenté : les organisations criminelles israéliennes n'ont pas hésité à recourir à des juifs orthodoxes (a priori peu suspects aux frontières) pour introduire leur marchandise aux Etats-Unis, tout en entretenant des liens avec la mafia turque, interlocutrice incontournable sur le marché de l'héroïne, et avec les gangs palestiniens, notamment dans le cadre du commerce illicite de voitures. Plaque tournante de leurs trafics en Europe : le port d'Anvers, en Belgique, où ils tiendraient à distance les criminels nigérians, tchétchènes, colombiens et serbes, très présents dans les parages.
La mafia indo-pakistanaise plante son décor à « Bollywood»
Un cargo en route pour le port de Karachi au Pakistan, chargé de voitures de luxe volées en Chine, au Japon et en Malaisie : c'est la dernière information publiée au sujet de la puissante mafia indo-pakistanaise. Précision utile : le navire a fait escale à Dubaï, où les trafiquants ne rencontrent en général aucune difficulté auprès des douanes. En réalité, ce cargo n'est qu'une goutte d'eau au regard du poids que pèse

A « Bollywood », acteurs et producteurs confient leurs démêlés financiers aux mafieux. Le parrain, Ibrahim Dawood, se prend, lui, pour un héros de film...

reste celui des enveloppes destinées à acheter politiciens et policiers, de même que les investissements immobiliers géants qu'il réalise à Dubaï et à Bombay, la capitale économique de l'Inde. Cette puissance occulte unique lui a valu d'être soupçonné d'être derrière une douzaine d'explosions qui, en 1993, ont tué 257 personnes en Inde – réponse des musulmans après la mort de près de 2 000 d'entre eux dans le pays, à la suite d'émeutes hindoues. Un mélange des genres –business et terrorisme – dont les nouvelles mafias sont friandes.

Mais le parrain a aussi un pied dans la culture. Son histoire aurait inspiré plus d'un film à « Bollywood », la capitale du cinéma made in India, au point qu'il a lui-même fini par se prendre pour une sorte de héros des temps modernes. Affaire d'image, mais aussi de gros sous : du racket au financement de films à gros budget, la mafia a infiltré l'industrie cinématographique du sous-continent comme jamais Cosa Nostra n'a infiltré Hollywood. La preuve que les barons du crime en pincent pour le glamour... à condition que cela rapporte, ce qui est apparemment le cas. Acteurs et producteurs confient volontiers l'arbitrage de leurs démêlés financiers aux mafieux. Les droits de vente à l'export font le reste. D'autant que l'amour de l'art n'empêche pas de toucher à toutes les autres formes de trafic, en particulier à la drogue, que le gang achemine jusqu'en Chine – un énorme marché – par le truchement de la communauté indo musulmane présente en Malaisie. Depuis qu'on l'aurait vu circuler en Afghanistan sous la protection des talibans, on a même prêté à Dawood, 52 ans, des liens avec les réseaux d'Al-Qaida !

Du racket au financement de films, la mafia du sous-continent indien a infiltre l'industrie du cinéma comme jamais.

le parrain de cette constellation criminelle en forme d'empire, Ibrahim Dawood, alias « Muchchad ».
Basé à Karachi, capitale économique du Pakistan, l'homme brasserait annuellement plusieurs millions de dollars, mais c'est son frère, Anees, qui, sur le terrain, veille. L'un des rares domaines que Dawood, un fils de policier, tienne à superviser personnellement

Les mafias exposées MARIANNE 24/08/07 - P ..., 50, 51, 52, 53, 54, 55, 56, 57, 58, ...