Accueil CARIGNON - liens avec mon avocate corrompue ? Son ami SARKOZY Elus qui dérapent |
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Dérapent dans le milieu police / justice sur le reste de la France | |||
Les centaines de complices de CARIGNON Alain (policiers, juges, journalistes...) confortés par l'impunité, sous protection de leurs menaces de dénoncer le réseau, continuent des décennies de dérives. Les héritiers avec le fric amassé et les relations vont poursuivre les ravages de cette corruption pour d'autres affaires et replacer les copains tel le préfet PENEAU Xavier (Démissionné en 1996) aux postes de commandement (Indre en 2010) ! Ces personnes ont entrainé crimes, suicides, déprimes, faillites... C'est devant les assises qu'elles doivent être rejugées et non devant les copains Le successeur Michel Destot a droit aux même privilèges d'HERMINE DORMEUSES " ! ! Et silence de la presse sur une faillite frauduleuse ! |
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Texte recopié au dessous |
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Comment Carignon mettait dans sa poche
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POURQUOI l'enquête policière sur Dauphiné News - le groupe de presse d'Alain Carignon commencée en 1959, a-t-elle mis quatre ans pour atterrir sur le bureau d'un juge ? Et comment expliquer que, parmi la quinzaine de facéties financières grenobloises relatées ou révélées par « Le Canard », aucune n'ait encore été jugée? Simple : entre les magistrats dormeurs, les flics lymphatiques, les élus assoupis et les médias distraits, la justice locale a connu, sous Carignon, des accès répétés de somnolence. La mini-guerre des polices que se livrent sur place les RG et la PJ n'a rien arrangé. Plusieurs des notes que les RG ont rédigées depuis des années sur les irrégularités municipales sont remontées jusqu'à Carignon. Et les auteurs n'ont pas manqué d'en rendre responsables leurs collègues de la PJ. Notamment un commissaire, connu pour ses sympathies RPR. |
L'affaire Dauphiné News n'a pas non plus épuisé les juges grenoblois. Il a fallu quatre ans et plusieurs notes anonymes adressées au magistrat, Philippe Courroye, pour qu'en février 1993 l'instruction commence. Et pas à Grenoble, à Lyon 1 En 1991, trois ans plus tard, et non sans conviction, Carignon appelait à voter pour le PS et contre le Front national dans un canton de Villeurbanne. D'où le fréquent refrain des socialistes locaux : «On ne va pas flinguer un type qui a appelé à voter pour nous. » «A Grenoble, depuis l'incarcération du 12 octobre, les gens sont abasourdis, |
raconte un habitant. La nouvelle les a totalement pris de court. Pourquoi ? Parce qu'ils lisent tous "Le Dauphiné libéré". Et que ce quotidien a plus souvent manié l'encensoir que la critique. » Carignon a d'ailleurs récemment décoré six journalistes et dirigeants du « Dauphiné » de l'ordre du Mérite. J'ai des RELATIONS ! JEME PLAINDRAIS AU Préfet et que son ami Yves d'Hérouville a pris la direction de France 3 Alpes. Un des premiers soucis du nouveau patron fut de virer le reporter qui avait suivi l'affaire Carignon. Mais une grève de France 3 l'obligea à réintégrer l'insolent. Dans l'ensemble, les confrères locaux ne se sont guère insurgés contre cette apathie de la police, des juges et des élus. La presse nationale n'a guère fait mieux. TF 1 s'est montré discret sur l'affaire Dauphiné News, dont l'un des grands mécènes fut Bouygues. Quant à France 2 et France 3, |
qui attendaient une aide de l'Etat, elles sont longtemps restées à la traîne. Enfin, M 6, reçue à Grenoble, est contrôlée par la Lyonnaise des eaux... Deux journalistes qui avaient suivi l'affaire Dauphiné News ont récemment reçu des menaces. Le premier, Claude Francilien, du Monde a été, au siège du RPR grenoblois, molesté par le beau-frère de Carignon. Jean-René Palacio. qui l'a aimablement traité d'enculé ». Le second, Eric Merlen (L'Evénement du Jeudi ) était attendu, à son retour chez lui par trois hommes qui s'en sont prisé ses articles de merde... Quant' à l'élu écologiste Raymond Avrillier, il a été insulté et menacé par plusieurs partisans du maire. Les joies du pluralisme à Grenoble ? Jérôme Monod, le patron de la Lyonnaise des eaux, risque d'être prochainement mis en examen. Le juge Courroye vient de découvrir qu'une liliale de la Lyonnaise s'était portée caution auprès d'une banque, pour la société Whip, qui finançait des dépenses privées de Carignon. En clair, la Lyonnaise s'engageait à éponger les découverts de cette tirelire. Transmis aux RMIstes de Grenoble. |