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Juges corrompus ou aveugles, policiers truands ? Propagande des banques pour l'Europe ?
Pour masquer des fonds occultes qui permettent à des notables de conserver le pouvoir dans les pays? Certains y voient les méthodes de la Ndrangheta , de la loge P2 , des abus bancaires
Vidéos un système bancaire en question : 1 , 2 , 3 , 4 , Guerre civile prévue !

L'argent sale qui achette tout !    LA CRISE Esclavage des peuples ?
Voyez ce qui est en concurrence avec votre niveau de vie !!!
Les mafias exposées MARIANNE 24/08/07 - P ...51, 52, 53, 54, 55, 56, 57, 58, ...
(Recopie ci-dessous)


Dans le bidonville d'Alemao, à Rio de Janeiro, de violents affrontements ont opposé policiers et trafiquants de drogue.

grève pour réclamer des renforts et du matériel. Une force spéciale est même en cours de constitution, promesse du président mexicain, Felipe Calderon, élu en décembre dernier, avec pour mission de freiner le nombre de crimes liés au trafic de drogue – plus de 200 par jour au cours du premier trimestre 2007, 9000 depuis 2001 ! Première étape, une vaste épuration au sommet de la police fédérale mexicaine, sous l'emprise permanente des narcos, de leurs dollars et de leur chantage. Mais les tueurs des cartels n'ont pas dit leur dernier mot : comme si les narcorridos ne leur suffisaient plus, ils viennent de passer à l'ère du blog sur Internet, idéal pour raconter leurs exploits, railler une « putain de pédale » (un rival), ou annoncer sa mort prochaine à un concurrent.

La coca, nerf de toutes les guerres colombiennes...

En Colombie, on se tue même entre révolutionnaires. Non pas au nom de la lutte des classes, mais pour le contrôle des routes de la cocaïne, en particulier celle qui conduit au Venezuela, un domaine que s'octroyaient sans partage les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Fart). Mais désormais elles doivent-compter avec les ambitions affichées par l'Armée de libération nationale (ELN). ¾In mélange des genres classique dont les observateurs français ont pu observer les dérives en Corse, où le financement de la cause abrite là aussi les rackets.

L'enlèvement avec rançon est ainsi devenu la spécialité de ces mafieux aux habits de guérilleros – les proches d'Ingrid Betancourt en savent quelque chose. Les milices paramilitaires d'extrême droite n'ont pas tardé à rivaliser avec eux en matière d'exactions, officiellement pour les couper de leur base paysanne, officieusement pour empocher une partie de la manne de cette drogue dont le pays est le premier producteur mondial.

Cerise sur le gâteau, voilà que l'on découvre que la police colombienne, elle aussi, se sert dans la caisse, non pas celle de la coca mais celle du plan antidrogue.

L'école des favelas brésiliennes

Le Premier Commandement de la capitale (PCC) est un cas unique dans l'histoire criminelle. A l'origine d'un raid urbain sans précédent, cette organisation criminelle a mis à feu et à sang l'Etat de Sao Paulo
culture populaire d'un pays où le négoce illicite a survécu à toutes les guerres. Certains paient cher pour voir leurs exploits mis en musique, meilleure façon de transformer un criminel en héros du peuple. Sauf que les règlements de comptes entre cartels de la drogue dégénèrent en batailles rangées dans les rues d'Acapulco, grande ville touristique de la côte pacifique où les morts se comptent par dizaines. Acapulco où l'on ne sait pas encore qui, du cartel du Golfe ou de

En Colombie, on se tué entre révolutionnaires.
Non pas au nom de la lutte des classes, mais pour le contrôle des routes de la coca.

celui du Sinaola, prendra le contrôle de ce port stratégique pour l'acheminement vers los Estados Unidos de la marijuana locale et de la cocaïne made in Colombia.

L'autre nouveauté réside dans l'éclatement des cartels en de multiples gangs au sein desquels se sont immiscés d'anciens soldats d'élite, attirés par une solde sans commune mesure avec celle qu'ils touchaient dans leur corps d'arme. De quoi inquiéter des autorités américaines qui, les yeux braqués sur la menace terroriste, ont laissé libre un espace que se sont empressés de combler les narcotrafiquants. Au Mexique, ce sont les cartels qui attaquent les forces de l'ordre, et non l'inverse. Au point que la police de Monterrey, capitale du Nuevo Leon, s'est récemment mise en
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