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Juges corrompus ou aveugles, policiers truands ? Propagande des banques pour l'Europe ?
Pour masquer des fonds occultes qui permettent à des notables de conserver le pouvoir dans les pays?
Certains y voient les méthodes de la Ndrangheta , de la loge P2 , des abus bancaires
Vidéos un système bancaire en question : 1 , 2 , 3 , 4 , Guerre civile prévue !
L'argent sale qui achette tout ! LA CRISE Esclavage des peuples ? Voyez ce qui est en concurrence avec votre niveau de vie !!!
Les mafias exposées MARIANNE 24/08/07 -Pages 48, 49, 50, 51, 52, 53,... (Texte recopié ci-dessous)
cadavres, la machette à la main. De quoi offrir quelque résistance aux gangs mexicains dans les ghettos de Los Angeles. Des paramilitaires entraînés aux armes se sont joints à eux. Au programme, trafic de drogue, racket, et une faculté à se propager aux quatre coins du pays, sans obéir à aucun plan ni à aucune hiérarchie, rendant particulièrement difficile le travail policier.
Les observateurs craignent le pire, sachant que, dans le pays d'origine, au Salvador, cette structure invertébrée a laissé aujourd'hui la place à une organisation clandestine capable de superviser des trafics de très grande envergure.
Pour financer leur guerre contre le pouvoir central au Sri Lanka, les Tigres tamouls rackettent la diaspora dans le monde entier, en particulier au Canada et en Grande-Bretagne. Une quête digne des organisations criminelles classiques, entre menaces et agressions, auprès d'une communauté qui s'est précisément expatriée
Zeev Rosenstein, ici escorté par la police israélienne, a été condamné à douze ans de prison pour l'importation de 850000 pilules d'ecstasy aux Etats-Unis.
de la police, notamment en France, où des bandes de jeunes Tamouls, plus dealers que militants politiques, font régner la terreur auprès des mauvais payeurs. Porteurs de valises, financiers occultes, crimes maquillés en suicides, complètent le tableau.
« Israeli Connection»Les autorités américaines l'ont considéré comme l'un des plus gros trafiquants de drogue au monde. En janvier dernier, Zeev Rosenstein, alias « The Fat Man » (« le Gros »), 52 ans, plaidait coupable devant un tribunal fédéral pour l'importation de milliers de pilules d'ecstasy (850 000, selon l'accusation) aux Etats-Unis. Condamné à douze ans de prison, il purgera sa peine en Israël, son pays d'origine.
Présente sur quatre continents, l'« entreprise » de cette figure du crime organisé israélien recourait à des petites mains latino-américaines pour la distribution de sa drogue synthétique. Rosenstein avait fait l'objet d'au moins sept tentatives d'assassinat au cours des dernières années, dont l'une sous la forme d'une attaque à la bombe qui a tué trois personnes à Tel-Aviv, en décembre 2003.
Les trottoirs de la grande ville israélienne aussi chauds que ceux de Marseille et de Toulon ? Moins d'un mois plus tard, un homme à moto a atteint de plusieurs balles mortelles un autre célèbre trafiquant de drogue, Ephraïm « Freddy » Ran, 60 ans, recyclé depuis peu dans le marché de l'art. Vingt ans plus tôt, il avait fait partie du New York Gang, expert dans l'import-export de stupéfiants, l'extorsion de fonds et les paris clandestins, spécialité de cette « Israeli Connection » installée dans le paysage criminel depuis les années 70 et en-fichie depuis par l'apport de dizaines de milliers de juifs originaires de l'ex-Union soviétique. A l'instar du grand banditisme français, cette communauté a des antennes sur tous les continents : le précédent « roi de l'ecstasy », Yoram El-Al, un Israélien de 35 ans, avait été arrêté sur une plage de Rio de Janeiro en décembre 2006. Soupçonné d'irriguer Las Vegas avec des pilules made in Netherlands, impliqué, selon certains, dans la tentative d'assassinat perpétrée contre Rosenstein, il était recherché par Interpol depuis son évasion d'une prison uruguayenne.
fuir des combats qui durent depuis le début des années 80.
Les exilés seraient près de 300000 au Canada, plus de 100000 en Angleterre, 80 000 en Allemagne et environ 70 000 en France. L'organisation de la collecte, très hiérarchisée, est planifiée depuis le territoire rebelle, dans le nord de l'île. Dans chaque pays veillent des représentants dotés de tous les moyens de coercition. La contribution moyenne des familles serait d'environ 2 000 € par an. Et gare à celui qui ne s'acquitte pas de son dû : il sera interdit de séjour au pays, en attendant pire. Et les fichiers sont bien tenus.