Accueil   20.000 fichiers de la police vendus 600.000 €     Verdict par : Dauphiné Libéré     Retour conclusions de Parti Civile      BESANCENOT aussi Le fichage EDVIGE va agraver les détournements Les bases élèves et les données de santée subiront le même sort que http://www.trafic-justice.net/victime-ripou
   D'autres militants : http://bigbrotherawards.eu.org/article1220.html (Vols aussi des fichiers à Marseille et Paris !)

Le Dauphiné Libéré du 3 mars 2009 glorifie étrangement le départ du patron de la police nationale M. Jean-Claude BOREL GARIN, directeur départemental de la sécurité publique. Sa remplaçante, permettra-t-elle de connaître la vérité sur les protections réelles de l'affairisme mafieux à Grenoble ?

L'autre façade de Jean-Claude BOREL GARIN est plutôt sombre :

- Il a enterré mes plaintes contre les ripoux de ses services, malgré le dépôt de ma copie de plainte dans son bureau personnel qui l'a réceptionné.
- Il a été le complice de magistrats corrompus.
- Il a protégé des pourris, dont un ancien commissaire de la police nationale, qui revendaient les fichiers confidentiels de la police à la franc-maçonnerie.
- Il a participé personnellement à un harcèlement inhumain de ses services qui m'ont interpellé de nombreuses fois avec à la clé 150 heures de
garde à vue en parfaite illégalité et abus de pouvoir.
- Toutes ces pratiques illégales ont eu pour but de protéger le réseau
CWIKOWSKI (commissaire révoqué et condamné pour faux en écriture privée et corruption active).
- Sous sa responsabilité directe, ses collègues policiers ont grossièrement falsifié des auditions (les policiers sont les suivants : Mme Chantal DESCOU et Mr BONNEL).
- Les collègues de J C BOREL GARIN ont fait établir des faux certificats pour couvrir mon tabassage par leur ancien collègue commissaire : M. Bruno CWIKOWSKI. Ce dernier s'est chargé personnellement et devant témoins de me frapper violemment et en me jetant à terre, il a continué à me frapper au sol alors que je venais de sortir de l'audience correctionnelle où je m'étais constitué partie civile contre lui.

- J.C BOREL GARIN a fait procéder à mon arrestation par son collègue GIRAUD Marc après ma plaidoirie du 7 février 2008 à propos du tabassage dont j'ai été victime suite à la violence de l'ancien commissaire Bruno CWIKOWSKI.

Combien d'autres magouilles J.C BOREL-GARIN a couvert dans ses services ?
Il ne pouvait pas ignorer les manipulations des procédures commises par certains de ses policiers !
Ce personnage intrigue puisqu'il est encore en fonction, il a contribué à salir l'intégrité et la belle image de noble police républicaine.
Vous pouvez prendre connaissance d'un directeur départemental de Nice, traité de raciste dans sa fonction : Monsieur Pierre PETITJEAN.
Pourtant l'histoire du régime pourri et corrompu de Vichy, qui est à l'origine de l'extermination de notre communauté juive dont je salue la mémoire, nous a enseigné que nul n'est tenu d'obéir à des ordres qu'il sait illégaux, et cela, même si dans mon cas, des magistrats ont été complices, et que l'affairisme de certains francs-maçons a beaucoup contribué à violer les lois de la République ! ! !

Source DL du 3 mars 2009

POLICE Le Directeur départemental de la sécurité publique rejoint l'Essonne
Le départ de Jean-Claude Borel-Carin

GRENOBLE
C'est un crève-cœur pour lui de devoir quitter Grenoble, mais il en va ainsi de la carrière des hauts responsables de la police nationale : tous les quatre ans, ils sont appelés à voguer sous d'autres cieux. Évidemment, lorsque l'on est un Grenoblois -un vrai de vrai ! - qui a débuté dans les bureaux de l'avenue Général-Leclerc au grade d'inspecteur pour revenir en dernière partie de carrière à la tête de la sécurité publique de l'Isère, on apprécie modérément de devoir s'exiler dans la région parisienne... Bref : l'Essonne, sa grisaille et ses immenses cités, Jean-Claude Borel-Garin aurait préféré les éviter ! « Il paraît que mes qualités me désignaient pour prendre en main ce département turbulent... », a-t-il expliqué hier, fataliste, à la nombreuse assistance conviée en préfecture à célébrer son départ.

En préambule, le préfet Albert Dupuy sera longuement revenu sur la carrière exemplaire du futur Directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) de l'Essonne : de ses débuts, en 1974, à la sûreté urbaine

(« Jamais, à cette époque », raconte l'intéressé, « je ne me serais douté qu'un jour, je reviendrais en Isère pour occuper le bureau de celui que l'on appelait à l'époque le DDPU ('). C'était le seul maître après Dieu. Il était inaccessible ! ») Jusqu'à ses fonctions de DDSP de la Savoie en passant par celles de commissaire central à Marseille ou de Directeur adjoint du RAID.

« Bousculer les habitudes »
« Partout où vous êtes passé, les statistiques de la délinquance n'ont cessé de réduire », a continué Albert Dupuy. « En Isère, de 2004 à 2008, la délinquance générale a baissé de 20 % et la délinquance de proximité de 32 %. Soit cela relève d'une incomparable maîtrise de l'informatique et d'une manipulation de l'outil statistique, soit cela prouve une action réellement efficace : c'est évidemment la seconde option que je privilégie ! ». Et le préfet de souligner les qualités du contrôleur général « Vous êtes un meneur d'hommes. L'aspect humain

Le contrôleur général Borel-Garin (à gauche, aux côtés du préfet Albert Dupuy) sera remplacé par la commissaire divisionnaire Brigitte Julien, actuelle Directrice départementale de la sécurité publique des Pyrénées Atlantiques. Le DL/Henri PORCHIER

est pour vous essentiel. Cela ne vous a pas empêché de réorganiser efficacement vos services et de les adapter aux réalités du terrain. Pour cela, vous n'avez pas hésité à bousculer les habitudes.


Très ému à l'heure des adieux


Vous avez eu le courage de proposer, de décider et d'assumer. Vous avez fait bonneur

à la police nationale et au service de l'État ».

Après quatre années passées à la tête des policiers dé la sécurité publique iséroise (2), le contrôleur général Borel-Garin, très ému à l'heure des adieux; a tenté à son tour de dresser un tableau de son action à la tête de ses effectifs ; depuis les multiples opérations de maintien de l'ordre (grandes manifs du CPE et grands matchs au stade des Alpes) jusqu'à celles visant la délinquance liée à l'économie souterraine dans les

quartiers : « Il n'y aura pas d'espoir dans ces quartiers tant que les dealers auront pignon sur rue », a t-il conclu.

En avril, la commissaire divisionnaire Brigitte Jullien quittera Pau et la DDSP des Pyrénées-Atlantiques pour succéder à Jean-Claude Borel-Garin.

D. M.

(') Directeur départemental des polices urbaines

(2) La PJ et les Renseignements intérieurs sont des services rattachés à d'autres directions