Source : une publication de http://www.morpheus.fr/HTM/morph.htm/M00.htm
OTS LA VERITE SORT DU PUITS
RAPPEL de faits étrangement occultés par
la justice et les autorités :
Janvier 92 : financement par la mairie dHyères et le Comité
Départemental du Tourisme du Conseil Général du Var,
avec le soutien du Ministère du Tourisme, dune plaquette
«touristique» et dune cassette vidéo intitulées
«LHomme Solaire» ci-contre, pour vendre des «stages»
animés sur lÎle du Levant par le Dr Luc Jouret, dirigeant
de lOTS. Lîle du Levant servait de plate forme militaire
pour des ventes illégales darmes, sorte de supermarché
à terroristes alimenté par lindustrie militaire française.
LOTS, dirigée entre autre par dex militaires ou anciens
membres des services secrets, était une gigantesque multinationale,
des sommes faramineuses ont été englouties dans le fonctionnement
de cette organisation mise en place par des services de lEtat français,
suisse, canadien et australien. A Grenoble, le juge dinstruction,
Luc Fontaine, résume : «Structuré comme une multinationale,
lOrdre était bel et bien une gigantesque affaire commerciale
dont les intérêts financiers était répartis
sur trois continents: lEurope, le Canada et lAustralie».
En effet, les centres de lOTS en France, Australie et Canada sont
systématiquement à proximité de plate-formes militaires
de ventes darmes, or on sait que ce type de commerce rapporte gros
surtout sil est couvert par des services détats disposés
à aller jusquà la vente illégale duranium.
Un blanchiment industriel dargent noir était donc nécessaire,
lOTS sy emploie.
Ce «paisible» trafique darmes international fut en partie
découvert par la députée Yann Piat. A partir de cette
époque les rouages de cette machine infernale semblent progressivement
se gripper.
Février 94 : assassinat de Mme la députée Yann Piat
trop bien informée des opérations occultes en cours autour
des terrains de lÎle du Levant appartenant à larmée
et convoités par des promoteurs liés aux mafias et hommes
politiques du Var.
Mai 94 : les frères SAINCENÉ, gangsters-barbouzes protégés
par les hommes politiques de la région PACA, sont retrouvés
assassinés. Deux capes templières de lOTS sont retrouvées
à leur domicile.
Octobre 94 : assassinats collectifs de Cheiry et Salvan en Suisse, dont
sont victimes les membres de lOTS. Les cartons contenant les cassettes
vidéo LHomme Solaire sont enlevées des décombres
par les pompiers, avant tout constat de police, sous loeil de caméras
de télévision.
Décembre 95 : assassinat dans le Vercors de 16 membres de lOrdre
du Temple Solaire, dont 3 enfants, présenté comme un suicide
collectif . Le 6 mars 2001, lexpert mandaté par les parties
civiles apporte la preuve formelle dun assassinat des 16 morts du
Vercors par des personnes ayant utilisé du phosphore dorigine
militaire. En dautres termes, lusage de lance flamme est clairement
évoqué.
74 personnes entraînées, souvent malgré elles, dans
une affaire de blanchiment dargent seront méthodiquement
assassinées dans cette affaire.
Janvier 96 : publication du rapport parlementaire GEST-GUYARD sur les
sectes.
Ce rapport est justifié par le massacre de lOrdre du Temple
Solaire présenté comme un suicide collectif ésotérique.
Personne na pu demander en France une commission denquête
sur les trafiques darmes illégaux de lOTS couverts
par des ministères de plusieurs pays. Il faudra donc attendre patiemment
que les fruits pourris tombent tout seul de larbre
Spiritualité, Trafic dArmes, Argent noir et Réseaux
Politiques
Beaucoup de personnes ne comprennent rien à cette affaire car politique,
spiritualité et trafic darmes, ne semblent pas être
conciliables.
Dans les milieux politiques, la spiritualité se recommande, se
commande, se vend et sachète. Ainsi, lappel à
dauthentiques théosophes ou spiritualistes pour créer
de toutes pièces une école ou une secte existe. De telles
entreprises ont déjà été mises sur pied par
des banquiers suisses dotés dun cahier des charges proposant
de 3 à 10 millions de francs suisses à des individus ayant
dauthentiques aptitudes parapsychiques et spirituelles. Certains
acceptent, dautres plus honnêtes refusent.
Pourquoi créer une structure spirituelle, loge ou autre? Cest
tout dabord une manière de protéger des réseaux
de type maçonnique (par exemple) qui ont pignon sur rue mais qui
ne souhaitent pas en leur nom sengager sur tel trafic, captation
ou blanchiment. Si un problème survient la nouvelle structure avec
ses adeptes sert de fusible pour couvrir les loges, les ministères
et les états à lorigine du système.
Spiritualité et Politique
LAfrique est le plus bel exemple de lusage fait de la spiritualité
maçonnique en lien avec les sphères politiques. Tous les
présidentiables africains doivent être rattachés à
une obédience maçonnique européenne ou américaine,
à défaut il nont aucune chance de trouver des fonds
pour leur campagne électorale. Sils parvenaient à
être élus démocratiquement malgré tout, ils
seraient renversés par un prompt coup détat. Un président
africain doit être très obéissant vis à vis
des obédiences maçonniques occidentales. Il faut cependant
le mentionner, la grande exception à cette règle fut Mandela,
trop désobéissant, trop populaire car emprisonné,
trop dangereux économiquement avec lANC, ce qui lui valu
dêtre épargné en acceptant son élection
afin de sauver les meubles
Politique et Argent
La question de largent et de lappartenance à une obédience
est centrale en politique. Dune manière générale,
une campagne se gagne sur des accords bancaires et sur la synergie de
larges réseaux faisant affluer largent vers le candidat.
Le plus gros budget est le futur élu. Les provenances de largent
sont très variées et la fin justifiant les moyens, en matière
politique, le cynisme est de rigueur. Quest-ce qui rapporte le plus
aujourdhui? La drogue qui va de pair avec larmement. Nous
pouvons affirmer que beaucoup de partis politiques européens sont
financés par les ventes darmes illégales. Les circuits
de blanchiment sont internationaux, bien rodés utilisant des fonctionnaires
de police et de larmée avec de vrais faux passeports.
Comment blanchir des centaines de millions de francs?
Nimporte qui peut ouvrir un contrat dassurance vie sur la
tête de nimporte qui, il suffit de présenter une pièce
didentité, vraie ou fausse (contrat géré à
létranger par un assureur complaisant au Luxembourg par exemple),
donc, hors succession, puisque hors du territoire. Quand la personne meurt,
celui qui a ouvert le contrat récupère ou fait récupérer
le contrat par qui il veut, homme politique par exemple, puisque le titulaire
du compte nétait pas au courant quil servait de prête
nom à une opération de blanchiment. Il était très
facile pour les dirigeants de lOTS, Jo Di Mambro en particulier,
davoir un bon nombre de cartes didentités de membres
de lOTS
ouverture de contrats dassurance-vie signifiant
une mort sur ordonnance à terme
Avec 150 contrats à
10 millions vous blanchissez jusquà 1,5 milliard.
Madame Ghislaine Marchal versait 2 millions par an à lOTS,
chaque versement supplémentaire hypothéquait un peu plus
sa vie, jusquà sa fin tragique
(affaire Omar Raddad).
LOTS avait besoin de recruter des adeptes pour blanchir toujours
plus dargent. Le hic dans lhistoire cest que ses plaquettes
et cassettes furent financées par la mairie dHyères,
le Comité Départemental du Tourisme du Conseil Général
du Var et le Ministère du Tourisme, cherchez lerreur ! !
!
Le trafic duranium :
La France a, de près ou de loin, participé à la mise
en uvre de programmes nucléaires dans 22 pays. Il est normal
quelle soit très sollicitée dans ce domaine. Comment
répondre à la demande sans sattirer les foudre de
lopinion publique internationale?
LOTS depuis le début fut conçu pour répondre
à cette demande entre autre.
LOTS Québec servait par le biais de la société
Hydro-Québec à retraiter luranium dorigine militaire.
LOTS France servait de supermarché militaire pour traiter
les affaires. LOTS Suisse servait de contact et de caution vis à
vis de pays comme lIran, la Russie, la Libye, lArabie Saoudite
et autres
LOTS Australie servait vraisemblablement de solution
bancaire de repli quand les sommes à blanchir étaient trop
importantes pour être traitées en Europe ou au Québec.
Il semble quun contrat de 1 milliard de dollars concernant des ventes
duranium à lIran ait été mal vu et stoppé
par la CIA. Cependant 100 millions de dollars avaient déjà
été versés et engloutis par les politiques cautionnant
et couvrant lopération. La machine à faire de largent
noir se grippa. Jo Di Mambro fut désigné comme le responsable
du détournement de ces sommes et une macabre mise en scène
fut orchestrée.
Depuis les enquêtes sur cette affaire piétinent et les medias ne traitent que daspects purement anecdotiques, en marge du coeur
de laffaire
Dautre part aucun magistrat na les reins assez solides pour
traiter ce dossier sur le fond. Il nous faudrait en France des dizaines
dEva Joly, dHalphen et de Montgolfier pour redresser la barre.
A défaut, cest aux citoyens contribuables de demander des
comptes à lEtat en criant haut et fort le refus de dérives
mafieuses qui mènent inéluctablement notre pays à
la ruine, à la désolation en lexposant à de
potentielles représailles terroristes.
Pour en savoir plus se référer à louvrage «Mafia et démocratie» de Christian Cotten et Alejandro Jodorowsky
(p 397 à 578), éditions Louise Courteau Août 2003,
prix 25 Euros. Si ce livre venait à disparaître en France
:
Contact Québec : Louise Courteau, éditrice inc. 481, Chemin
du Lac St Louis Est, Saint Zénon, Québec, Canada J0K 3N0.Ordre du temple solaire :
l'enquête, ses zones d'ombre et la contre-enquête
Le 22 Septembre 2003 verra la réouverture à Grenoble du
procès concernant l'Ordre du Temple Solaire. Si le verdict officiel
du 25 Juin 2001 avait retenu l'hypothèse de suicides collectifs
dans lesquels tous les membres impliqués auraient péri,
une contre-enquête parallèle, menée par un proche
de trois victimes et par quelques journalistes, présente une version
très différente des faits. Aux côtés de la
famille de trois victimes, Christian Cotten président de l'association
POLITIQUE DE VIE et Joel Labruyère, président de l'Omnium
des Libertés, se sont portés partie civile pour protester
au nom de tous les groupes qui ont subi une véritable " chasse
aux sorcières " depuis 1995, date à laquelle un rapport
parlementaire a établi une liste de mouvements déviants,
surfant sur la vague médiatique de ces prétendus suicides
collectifs. La thèse officielle
Dans cette affaire qui s'étale d' Octobre 1994 à Décembre
1995, on dénombre 5 massacres dont deux au Québec (Morin-Height
et St Casimir), deux en Suisse (Cheiry et Salvan), et le dernier en France
(St Chérenne près d'Autrans). Les victimes des quatre premiers,
tous survenus en Octobre 1994, ont été retrouvées
dans des chalets en feu, et celles du dernier (Décembre 1995) en
plein air. La plupart des victimes ont été tuées
par balle (sauf trois à l'arme blanche, visiblement non consentantes),
ayant presque toutes absorbé de fortes doses de neuroleptiques.
Le plus souvent, un sac de plastique avait été placé
sur la tête après le décès, mais avant le déclenchement
de l'incendie. Dans chaque cas, les corps étaient carbonisés.
A Servan cependant, où le chef Di Membro est décédé,
il ny avait pas dimpacts de balles sauf sur deux victimes.
Selon une mise en scène constante, les corps étaient toujours
disposés en cercle, dans certains cas vêtus de cape (une
des victimes étant curieusement nue sous sa cape). Plusieurs enfants
faisaient partie des victimes.
L'enquête officielle tente de démontrer d'une part que la
doctrine professée par l'OTS pouvait comporter une notion de passage
et de sacrifice, voire même une notion de cataclysme imminent, surtout
dans les derniers écrits des maîtres à penser du mouvement,
et que certains membres pouvaient adhérer en partie à cette
vision, bien que le côté apocalyptique soit apparemment apparu
peu de temps avant les drames.
D'autre part, en décryptant les faits et gestes de certains membres,
elle fait ressortir tous les faits pouvant accréditer la thèse
du suicide avec préméditation, sans l'aide de personnes
extérieures, concluant que les exécutants du massacre avaient
tous péri dans les différents drames. Elle ne nie pas cependant
que certains membres ont été exécutés sans
leur consentement, certaines victimes s'étant manifestement défendues
avant de mourir et portant des traces de coups.
Le verdict du 25 Juin 2001
Dans ce procès, Michel Tabachnik, l'un des maîtres à
penser du groupe, était le seul accusé. Il est relaxé
dans les termes suivants :
" Le fait qu'il (Michel Tabachnik) ait accepté en la circonstance
d'être le porte-parole des maîtres de la secte et d'engager
ainsi son crédit peut s'expliquer autant comme la manifestation,
en conscience du but criminel poursuivi, d'une volonté de sa part
d'apporter un concours actif destiné à attribuer aux crimes
à venir la portée symbolique recherchée que comme
l'expression d'un souhait d'apporter son concours à une évolution
du mouvement répondant aux conceptions personnelles qu'il avait
exposées dans le texte 'Epiphanie 91'.
L'information et les débats n'ont pas permis de mettre en évidence
d'éléments suffisamment probants, dépourvus de tout
aspect hypothétique, pour pouvoir opter entre les deux termes de
cette alternative.
Ce doute bénéficie au prévenu... Le tribunal...déclare
Michel TABACHNIK non coupable des faits qui lui sont reprochés
et le renvoie des fins de la poursuite." Six questions auxquelles
le premier procès n'a pas répondu :
Empreintes digitales
Alors que la plupart des faits matériels et l'état des corps
sont examinés avec le plus grand détail, et qu'un certain
nombre d'armes et d'outils ayant servi de façon conclusive à
donner la mort aux victimes, avec ou contre leur gré, ont été
retrouvées (batte de base-ball, couteaux, divers revolvers, bouteilles
de gaz, boîtes de médicaments), le verdict ne comporte aucune
mention d'empreintes digitales sur celles-ci, sauf sur un sac en plastique
blanc, seule mention de toute lenquête ! Donc soit :
1/ Il n'y avait aucune empreinte, ce qui indique que des précautions
ont été prises pendant ou après les massacres pour
ne pas pouvoir identifier les auteurs des assassinats.
2/ Il y en avait, mais qui appartenaient à des personnes non "
suicidées " et consécutivement passées sous
silence.
3/ Les enquêteurs ont systématiquement oublié de relever
les empreintes digitales (!).
Idem pour les relevés de cheveux et matériaux génétiques,
etc., qui sont systématiquement exploités de nos jours dans
toutes les enquêtes criminelles et dont il n'est fait aucune mention.
Pourquoi une omission aussi généralisée de ces indices
dans toute l'enquête, alors que les conclusions ne font état
que d'hypothèses plausibles et non de certitudes absolues en ce
qui concerne les auteurs présumés des assassinats proprement
dits ? Vu que les corps étaient particulièrement carbonisés,
est-on certain, par analyse d'ADN, de l'identité des victimes,
en particulier de la présence en leur sein de leur chef Jo Di Membro
?
Les substances psychotropes.
L'une des premières questions que l'on se pose :
Les quantités très importantes de sédatifs, absorbées
par pratiquement toutes les victimes, ont-elles été ingérées
- ou injectées - avec le consentement desdites victimes ?
A aucun moment, l'enquête ne répond à cette question
pourtant clé.
Les sacs en plastique sur la tête des victimes.
Le verdict se borne à constater la présence de ces sacs
en plastique sur la tête de plupart des victimes, sans se demander
s'ils avaient pour but d'étouffer les victimes ou une autre signification
symbolique, ou pour empêcher les victimes de respirer des substances
qui auraient pu indiquer qu'elles avaient été tuées
sur un autre lieu ?. Il est constaté cependant que, dans la plupart
des cas, ces sacs ont été placés sur les victimes
déjà décédées par balles (souvent nombreuses
sur une même personne). Quelle était la finalité des
sacs en plastique ? Pourquoi un nombre excessif de balles tirées
dans la plupart des cas (jusqu'à 7 ou 8 dans la tête, de
même que 50 coups de couteau sur une victime ?) Des assassins suspects
Dans le dernier massacre du Vercors, les deux personnes présentées
comme les exécuteurs se seraient suicidés en dernier. Outre
quils sont tombés par coincidence dans une position cohérente
avec la mise en scène des corps, lenquête conclut quils
sont morts avant le déclenchement de lincendie du bûcher
qui est censé avoir carbonisé les corps.
Qui a donc déclenché lincendie dans ce dernier massacre
?
La présence de personnes notoirement non consentantes
présentes lors du rite de passage supposé.
Dans toutes les traditions spirituelles, les personnes accomplissant des
rites ou actes de culte évitent la présence de personnes
sceptiques ou non consentantes, en raison du climat résultant qui
perturberait la cérémonie, et/ou à cause de la signification
même de l'acte qui serait de ce fait entachée ou nullifiée.
Des personnes sur le point de consentir à un sacrifice suprême
ne prendraient pas le " risque " de dégrader par ces
présences la valeur d'un acte extrêmement exigeant, et capital
selon eux pour l'avenir de l'humanité.Or, dans la plupart des massacres,
certaines victimes n'étaient pas consentantes, leurs réticences
ou divergences étant même connues des autres membres préalablement
aux massacres. D'autres, ayant pris des distances de façon similaire
avec les enseignements, ont déjoué une invitation ce jour-là,
réchappant ainsi au massacre. L'hypothèse qu'il s'agissait
d'une punition pour ces dissidents potentiels ne colle pas avec l'exigence
de " pureté " que s'attribuent certains membres dans
des textes retrouvés, et du fait que les suicidés devaient
se retrouver ensemble après la mort.
Pourquoi s'encombrer de dissidents pendant ces rites et dans cette nouvelle
vie à venir ?
Pourquoi aucune allusion n'est faite au rôle joué par JM
Abgrall
Alors que l'enquête du juge tente de répondre avec diverses
précisions aux remarques et contestations de la partie civile,
elle est muette sur le point concernant l'expert Jean-Marie Abgrall, qui
aurait été présent sur les lieux du massacre de St
Chérenne avant la police, sur la proximité surprenante d'une
de ses résidences secondaires avec le lieu du drame et ses liens
possibles avec des organisations templières concurrentes. Le choix de Jean-Marie Abgrall comme expert dans ce procès est-il
judicieux ?
La partialité et les opinions personnelles du juge exprimées
dans le verdict
1/ Le juge qualifie la doctrine de l'OTS de " perspective illusoire
d'atteindre par le moyen du sacrifice un état de surhumanité
et de perfection " (bien que nous retrouvions là l'enseignement
sur le sacrifice de Jésus-Christ, qui a été revécu
et revendiqué des milliers de fois par d'autres chrétiens
dans l'histoire, et en l'occurrence explicitement par certains membres
de l'OTS ! ! !) croyances qui, selon le juge " n'ont pu être
obtenues que par conditionnement ". Le juge traduit par là
- sortant de sa fonction de façon inappropriée - ses opinions
personnelles sur les croyances religieuses en général, proches
des thèses des groupes anti-sectes.
2/ Bien que concluant à un suicide, il qualifie le groupe de fondamentalement
criminel de par sa doctrine et ses croyances, ses simples membres ayant
selon lui participé à une véritable association de
malfaiteurs de par leur vision du monde, et non pas en raison de liens
avec de vrais réseaux criminels.
3/ Plus loin, décrivant le fonctionnement d'une communauté
de vie d'une trentaine de personnes de l'ordre, comportant un certain
nombre de règles de vie similaires aux ordres de religieux chrétiens
ou bouddhistes, avec probablement une moindre rigueur, le juge les qualifie
de " pratiques totalitaires ", toujours en accord avec certaines
thèses du rapport parlementaire, de la MILS ou de groupements anti-sectes
qui disqualifient certaines pratiques suivies par les ordres religieux
classiques, dès lors qu'elles sont adoptées par des religions ou spiritualités non majoritaires.
Constatant qu'un certain nombre de conclusions résultent de la
plus grande probabilité d'une hypothèse sur une autre, et
que toutes les hypothèses avancées n'ont manifestement pas
été menées jusqu'au bout, les opinions et croyances
du juge, qui transparaissent dans le verdict, ont-elles pu influencer
sa conviction intime ? Incohérence de la sentence concernant Michel Tabachnik
Si l'OTS est qualifié par le juge d'association de malfaiteurs,
à visées criminelles, comment Michel Tabachnik, auteur de
certains textes, co-célébrant de rituels avec le grand maître
réel Jo Di Membro et avouant de surcroît qu'il était
conscient de certains mensonges visant à manipuler les membres,
peut-il ne pas être considéré comme complice ? Pourquoi
le fait que le pharmacien qui a vendu les médicaments et certains
instruments de plusieurs massacres était membre de l'OTS est-il
passé sous silence ? La contre-enquête
Développée un proche de trois victimes, par quelques journalistes,
par Christian Cotten et Joel Labruyère, partie civiles, et par
certains journaux tels VSD, une contre-enquête s'est poursuivie
en marge du procès officiel, apportant de nombreux arguments et
éléments supplémentaires qui contredisent les conclusions
du procès de 2001.
Quelques faits troublants
L'origine des médicaments utilisés
Le même pharmacien qui a vendu les produits ayant servi à
plusieurs massacres selon l'enquête serait membre de l'OTS, mais
il était " excusé " le jour du procès et
a fait l'objet d'un non-lieu. Ceci est contradictoire avec la qualification
de l'OTS d' "association de malfaiteurs " par le juge.
Toutes les douilles ayant servi à exécuter les victimes
du Vercors n'ont pas été retrouvées.Ceci tendrait
à prouver que les victimes ont été exécutées
en un autre lieu. Trois cadavres auraient eu des membres fracturés
dans le transport.
La piste financière n'a pas été suivie
Les comptes australiens liés à l'Ordre n'auraient pas été
inspectés.
La piste du foulard
Le foulard de l'une des victimes a été retrouvé sur
un chemin que les victimes n'avaient pas emprunté. L'enquête
imagine donc sans aucune preuve qu'elle avait du venir dans les parages
" un autre jour ".
Des preuves auraient disparu avant même que l'enquête ne commence
La résidence de trois victimes auraient été "
visitée " par des gens possédant les clés et
se présentant comme des policiers, quelques jours avant que les
corps des victimes du Vercors ne soient signalés, et auraient emporté
des sacs de preuves, notamment concernant le policier " exécuteur
". Ceci démonterait que des personnes extérieures étaient
au courant du massacre bien avant sa découverte officielle, sept
jours plus tard. D'autres observateurs affirment que des tracts appelant
à des stages de l'OTS en face d'une caserne militaire de l'île
du Levant auraient disparu de l'un des chalets ayant servi au massacre,
pour dissimuler les liens entre l'OTS et certaines institutions militaires.
Une controverse sur des traces de phosphore
La thèse de la justice est que le phosphore présent dans
le sol du Vercors, à l'endroit du massacre, pourrait provenir de
la décomposition des corps, alors qu'une contre-expertise l'attribue
à l'emploi possibles de lance-flammes de type militaires, arguant
que la quantité de bois brûlée ne justifie pas la
forte combustion des corps des 16 victimes.
Les victimes auraient été exécutées par les
éléments
ayant des liens avec des services secrets
VSD, le 4 Septembre 2003, fait remarquer que la hiérarchie du policier
LARDANCHET, témoin entendu après les premiers massacres
et désigné comme exécuteur des victimes par l'enquête
dans le dernier massacre du Vercors, ne lui a pas retiré son arme
malgré son lien avéré avec l'OTS. Des témoins
seraient en mesure d'affirmer que ce même policier avait eu plusieurs
entrevues au Ministère de l'Intérieur dans les semaines
qui ont précédé le massacre .
L'OTS aurait été utilisé, ainsi que d'autres organisations
similaires,
pour transporter de l'argent sale.
Le meurtre des dirigeants de l'OTS aurait été organisé
en représailles à des violations des " règles
du jeu " des trafics d'argent sale. Des réseaux occultes d'acteurs
politiques, membres de diverses sociétés ésotériques,
elles-mêmes très directement impliquées dans l'appareil
étatique français (Parlement, Gouvernement, Justice) feraient
donc tout ce qui est en leur pouvoir depuis 4 ans pour étouffer
cette affaire et empêcher que la vérité soit mise
à jour. La justice française aurait alors mis en oeuvre
une gestion de ce dossier aboutissant à une clôture récente
et à la mise en examen de deux personnes en réalité
assez peu concernées, aux fins de protéger des personnages
beaucoup plus importants.
Demande d'enquête Européenne, indépendante
des institutions françaises
Les associations POLITIQUE DE VIE et OMNIUM DES LIBERTÉS représentées
respectivement par Christian COTTEN et Joël LABRUYÈRE, parties
civiles au procès, ont demandé à la Cour Européenne
des Droits de l'Homme de nommer dans les meilleurs délais une commission
d'enquête internationale strictement indépendante des institutions
étatiques françaises (législatives, exécutives
et judiciaires) et des réseaux des sociétés ésotériques,
notamment maçonniques, tant françaises qu'européennes,
pour écarter toute interférence d'intérêts
liés à des sociétés secrètes françaises
lors de la procédure d'enquête.
Les enjeux du procès
L'enjeu de ce procès est donc particulièrement important
pour la liberté de conscience menacée en France, sachant
que des démarches ont déjà été entreprises
à l'échelon de la justice européenne pour lancer
une enquête indépendante des milieux politiques et ésotériques
français, pour le cas où la nouvelle enquête française
ferait preuve d'une opacité suspecte. Les dernières infos
Septembre 2003
Dans le VSD du 4 au 10 Septembre 2003, on apprend que 4 jours après
le décès des 16 victimes du Vercors mais 7 jours avant la
découverte officielle du massacre, de mystérieux "
policiers " se sont rendus (avec les clés !) au domicile des
victimes et ont emporté de grands sacs de pièces à
conviction. Preuve que des éléments extérieurs, vrais
ou faux policiers, étaient déjà au courant du massacre.
Ces pièces saisies par de vrais ou faux policiers sont les fameuses
brochures de stage OTS financées par la mairie dHyères
et le Comité Départemental du Tourisme du Conseil Général
du Var, avec le soutien du Ministère du Tourisme. (scan de cette
brochure à la Une de Morphéus N°0)
28 Novembre 2003
Confidences d'Abgrall dans le Point
Les mystères de l'Ordre du Temple Solaire (OTS) auraient-ils échappé
à la justice ? Entendu le 1er juillet dans le cadre d'une procédure
de violation du secret de l'instruction dans laquelle il est mis en examen,
l'expert Jean-Marie Abgrall s'est laissé aller à d'étranges
allusions. En bref, des services secrets auraient durablement actionné
les mouvances templières. Si l'on suit Abgrall, l'Ordre rénové
du Temple (ORT), ancêtre de l'OTS, " a été un
relais du réseau Gladio, courroie de transmission de la CIA contre
le péril marxiste ". Le spécialiste estime que nombre
de " mouvements ésotériques " étaient contrôlés
par les services secrets. Il cite l'Ancien et mystique ordre de la Rose-Croix
(Amorc), qui aurait contribué au financement " du service
secret français en Afrique, et en particulier ce que l'on a appelé
les réseaux Foccart ".
" Jean-Marie Abgrall n'avait jamais évoqué un réseau
de service secret dans son expertise ", note l'avocat Alain Leclerc.
En février, Abgrall assurait à Nice-Matin : " C'est
une vérité qui nous dépasse, qui va jusqu'au secret
d'Etat. Je m'exprimerai un jour. Comme le juge, on a tous des versions
officielles. " Détail sur le curriculum vitae de l'intéressé
: il fut membre de l'Amorc de 1968 à 1970
Source : le point 28/11/2003
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