Ecoutant le 4 juillet 2001, la plaidoirie sommaire et médiocre de Dreyfus Denis, mon nouvel avocat après Botta, je comprenais qu'il y avait un nouveau bardereau sur lequel mes pièces essentielles avaient éte retirées. Ce qui était exact ! Mon dossier de plaidoirie présenté par Dreyfus était quasiment vidé de sa substance !