ELEMENTS QUI
DEMONTRENT QUE LE CLASSEMENT SANS SUITE N'EST PAS JUSTIFIE
( Plainte du 30 juin 2000
pour le vol du courrier de M FORNEY ) (mise à jour du 25/06/01)
Après plusieurs convocations
par M MARQUETON, sans effet, de mon épouse et de
M MARGAILLAN, (PV 2000//1003) le dossier est traité par M VANDELBEUQUE
qui
obtient les dépositions de M MARGAILLAN, Mme RAYMOND/FORNEY et
M GIRAUD.
Sur la déposition
de M Margaillan (PV 2000//
006 du 9/02/2001)
M MARGAILLAN confirme sa présence à mon adresse (chemin
Montrigaud) le 26 mai 2000 et déclare :
1 - " J'effectuais dans le cadre de ma profession des recherches
d'adresses "
2 - " Au 26 mai 2000 je travaillais pour le compte de la société
Groupe Evaluation Conseil Bureau de recouvrement sis
1, allée des centaurées à Meylan "
3 - " J'ai fait également d'autres allées dans d'autres
rues du même secteur "
4 - " La raison de mes recherches ... localiser un individu ... auteur
d'un accident ... délit de fuite "
5 - "Je ne connais pas non plus M. GIRAUD "
6 - " Pour moi il s'agit d'un concours de circonstances..."
7 - "je suis gérant de la Société CENTAUREES
Protection Sécurité sise 1, allée des CENTAUREES
à MEYLAN "
Remarque :
a - M MARGAILLAN a noté aussi (sur son agenda) le nom de l'autre
rue (H. Moissan) où M FORNEY est propriétaire du deuxième
appartement inoccupé suite aux problèmes liés à
son divorce.
La probabilité de noter côte à côte deux petites
rues (dans une ville de la taille de Grenoble) ne peut que correspondre
à une action précise sur les deux boîtes à
lettres des deux appartement de M FORNEY.
- La boite à lettre neuve posée en 99 (5 rue H. Moissan)
est la seule qui a été fracturée (photos jointes)
pour trier d'éventuels courriers de la pile des publicités
qui la comblaient.
b - M Margaillan a aussi indiqué la voie principale (Dr Calmette)
pour l'accès à Montrigaud (une petite rue difficile à
trouver), alors que cette voirie principale dessert aussi une dizaine
d'autres petites rues.
c - M. MARGAILLAN déclare
ne pas connaître M. GIRAUD.
Alors qu'ils utilisent la même boîte aux lettres, le même
local professionnel, et qu'ils sont co-signataires (sur la même
page) des statuts des sociétés qu'ils ont en communs (photos
boite / porte communes et statuts des sociétés joints).
Et que : Le n° de téléphone professionnel indiqué
par M GIRAUD (procès verbal 2000//010) est domicilié à
l'adresse correspondant aux deux sociétés citées
par MARGAILLAN (référence sur Minitel par le 3617 annu :
SGI, 1, allée des centaurées, 38240 MEYLAN). Par contre,
au tribunal de commerce, la mise à jour concernant la S.G.I. Giraud
n'a pas été faite.
d - Quand M. FORNEY a rencontré
puis photographié M MARGAILLAN, il s'est enfui au plus vite en
direction de son domicile (trajet : ch. Montrigaud - Docteur Hermite -
Abbé Grégoire - J. Vallier - crs de la Libération
- Cours J. Jaurès Echirolles - puis la rue de Raccordement ,Gringalet,
à l'autoroute sur pont de Claix). Il a été semé
au virage à droite sur cette dernière rue en direction de
l'autoroute A 480 ( quelques rues après le domicile de M. MARGAILLAN).
e - D'autre
part : Mme JEAUGEY déclare : " Il est vrai que mon ex-mari
avait l'habitude de travailler avec des gendarmes et des policiers de
Grenoble " (PV 2000//004 du 13/11/2000)
Non ! il est impossible que tous ces éléments soient
le fruit du hasard.
Sur la déposition
de Mme FORNEY/RAYMOND (PV 2000// 008 du 23/02/2001)
Mme RAYMOND déclare :
A - " Parce qu'à l'époque Monsieur Blache était
mon locataire "
- Par quel hasard Mme RAYMOND peut-elle dire que cette personne était
son locataire, alors qu'elle déclare que les deux appartements
sont attribués à M. FORNEY et qu'il n'y a aucune communication
entre elle et son époux ?
- Elle n'apporte aucun élément qui explique la présence
d'un document qui porte le nom de BLACHE qu'elle ne connaît pas
avec l'adresse de la copropriété que son époux habite.
Ce document n'a pu qu'être prélevé dans l'une des
boîtes à lettre où se trouve le domicile de M FORNEY.
B - " Cela fait au moins
un an que je ne vois plus ce monsieur " (en parlant de M Giraud)
Alors que M GIRAUD indique 10 jours plus tard " Oui, elle m'a téléphoné
pour m'informer que je risquais d'être convoqué à
mon tour..." (PV 2000//010)
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