Accueil Mobiles  VERDICT   Verdict : Dauphiné Libéré   80.000 victimes  Conséquences Pièces d'instruction

Les mafieux du droit en pleine lumière
2017

Pourquoi L'AVOCAT PATRICK MARTIN a accepté de m'assister puis a refusé de restituer la lettre manuscrite de CWIKOWSKI dans laquelle il demande à Joëlle VERNAY avocate de l'assister et à l'huissier LANGLOIS d'organiser son insolvabilité ?

(L'ajout de cette page Internet, fait suite au refus de " Maître MARTIN " de restituer cette lettre manuscrite jointe au dossier d'instruction par Madame le Juge d'instruction BALANCA Annyvonne (Côte D 42). Monsieur MARTIN et ses collaborateurs sont informés de cette démarche par téléphone et par mail maitre.pmartin@wanadoo.fr)

L'étrangeté de l'assistance volontaire de Monsieur MARTIN Patrick, dans le cadre de l'aide juridictionnelle, m'est apparue quand j'ai eu la confirmation par lui-même que les noms " BENHAMOU / MARTIN " sur la page d'agenda de MARGAILLAN Henri était bien le nom de mon avocat Me MARTIN.

Me MARTIN m'a expliqué que MARGAILLAN Henri a été son ami. Qu'il aurait cherché et obtenu son amitié sur une longue période pour le noyauté afin de connaître le contenu de certains de ses dossiers de justice.

Me MARTIN m'a assuré :

- qu'il ignorait que MARGAILLAN Henri, cet ex-responsable de la brigade des stups avait été impliqué dans le vol de mes courriers avec CWIKOWSKI comme associé.
- que ses relations étaient terminées.
- qu'il connaissait très bien son fils toujours en poste dans la police, mais que celui-ci n'était pour rien dans les dérives de son père.

Dans mes conclusions contre CWIKOWSKI Bruno a propos du vol de 16000 données personnelles détenues par la police et revendue 600 000 € à la société ATER, il a refusé que je laisse apparaître le nom d'une des sociétés de MARGAILLAN Henri :

Beauté Trièves Services - L'église, 38930 Chichilianne dont les actionnaires sont :
- MARGAILLAN Henri - Ex-responsable de la Brigade des stups de Grenoble
- MARGAILLAN Philippe...

Cette société a pourtant pu servir au blanchiment des paiements en espèces des enquêtes a partir des fichiers volés.

Un comportement bizarre et très suspect :

A l'audience du 16 juin 2005 :

- Il cite des noms de policiers qui ne sont même pas dans les conclusions et n'ont rien à voir avec mon affaire.
- Il me refuse de m'exprimer devant les juges alors qu'il m'avait dit le contraire avant l'audience.

A l'audience du 30 juin 2005, il est absent au verdict des ripoux CWIKOWSKI Bruno, ex-commissaire de police et Jean Bernard CHOUTEAU brigadier comme s'il connaissait d'avance les résultats.

Il me dit que, sur ma déclaration d'appel, il est inutile d'indiquer CHOUTEAU comme s'il cherchait à le protéger. (J'ai appris plus tard que le Vice-Procureur Monsieur BECQUET n'avait pas fait appel contre CHOUTEAU !). On aurait dit que Me MARTIN et le Procureur s'étaient concertés pour éviter des sanctions à CHOUTEAU qui a étrangement été suspendu de ses fonctions de brigadier sans suspension de rémunération !

Mon avocat Me MARTIN Patrick oublie le rendez-vous du 9 juillet 2005 avec l'expert chargé de ma liquidation de communauté.

Mon avocat Me MARTIN reporte de mois en mois le dépôt de mes conclusions que j'ai rédigées pour faire stopper ma pension alimentaire qui court depuis 1998 malgré ma situation de Rmiste. Une pension alimentaire cumulée depuis 1998, prévue uniquement pour minorer ma part de la communauté dans le partage à venir.

Il me relance pour que je ferme mes sites Internet en indiquant finalement que c'est une condition à la poursuite de son assistance !

Je change d'avocat.

Il me faut plus de trois mois de relances pour qu'il fasse suivre enfin le dossier (tronqué) d'instruction à mon nouvel avocat. M MARTIN me prive ainsi de l'accès au dossier que j'ai pu lire seulement quelques heures dans le couloir de son cabinet juste avant le 16 juin 2005.

Dans ce dossier, il y soustrait des pièces d'instruction dont la lettre jointe à la côte D 42. Dans cette lettre il est écrit :

... Dominique ... voir Joëlle VERNET... organise mon insolvabilité ... voir LANGLOIS ... SCI MARINA vendre même à perte... ne pas utiliser le compte MP de Cagnes... virer 40 000 € sur le compte de Cagnes...donner pouvoir pour Dominique... Pierre ouvre un compte rapidement à son nom à l'adresse 9 avenue du Clos à Villeneuve-Loubet... avec procuration à mère et toi...

Quel était le but de MARTIN en m'assistant ?

De répondre à une demande de son réseau (dont FONTAINE) de contrôler mes publications ?
De savoir le contenu de mes huit ans d'enquêtes contre ces ripoux ?
De savoir quelle était l'étendue des personnes en association autour de moi contre les dérives judiciaires ?
De protéger certains des ripoux en cause ?
De protéger les dérives de certains francs-maçons ?

Ou, a t-il été rapidement mis sous pression pour enterrer nos dossiers ?

Il disait que ces policiers ripoux étaient impliqués dans d'autres affaires.

Il disait attendre patiemment le retour de M FONTAINE en disant que les affaires de corruptions allaient être sanctionnées et répétait sans arrêt : " ça va péter "

Bien au contraire :
J'ai été assigné en correctionnelle dès le retour de Valence de M Luc FONTAINE (M FONTAINE est devenu vice Procureur par intérim au départ de M Jacques FAYEN) et condamné à 4 mois pour le contenu de mes sites Internet
http://www.trafic-justice.com et http://www.victime-ripou.net

comme si les pressions de mon avocat MARTIN Patrick se poursuivaient en montant d'un cran pour la fermeture de mes sites .

Les preuves des dérives judiciaires exposées sur mon site dérangent, mais personne ne prend les bonnes décisions pour faire sanctionner les auteurs des dérives.
Le nombre impressionant de magistrats ayant assuré la protection de ces ripoux laisse présumer un noyautage de nos institutions du type " loge P2 "

Les adresses successives de Me MARTIN Patrick :

dans le cabinet de l'avocat BENHAMOU puis
13, av. Verdun, 38240 MEYLAN puis
27 chemin des Prés 38240 MEYLAN

Fax 047661 000 6

Une plainte pour diffamation de maître MARTIN permettra peut-être la manifestation de la vérité !

      Fév. 2024 l'IGPN réagi       Mars 2024 procureur contre flics