ser-agent: Mediapartners-Google* Disallow: BELLANGER Laurent faux sur commande du RESEAU MAFIEUX ASSOCIES AVEC DES MAGISTRATS CORROMPUS

Accueil VERDICT Requête mémoire en suspicion légitime (art 662) Plainte  Jugement du Goulag

La dénonciation d'un réseau mafieux composé de : magistrats, ex-policiers, avocats, avoués, experts...
PIECES 100 p 1 , 2 : jointes aux conclusions en appel suite aux coups de CWIKWOSKI avec le soutient de certains magistrats

Les explications pour cette pièce (les trois faux certificats)
Texte recopié

FORNEY René, 4 chemin Montrigaud                                                          Grenoble, le 12 juillet 2007
38000 Grenoble                                                                                     RA 1A 007 975 9496 6
Tél. : 07 63 15 66 46

A Madame ou Monsieur le Doyen des juges d'instruction
Palais de Justice, Place Firmin Gauthier
38 000 Grenoble

Madame, Monsieur le Juge,

Je dépose une plainte avec Constitution de Partie Civile pour faux et usage de faux selon les articles 441-1, 441-7, 441-8 du code pénal, à l'encontre de Messieurs BELLANGER Laurent et CWIKOWSKI Bruno.

Depuis un an, j’ai présenté ces trois certificats (pièces 1) à une dizaine de médecins. Le constat leur est évident, ces certificats ne sont pas crédibles tant par les signatures que le contenu concernant une pseudo côte cassée ou que par la cohésion des inscriptions entre celles du 4 et du 5 avril 2006.
Les coups de CWIKOWSKI, une personne de 95 k sur moi, qui en fait moins de 65, ont tenté d’être minimisés par ces trois faux certificats médicaux portant tous le nom du docteur BELLANGER Laurent du service des urgences du CHU de Grenoble / La Tronche.

J’ai aussi mené mon enquête dans son service, aux urgences à La Tronche. Là aussi, tout est suspect.

Le vendredi 5 mai 2006 au secrétariat des docteurs KADDOUR / BELLANGER, deux secrétaires étaient présentes, elles ont vérifié la présence des certificats dans les ordinateurs du CHU. Ils étaient effectivement inscrits, mais avec des cases vides à la place des prescriptions manuscrites. J’apprenais que ces surcharges manuelles, après impression, n’étaient pas habituelles. Elles m’ont conseillé de revenir le mardi 9 mai pour avoir directement les explications du Dr BELLANGER absent.

Le 9 mai 2006, j’ai vu le docteur BELLANGER. Il a reconnu être l’auteur d’un seul certificat sur les trois malgré la présence de son nom au bas des trois pages. Mme PIOCH a confirmé par écrit (pièce 3) cette affirmation du docteur.

A mes autres questions, il s’est retranché derrière le secret médical pour refuser de me répondre davantage. Une troisième dame du secrétariat, plus âgée, m’a rejoint et a entendu mes demandes et a dit au docteur BELLANGER :

« Les surcharges après impression ne sont pas autorisées »

Le docteur a répondu que les certificats étaient remplis manuellement parce que l’ordinateur était en panne après l’impression !

Comment un docteur peut-il prétendre avoir établi un certificat surchargé (le 5) d’après des soins de la veille (le 4) qui ne seraient de lui ou d’après un certificat de la veille (le 4) qui ne serait pas de son écriture ?

J’ai constaté récemment que le dossier de justice concernant cette agression était dépourvu d’enquête sur ces faux certificats.

Le 26 juin 2007, à nouveau aux urgences, j’ai rencontré le Docteur KADDOUR Affif, supérieur hiérarchique du Dr BELLANGER, lui-aussi refuse de se prononcer sur ces certificats, et me renvoie à M BELLENGER qui se protège derrière le secret médical.

La responsable qualité Mme PIOCH Stéphanie, comme l’ordre des médecins, refusent depuis 1 an à toute communication.

Le conseil de l’ordre des médecins de l’Isère a répondu le 23 octobre 2006 :

«  … attendra les conclusions de l’enquête de justice qui est actuellement en cours… »

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