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Conclusions pour le 26 juin 2006 contre l'attaque de mes publications par le Procureur de Grenoble
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Il faut rappeler, aussi, que CWIKOWSKI, l'associé de CHARLON a été condamné le même mois, le 6 avril 1998. Sur cet arrêt de cassation concernant sa révocation, il est écrit au sujet de CWIKOWSKI :
           " dans l'étude d'huissier qu'il envisageait d'occuper " (pièce 29 ou 72).

Après sa révocation, CWIKOWSKI a même logé son activité d'enquêtes dans des locaux à Crolles appartenant au Président de la chambre des huissiers de Grenoble (Me François JACOB).
Le 16 juin 2005, Me JACOB a confirmé à Me MARTIN mes constatations en ajoutant que CWIKOWSKI avait quitté ses locaux quand il a appris que CWIKOWSKI utilisait des gros bras comme CAMPANA pour le compte de casino.

Dans une lettre à la côte D42 au dossier d'instruction de Mme BALANCA, M CWIKOWSKI demande à son associé Dominique GOUZY de voir LANGLOIS (homonyme de l'huissier grenoblois ?) pour organiser son insolvabilité. Ce qui suppose, là aussi, des relations étroites avec certains huissiers grenoblois.

Il est utile de rappeler que le Dauphiné Libéré a écrit les 6 et 8 avril 2003 :

" ... Le placement sous contrôle judiciaire, assorti du versement d'une caution de 450 000 euros (3MF) de René Espenon, un huissier de justice grenoblois soupçonné d'importants détournements... "

Que l'on ne me dise donc pas que ces personnes sont au dessus de tout soupçon ! Comme le Procureur René TERNOY l'a affirmé, le 17 mai 2006, à propos des avocats, faux témoins pour CWIKOWSKI lorsqu'il m'a roué de coup le 4 avril 2006.

M Christian ROBERT a fait passer son voisin (attestations pièces 71, ingénieur en retraite de BIVIERS (38330) pour un affabulateur devant les tribunaux alors qu'il suffit de visiter la maison de son voisin pour constater l'ampleur des dégâts.
Me ROBERT a provoqué un glissement de terrain en construisant sa villa sur parcelle en forte pente initialement impropre à la construction (onze ans de procédures étouffées !)...

Le croquis (pièce 30 ou 74H) de la maison diffusé sur Internet montre comment les travaux effectués par Me ROBERT ont provoqué de graves lézardes dans la maison de son voisin et comme par hasard les procédures ont été verrouillées.

Il est évident que M Christian ROBERT a utilisé sa fonction, et, ses relations pour ses intérêts personnels contre son voisin du dessus et de la même façon contre moi.

V- B- Les interventions répétées du juge M DOUYSSET Michel pour valider à tout prix son arrêt vicié du 16/10/01(faisant suite à l'audience du 4 juillet 2001) (supra)

A l'audience le 6 décembre 2005, Mme la présidente GOUY-PAILLER, a fait remarquer à M le Procureur TERNOY, qu'il n'y avait pas de lettre de constitution de partie civile pour aucun des trois juges indiqués sur la citation du 6 décembre 2005.
La cause est simple, tout est exact dans mes dénonciations et est parfaitement vérifiable en cas de doutes.

Le juge DOUYSSET Michel a présidé l'audience d'appel de mon divorce. Informé de mes doutes sur l'absence de contenu de mon dossier remis par mon avocat DREYFUS Denis, il n'a pas répondu à mon alerte (pièce 8).
En fait, j'ai eu confirmation le 22 juillet 2004 (en consultant, au greffe, les pièces retournées de cassation) qu'il savait que mon dossier avait été vidé depuis le 6 juin 2001 (pièce 7 ou 23R) juste avant l'audience du 4 juillet.

Lors de ma plainte contre Me CALAS Jean, à propos du blocages de mes pièces, le juge M DOUYSSET (encore) a confirmé le refus d'entendre et de répondre à mes demandes (arrêt 2003/00610 2003/00756 - n° parq. 02/90058, n° instr. 4/02/84 - Plainte du 16/05/02)

Lors de la plainte contre Me BOTTA-AUBERT, le juge M DOUYSSET (encore) a confirmé le refus d'entendre et de répondre à mes demandes (arrêt 2004/00030 - n° parq. 02/90087, n° instr. 4/03/22 - Plainte du 9/07/02).

Du 19 juin 2006 , conclusions d'appel correctionnel pour le 26 juin 2006 : - 7 / 24 -

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