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Le tel 06 13 84 59 96 de René FORNEY est piraté utilisez 0763 15 66 46 et biens
spoliés par l'utilisation du fichage de la police financé par ATER à Tours Les héritages
et
20 ans de rétorsions pour la protections de ce réseaux mafieux
Le Canard Enchaîné du 25 août 2010 : Là aussi, instrumentalisation de la justice. Rétorsions en Suède (coïncidences étranges) pour avoir publié sur Internet des informations cachées au peuple par l'Etat (dit démocratique) américain.
Or l'insolent et mystérieux fondateur du site, le hacker australien Julian Assange, 39 ans, qui vit caché en Suède, a annoncé, le 14 août, qu'il entendait bien remettre ça et publier d'ici un mois quelque 15 000 documents supplémentaires. En dépit de la fureur du Pentagone, qui le menace de poursuites pour violation du secret-défense et l'accuse de mettre en danger ses informateurs afghans.
Coïncidence étrange : la police suédoise a émis six jours plus tard contre Assange un avis de recherche pour « viol », qui a été suspendu au bout de quelques heures seulement par la procureure générale Eva Finne, faute d'éléments probants... Tandis qu'une autre procédure pour « agression » suit son
cours, à la suite d'accusations portées par une autre femme, qui n'a pas porté plainte...
Assange, qui a justement choisi la Suède comme terre d'élection en raison de sa tradition de liberté de la presse, a aussitôt déclaré dans le tabloïd « Aftonbladet » : « Je ne sais pas ce qu'il y a derrière cette affaire. Mais nous avons été avertis que, par exemple, le Pentagone nous ferait des sales coups pour nous détruire. Et j'ai aussi été mis en garde contre des pièges sexuels. »
Le hacker incontrôlable a même assuré sur la chaîne AI-Jazeera avoir été mis au parfum, le 1l août, par un agent des services australiens de l'imminence d'une opération d'intox. Il est vrai que cette affaire ressemble fort à un coup tordu des services, à l'ancienne. A la bonne vieille manière de Poutine, l'ex-agent du KGB, qui a fait piéger il y a quelques mois des journalistes et opposants par de ravissantes jeunes femmes moscovites qui les emmenaient dans leur appartement où leurs ébats étaient filmés puis balancés sur Internet...
C'est le retour aux grands classiques de la guerre froide !