Accueil Deni pire en appel (d'autres fond de même) Verdic protecteur de la mafia locale Vidéo 7/02/08


Dans les affaires de délinquance financière que je dénonce sur mes sites www.victime-ripou.com et www.trafic-justice.com , certains y voient les méthodes de la Ndrangheta et s'interrogent sur la présence de cinq noms GIRAUD. (Le Journal Marianne 2007)

Un article du Dauphiné Libéré sur une autre affaire, publié le 7 février 2008, montre un réseau qui utilise des méthodes de racket identiques à Grenoble.
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En savoir plus sur le site http://www.bancpublic.be/PAGES/126sembndangrheta.htm
Extraits de ce site qui daterait de 2004 :
Mafias et organisations criminelles (8)
La 'Ndrangheta

Frank FURET
Banc Public n°126 , Janvier 2004

Racket

L'extorsion de fonds est l'une des principales ressources financières de l'organisation criminelle calabraise. La collecte du Pizzo procède de stratégies plus ou moins élaborées. Bien souvent, le paiement des « assujettis » aux clans mafieux s'effectue par le biais de la souscription de contrats de gardiennage et de sécurité auprès de sociétés mafieuses suite à des dégradations et des cambriolages provoquées par ces dernières, pratique parasitaire qui accélère la désertification commerciale de la Calabre et dissuade l'implantation des entrepreneurs dans cette région. Les seuls commerces qui parviennent à profiter de cette situation sont ceux qui sont contrôlés par la 'Ndrangheta. (4)

Stratégie et réseaux

La 'Ndrangheta évite désormais toute confrontation violente et directe avec les institutions policières et judiciaires italiennes. Elle privilégie systématiquement les pratiques de collusion et de corruption qui lui permettent de se concilier les pouvoirs établis sans entrer en conflit avec eux.

Le repenti Giacomo Lauro (7) relate les circonstances de l'entrée en maçonnerie de la 'Ndrangheta à partir du milieu des années 1970 : « Longtemps, la maçonnerie et la 'Ndrangheta ont simplement été voisines. A cette époque-là les maçons recevaient un pourcentage sur les affaires qu'ils traitaient pour notre compte. Il y avait des maçons partout dans les institutions - des politiciens, des patrons, des juges, des représentants des forces de l'ordre, des banquiers - : nous avions donc intérêt à entretenir de bons rapports avec la maçonnerie. Dans ces conditions, nous étions obligés de déléguer la gestion de nos intérêts,