Accueil 20.000 fichiers de la police vendus 600.000 € Mutilations policières volontaires de Gilets Jaunes | ||
Ces violences policères commandées par des élus posent la question du contrôle du citoyen. L'exemple des données détournées par l'ex policier GIRAUD Paul Maurice utilisées contre René FORNEY pour organiser sa dépossession en employant des gros bras pour des expulsions immobilières pour des promoteurs sans scrupules. Un outil de dictateur. |
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ACTUALITES , Société L'ONU classe la France au même rang que le Soudan et le Zimbabwe sur les violences policières mars 10, 2019 Les policiers algériens ont refusé de brutaliser les manifestants qui sont descendus dans les rues pour protester contre le cinquième mandat d'Abdelaziz Bouteflika . Aucun tir de flash ball ou de gaz lacrymogène. Au milieu des manifestants, ils ont été applaudis comme des héros. Par contre, le Haut-commissaire de l'Onu aux droits de l'Homme, Michelle Bachelet, a demandé mercredi à la France qui se proclame pays des droits de l'homme, de mener une enquête sur les cas de violences policières pendant les manifestations des Gilets jaunes. Michelle Bachelet est même allée plus loin, comparant la situation en France à celle des répressions violentes au Venezuela, à Haïti et dans les pays africains dont le Soudan, le Zimbabwe où les manifestants « réclament un dialogue respectueux et de vraies réformes ». La France se dit étonnée de l'exigence formulée par l'Onu d'ouvrir une enquête sur «l'usage excessif de la force », de se retrouver sur une liste entre le Venezuela qu'elle critique et Haïti à qui elle donne des leçons de démocratie. Sur fond de l'exigence des Nations unies d'ouvrir une enquête sur «l'usage excessif de la force» à l'encontre des manifestants, qui a de nouveau marqué l'acte 16 des Gilets Jaunes , le porte-parole du gouvernement français , Benjamin Griveaux, s'est exprimé sur le sujet à la sortie du conseil des ministres au Palais de l'Élysée. « Il faut [.] s'étonner tout de même de se retrouver cité dans une liste entre le Venezuela et Haïti où il y a eu des morts [.] des morts nombreux», a-t-il dit. Poursuivant son allocution, Benjamin Griveaux a rappelé que des enquêtes avaient été lancées «notamment par l'Inspection générale de la police nationale» et a fait état de 162 enquêtes ouvertes à la date du 1er mars. Il a souligné dans ce contexte que «la moindre des choses» était d'écouter les Nations unies et «de les prendre en considération». Avant d'ajouter toutefois : Le Conseil d'État français a rejeté début février la demande de suspension de l'usage des lanceurs de balles de défense (LBD). Il avait été saisi par la CGT, la Ligue des droits de l'Homme, le syndicat de la magistrature et le syndicat des avocats de France, qui jugent leur usage dangereux, ainsi que des personnes blessées par des tirs à Nîmes et Montpellier. On comprend donc maintenant pourquoi les dictatateurs d'Afrique francophone continuent à tirer à balles réelles sur des manifestants sans jamais être interpellés par le gouvernement français. L'exemple vient de la France. © Copyright 2014 - CDJ Médias - tous droits reservés |
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René FORNEY 0763 15 66 46 |