Accueil     Les autres sites et associations       Articles de presse sur l'affairisme mafieux de francs-maçons La puissance de la franc-maçonnerie à la conquête du monde avec Napoléon ! Des loges piratées DE BEKETCH et avis

Avant la révolution française de 1789, c'était le clergé qui donnait sa bénédiction pour couronner nos rois. Aujourd'hui, il semblerait que les francs-maçons à la manœuvre aient pris le relais à la place du peuple pour valider nos présidents ! !
Pourquoi la population considérerait qu'ils ont plus de légitimité que les gens d'église ou autres religieux ?

www.leparisien.fr/politique/reforme-des-institutions-les-francs-macons-a-la-manoeuvre-09-03-2018-7598637.php

Le Parisien Week-End

Réforme des institutions : les francs-maçons à la manœuvre

Politique |Jannick Alimi| 09 mars 2018, 6h29 |7

http://s1.lprs1.fr/images/2018/03/09/7598637_69285b02-2309-11e8-b5d3-36e04914b2c5-1_1000x625.jpg Christophe-André Frassa a été élu président de la «Fraternelle parlementaire» en octobre dernier. LP/ Olivier Corsan

La «fraternité parlementaire» se mobilise sur ce projet cher au chef de l'Etat et contre lequel bataille le président du Sénat, Gérard Larcher.

Débat d'idées ou guerre de la communication ? En tout cas, la réforme des institutions , qui sera au menu du Conseil des ministres d'ici à la fin du mois, va s'enrichir d'un nouvel acteur : la franc-maçonnerie. Depuis quelques semaines, les francs-maçons du Parlement, quelque 200 à 250 députés et sénateurs, surtout des sénateurs, des collaborateurs parlementaires ou des hauts fonctionnaires, ont décidé de se saisir du sujet.

« Sans arrière-pensée politicienne, de façon transpartisane et toutes obédiences confondues », assure Christophe-André Frassa , le nouveau président de la « Fraternelle parlementaire », élu en octobre dernier. Une exception, toutefois, tous ceux défendant des idées racistes ou antisémites y sont interdits. Après la Nouvelle-Calédonie, le patron la « Frapar », comme la dénomment ses membres, a donc choisi cette question sensible et centrale dans la stratégie d'Emmanuel Macron pour remobiliser un cercle de pensée et d'influence assoupi depuis plusieurs années.

Ce sénateur de 50 ans, élu en 2008 pour représenter les Français de l'étranger, émarge au parti des Républicains, tendance Sarkozy et maintenant Wauquiez. C'est dire que le texte concocté par le gouvernement, il le surveille comme le lait sur le feu. Groupe de travail ad hoc, dîner-débat le 10 avril prochain, avec pour invités quelques ténors du droit constitutionnel…

« Réformer pour réformer, nous n'y sommes pas favorables »

Et, au bout de cette réflexion, des propositions que chaque groupe politique présentera au moment de la discussion parlementaire. « Notre engagement correspond à un moment crucial, où le parlement bashing est permanent et où l'on n'hésite pas à remettre en cause notre légitimité », explique le Christophe-André Frassa. « La réforme des institutions doit être synonyme de la défense de la République, de la séparation effective des pouvoirs, des libertés publiques et des droits parlementaires, des principes pour lesquels les francs-maçons ont payé de leur vie », insiste-il.

Y aura-t-il des « lignes rouges », chères au président Larcher ? « Non, mais les francs-maçons ne veulent pas laisser l'exécutif décider à la place du législatif quant à l'avenir des institutions », martèle le sénateur Frassa. Que pense-t-il, alors, de la diminution du nombre des parlementaires préconisée par Emmanuel Macron ? « Le faire sans renforcer les pouvoirs du Parlement est une aberration », avertit le sénateur.

Et de la réduction du nombre de circonscriptions ? « Avec des circonscriptions qui seraient mécaniquement plus vastes, attention de bien garantir la représentation des territoires », assène-t-il, comme en écho au président du Sénat qui a fait de cet argument son cheval de bataille. « S'il s'agit de réformer pour réformer, nous n'y sommes pas favorables. Ce qui compte c'est l'application d'une telle réforme », prévient encore le patron de la « Fraternelle parlementaire ». Dans quelques mois, les francs-maçons du Parlement se pencheront aussi avec la même vigilance sur les lois de bioéthique .

7 RÉACTIONS

runesle 11 mars 2018 à 9 h 09
Le dieu argent , moteur des 3 points :)

merivale 09 mars 2018 à 11 h 05
Tout le monde veut commander dans ce pays. Pourquoi en fait?

stop-stople 09 mars 2018 à 9 h 30
Ha bon ce ne sont pas les députés et les sénateurs élus par le peuple qui décident...Bon d'accord ce n'est pas nouveau mais là ça devient officiel....

klaus.lulus35tysopdk0k00cg0soks84k0cw08ssle 09 mars 2018 à 9 h 04
Nous sommes dans un rêve?? un groupe pour lequel nous n avons pas voté et qui n a aucun mandat en tant que tel peut se permettre d «influencer» non pas une ,mais deux institutions! parlement et sénat ? Il y a trop longtemps que la démocratie est bafouée au plus haut niveau. La seule sanction possible c est dans les urnes. malheureusement...

theseintle 09 mars 2018 à 8 h 38
le roi de la finance doit absolument être viré! Il y va de la survie du pays !! on ne veut pas devenir une région de l'Europe soumise au diktat de commissaires européens !!!

horizon21443206492le 09 mars 2018 à 7 h 40
macron demission du traitre sous influence

mediacomtoisle 09 mars 2018 à 7 h 29
Et dire qu'ils en est qui croient à la théorie du complot ...

© Le Parisien