Accueil  Des victimes ruinées : Des procureurs protecteurs

Dérapent dans le département 13 : juges huissiers no-tai-res administrateur judiciaire avo-cats   po-li-ciers et  Sur le reste de la France  
Encore des francs-maçons en cause. Elle est belle notre République avec ses corrompus qui dépouillent le peuple comme avant 1789 en étant sûr de l'impunité par la protection de responsables

Texte recopié ci-dessous (Encore des fichiers vendus à des francs-maçons)

MARSEILLE Soupçonné d'avoir donné des informations à des francs-maçons

Un policier gradé mis en examen

Placé en garde à vue mercredi et présenté jeudi au juge d'instruction, Albert Plazza, 56 ans, capitaine de police (sur le point de passer commandant) affecté à l'état-major de la direction départementale de la sécurité publique, a finalement été mis en examen pour "violation du secret professionnel" et "détournement de données issues de fichiers 'informatiques protégés". Le procureur Jacques Dallest a précisé que le policier était "placé sous contrôle judiciaire avec interdiction d'exercer au sein de la police nationale dans les Bouches-du Rhône et de se rendre dans les locaux de la police.

Ce serait par hasard dans le cadre d'une enquête de la police

judiciaire qui ne le concernait pas, qu'une conversation aurait attiré l'attention sur lui. D'après le procureur Dallest, on lui reprocherait "une divulgation d'informations liées à son activité professionnelle, notamment dans le cadre de relations franc-maçonnes " .

"Un rendeur de services mais pas un ripou"

En clair, on lui reprocherait d'avoir fourni, à des amis francs-maçons, les identités de propriétaires de voitures, à partir du numéro d'immatriculation. On lui reprochait aussi, d'avoir à deux reprises, toujours dans le même cadre, prévenu(ou contribué à prévenir) deux débits de boissons, dont

une boîte de nuit, d'une descente de police. Des "services rendus a priori sans contrepartie financière", a précisé le procureur, mais il appartiendra à l'enquête de le préciser.

"Un rendeur de services mais certainement pas un ripou", c'est ce qui se dit dans son entourage professionnel. Ce qui ressort aussi du travail d'investigation de l'IGPN, dont l'enquête souligne les excellents états de service d'Albert Piazza, "médaillé d'honneur de la police nationale, médaillé pour actes de dévouement... C'est un fonctionnaire très bien noté, qui a sans doute le tort de parler un peu trop et un peu trop facilement.

Albert MARCHETTI